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1. ⚜ Patrimoine Le patrimoine, une dimension communautaire

.... mais souvent elles se limitent aux besoins de la famille. couverte, placée à l’ombre, parfois à demi enterrée, elle conserve fraîcheur et propreté. l’aiguier est une forme originale de citerne : creusé dans la roche sur les plateaux calcaires il rassemble les eaux de ruissellement collectées par tout un système d’entailles orientées vers le réservoir. l'impluvium d'orves ou citerne estienne © katryne 2018 le puits est souvent couvert par une voûte semi-circulaire à ouverture rectangulaire ; plus rarement il est protégé par une simple margelle circulaire sur laquelle est fixé un arceau de ferronnerie. le puisage est manuel. les mines d’eau ou tounes sont des galeries horizontales, légèrement en pente vers l’extérieur, creusées dans la couche perméable jusqu’à un niveau de couches d’argile. l’eau sort par gravité et est généralement réceptionnée dans un bassin. elles peuvent mesurer plus de 100m et avoir plus de 1,70m de hauteur. elles nécessitent un entretien régulier et beaucoup aujourd’hui, dangereuses, ont été délaissées. elles apportaient pourtant une eau pure, renouvelée, à la différence de certains puits. les captages en rivière : l’un des patrimoine hydrauliques les plus importants. ils assurent l’alimentation des moulins ou l’irrigation des terres. certains sont toujours en activité et participent au développement agricole, industriel et culturel de certaines communes. source : archives du blog de rando var, 21 octobre 2017, avec leur aimable autorisati...


2. ♒ Les eaux du Revest La source de la Ripelle

...,90 la large) à l’encadrement de briques recouvert en partie par une couche mortier. en 1768, le cadastre évoque déj à cette « galerie creusée dans le roc ». pour accéder à cette porte, il faut suivre le fond d’une gorge étroite de 60 à 70 cm de large et profonde par endroits de plus de 4 m ouverte de main d’homme dans une barrière rocheuse ; on voit des marques de barre à mine. plan de la source de la ripelle le cd-rom « les cavités du var », de mm j.p. lucot et ph. jubault, édition 2002, décrit ainsi les lieux : « après une dizaine de mètres dans une galerie basse, en marchant les pieds dans l’eau, on arrive à une étroiture sévère et aquatique. ensuite, une petite salle amène à un boyau d’une quarantaine de mètres, obstrué par des dépôts argileux et sableux. » la source se trouve à proximité du réseau du gouffre de la ripelle que monsieur philippe maurel a exploré. il pense que « la source de la ripelle est vraisemblablement un exutoire du siphon situé au fond du gouffre. » cheminement de l’eau l’eau sort de la galerie, suit un canal de section rectangulaire, protégé par des dalles de ciment, au fond de la gorge. puis elle arrive dans un petit bassin, peu profond, en forme de baïonnette, s’évasant progressivement vers l’aval, qui ralentit son mouvement. un tuyau de fonte de 20 mm de section prend l’eau du bassin et la conduit jusqu’à un autre petit bassin carré (60 x 60) fermé par un couvercle de tôle amovible, construit juste à l’entrée d’un tunnel et à un mètre plus haut, sur un épaulement terreux renforcé par un mur de pier...


3. ♒ Les eaux du Revest Les mines d'eau, suite

...ombinaisons selon les types de sols, d'expositions et de topographies, sont possibles. la dynamique des eaux souterraines dans les nappes le moteur est la gravité.l'eau d'infiltration, issue des pluies efficaces, remplit les pores au sommet de la nappe et relève le niveau de la nappe sur une hauteur de un à quelques dizaines de mètres, selon les roches et l'importance de la recharge. ceci entretient une pente faible mais suffisante pour que l'eau s'écoule vers les points bas et les sorties possibles (rivières, sources, mines d'eau).sous l'effet de la gravité, l'eau souterraine s'écoule comme l'eau en surface, mais freinée par le frottement dans les pores de la roche, le phénomène peut durer des semaines voire des années. source brgm dans un karst, très perméable et très présent en provence, cela dure de quelques semaines à quelques mois. dans un sable fin argileux, peu perméable, cela prend des années. pendant ce temps, l'écoulement des sources vide le réservoir et abaisse la surface. là est l'origine de la fluctuation du niveau des nappes, et le niveau remontera aux prochaines pluies efficaces. l'amplitude de la fluctuation est maximale loin des sources. en revanche, aux sources, le niveau varie peu, c'est le débit qui fluctue. seillons : les pieds dans l'argile... l'écoulement des nappes vers les cours d'eau en période de pluie efficace, les nappes et le ruissellement de surface en bénéficient. il y a des crues quand le sol gorgé d'eau ne peut absorber plus vite que sa perméabilité ne le lui autorise.cependant, lorsque les ruissellements cessent, ce qui se passe de façon progressive, les fleuves ne s'assèchent pas, ou pas tout de suite car ils sont alimentés par la vidange des nappes (par les sources) et par l'effet d...


4. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...ésagréable des fleurs en question, dont l’identification est difficile (famille des chénopodiacées). cela ressort d’ailleurs de son journal du 9 mai : « quelle patraque je fais donc à présent. […] je ne veux rien que guérir ma pauvre estomaque et connaître un peu mieux les chénipodées… ». et de nombreuses critiques … on sait que notre romancière n’a pas été tendre avec les mœurs des provençaux, l’habitat (« les bastides horribles avec leur façades noires »), le centre-ville de toulon, « sordide et puant », le mistral, « une poussière qui tue tout aussi loin que la vue peut saisir le détail », « il faudrait la chute du niagara pour abattre la poussière de toulon ». ses critiques sont également nombreuses sur nos paysages arides et notre végétation qui lui font regretter ceux de son cher berry. ainsi : « les pins rabougris, les cistes et toutes les plantes dures de ces terrains brûlants. on dira ce qu’on voudra, j’aime mieux gargilesse, et même crevant, avec ses eaux vraiment vivantes et ses bois de hêtres magnifiques. on m’avait promis ici des forêts de châtaigniers, que je n’ai pas aperçues. ils sont fort blagueurs ou se contentent de peu en fait de verdure, les toulonnais ». ou encore : « la sècheresse est effrayante. je doute beaucoup qu’il y ait de la vraie fraîcheur et de la vraie végétation en provence. je crois que les gens du pays ne savent même pas ce que c’est ». « les pins d’ici sont tristes à faire peur ». quant aux bords du gapeau : « il y a là une zone de fraîcheur qui repose de la provence sèche et poudreuse. mais ça n’enfonce pas les bords de l’indre. Ça n’approche pas ceux de la gargilesse ». « nous y voyons avec plaisir des ormeaux, des peupliers, des aulnes, des chênes, ce que l’on appelle de vrais arbres, car tous ces arbres à feuilles persistantes ont l’air d’être artificiels ». « c’est très joli les bords du gapeau, mais les collin...