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6. 🚶 Balader au Revest Les grottes de sable de Tourris

...nuer à gauche en direction du revest et des olivières (dont l'accès sur la droite se trouve 100m plus loin). poursuivre sur 120m environ, obliquer sur la gauche par une petite draille pour trouver 15 ou 20 m plus loin le deuxième puits (imbert ?) et une auge pour les animaux installée par les chasseurs (4) reprendre le gr direction tourris, puis au virage en s reprendre la petite draille avec la montée mais bifurquer sur la gauche cette fois-ci. on retrouve le gr, qu'on prend sur la droite. remontée sur la piste, poursuite vers la droite sur 100m. les carrières devenues grottes suite à leur exploitation, sont à gauche ; une première squattée et dégradée, plus loin sur la gauche d'autres à explorer à la frontale. encore plus loin, on trouve un wagonnet restant de cette exploitation(5). de retour sur la piste, à 100m, toujours en en direction de tourris, prendre une draille parallèle au gr. sur la droite, une première ouverture de galerie de bauxite, puis une deuxième galerie ouvragée et datée (6) continuer le chemin. a 200m, prendre la draille de gauche qui ramène sur la piste et poursuivre en direction du point de départ en restant parallèle à la route. après la barrière du château de tourris, prendre le sentier vers la droite, passage dans une partie boisée avant de retrouver le chemin du château. prendre à gauche pour aboutir sur la route peu avant la ruine de la verrerie(7). points de passage d/a : km 0 - alt. 349m - tourris - portail d'entrée du terrain militaire 1 : km 0.23 - alt. 349m - le goudron- bassin-mûriers 2 : km 1.32 - alt. 333m - carrière aux fourmis 3 : km 1.8 - alt. 317m - le puits réhabilité par michel lambicchi 4 : km 2.56 - alt. 295m - le 2eme puits au dessus des olivières 5 : km 4.69 - alt. 359m - grottes de sable.wagonnet 6 : km 5.15 - alt. 369m - 2ème galerie. bâti daté...


7. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Rencontre avec le 3e RTA par René Poch

...opper et faire demi-tour car il ne faut pas emprunter le chemin charretier conduisant au revest, il est à découvert et trop exposé aux tirs des forts faron et coudon, ceux-ci étant fortement armés ; à l’ouest, aucun risque, le caume est désarmé. alors, je prends la tête en compagnie de l’aspirant serette, de la compagnie vieules suivi d’etienne camolli (16 ans), fils de louis, guy d’ollonne (17 ans), dominique grandi, benoît muraccioli et les tirailleurs bien sûr. nous plongeons en file indienne, à vive allure vers le revest dont on aperçoit la tour émergeant de la brume. nous nous arrêtons un instant sur une arrête rocheuse, lieu dit « les abeilles », l’aspirant serette observe aux jumelles le village et ses alentours, tout est calme. il donne nos positions à ses supérieurs hiérarchiques par radio « talkie-walkie ». notre arrêt permet aux hommes de serrer et de se regrouper. nous repartons au pas de course, passons devant la mine de bauxite à la stupéfaction des familles revestoises réfugiées là. nous empruntons le chemin des baumettes, nous passons devant la propriété du docteur mouttet (où sera établi le p.c. quelques heures plus tard), nous passons par le chemin de la luzerne (nous ne voulons pas affronter les allemands par l’ouest, trop de risque pour la population) et nous arrivons derrière l’église. aimé moretti nous y attend. il suivait notre progression. après une brève concertation, nous nous séparons ; moretti engage le combat dans la rue où déambulent quatre allemands, il les met hors d’état de nuire avant que ceux-ci n’aient le temps de riposter. serette et moi-même contournons le village par le nord-est de la tour. nous nous trouvons au dessus du barrage et du mamelon du colombier où est installé un nid de mitrailleuses. les turcos ont aussi tôt fait de le neutraliser, sous une riposte mal assurée des allemands surpris. une compagnie, guidée par moretti et s...


8. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande La résistance au Revest par Dominique Moretti

... revest par dominique moretti le colonel de linarès (3e rta) et le colonel bonjour (3e régiment des spahis) dans un qg proche de toulon c’est parce que j’ai refusé de présenter les armes aux allemands en septembre 1940 que j’ai été, par un conseil de discipline, radié des sous-marins. je suis devenu radio à bord du paquebot « andré lebon », puis radio volant à bord du « richelieu ». mon oncle, m. bonini, facteur receveur au village, m’avait dit que louis camolli était radio. c’est au retour de ma permission libérable que j’ai rencontré louis : nous nous sommes vite compris. j’ai été démobilisé en novembre 1942 et enrôlé officiellement dans la résistance début 1943. louis camolli était notre responsable de secteur. je me suis fait embaucher à la mine de bauxite pour éviter le s.t.o. (service de travail obligatoire). dans la résistance, chacun avait son rôle. il y avait des types qui ne se sont jamais battus dans la rue : ils avaient autre chose à faire. pour ma part, je donnais des informations à louis camolli qui les transmettait à quelqu’un de la chapelle des moulins, quelqu’un que je ne connaissais pas. il a fallu l’après libération pour que nous nous rencontrions enfin. la population revestoise ne nous a jamais vendus, mais très peu savaient. personne ne connaissait personne, c’était pour notre sécurité. il ne me serait pas venu à l’idée de crier sur le port de toulon : « c’est moi, aimé (1), je suis résistant ! ». par exemple, j’ai connu l’aumônier robineau (2) au foyer du marin à saint roch : je ne savais pas qu’il était résist...


9. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande La mine de bauxite du Revest a évité le S.T.O., par Jacques Mouttet

...☨ la résistance sous l'occupation allemande la mine de bauxite du revest a évité le s.t.o., par jacques mouttet j’étais en faculté d’aix lorsque j’ai vu pour la première fois des soldats allemands : c’étaient des motards, ils étaient au bas du cours mirabeau. ça m’a donné un choc, je suis rentré immédiatement à la maison. c’était une impression très désagréable. je suis resté ici sans bouger. je me suis contenté de faire de la « résistance très passive », c’est-à-dire que le jour où j’ai reçu mon papier qui disait « prenez votre cuillère à pot » (c’était la première fois que je voyais cette expression), avec un rendez-vous à la gare pour partir en allemagne, je me suis débrouillé pour m’inscrire à la mine au revest. le comble ! c’est un collaborateur notoire (de toulon) qui m’avait dit que je devais partir en allemagne et qui me conseilla de me camoufler. á la mine, au début, personne n’y allait. l’électro-chimie a fait œuvre de puissance de bienveillance, car je n’étais pas le seul. et puis un jour, je pense qu’il y a eu délation, monsieur bertin qui était ingénieur des mines m’a dit qu’il fallait venir. au début, je travaillais dans les bureaux. mais un lundi, ils m’ont dit : « cette fois-ci, il faut descendre parce que la gestapo est venue dimanche et j’ai été obligé de jurer que vous étiez un bon mineur, un des meilleurs ». il y avait pas mal de monde dans cette mine. les deux tiers étaient des prisonniers rapatriés, les autres des gens comme moi, des « camouflés ». quarant...


10. ⛏ Carrières et mines La carrière de marbre de Malvallon

...⛏ carrières et mines la carrière de marbre de malvallon parmi les richesses naturelles du var et au même titre que le liège et le minerai de bauxite, il faut compter le marbre.des gisements de marbre existent , en effet, un peu partout dans ce beau département du var et plusieurs de ces gisements sont exploités avec plus ou moins d'intensité. entre toutes ces exploitations marbrières, une des plus intéressantes, tant par la qualité de la matière extraite que par les moyens d'extractions employés, est sans contredit la carrière de malvallon dans la commune du revest, à deux pas de toulon.alors que les carrières de brignoles, par exemple, ou celles de pourcieux, encore,sont exploitées depuis longtemps, cette carrière de malvallon est de découverte récente. voici 16 ans, seulement, que le propriétaire exploitant actuel, m. b., au cours de promenades dans cette partie de la vallée de dardennes, découvrit, en effet, ce très important gisement et ce n'est en fait que tout récemment que l'exploitation, dotée d'un outillage des plus modernes et très perfectionné, s'est placé au premier rang des carrières de notre département. l'histoire de cette jeune et forte entreprise est en elle-même assez curieuse: ayant par pur hasard découvert du marbre dans une propriété de famille, jusque là inculte, délaissée et sans valeur pour lui, l'exploitant actuel après s'être assuré par une étude des plus sérieuses de la réelle valeur de la matière découverte, et convaincu de l'importance que ce gisement de marbre pouvait prendre si on l'exploitait, résolut de consacrer ses efforts à cette tâche. il rechercha de l'aide et fut enfin secondé dans son labe...