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21. 🚶 Balader au Revest Les grottes de sable de Tourris

...de sable de tourris. moins de revestois que d'habitude, moins bien informés depuis la disparition de notre office de tourisme. l'annonce efficace et réitérée dans var-matin a quand même attiré des visiteurs de toulon, la seyne, la valette et le castellet, malgré le froid vif de ce dimanche ensoleillé. une richesse naturelle exploitée par l'industrie locale du verre le grand bâtiment en ruine de l'autre côté de la route, face au à l'entrée du terrain militaire était une verrerie. elle exploitait le sable des carrières toutes proches et le bois de la forêt alentours. voir notre article là : http://revestou.fr/pages/053-industrie-la-verrerie-de-tourris-fr.php description de la randonnée (d/a)départ de la zone de parking à l'entrée du terrain militaire, auprès de l'ancienne auberge baudissaire. prendre le petit chemin qui part de la bâtisse, bordé, de murs et de très vieux mûriers (élevage de vers à soie) (1)au goudron (fabrication d'huile de cade et d'une poix à base de résine de pin pour le calfatage des bateaux), traverser la route, prendre le chemin vers la droite, parallèle à celle-ci au bout de 200m, prendre à droite une petite draille poursuivre dans la même direction jusqu'à retrouver une piste, puis sur la droite la carrière dite des "fourmis", aux pierres sculptées d'animaux (2). continuer sur la piste jusqu'à un virage en s. peu avant, sur la gauche, il y a une ruine de bâtisse repérable à une samble au bord du chemin. prendre une draille sur la gauche juste en bas du virage, puis après une petite montée, prendre le chemin rejoint vers la droite sur 200 m environ, pour découvrir un puits réhabilité par michel lambicchi (3) continuer ce chemin dans les bois (très beaux murs de restanques appuyés sur la roche) qui débouche sur le gr 51. continuer à gauche en direction du revest et des olivières (dont l'accès sur la droite se trouve 100m plus loin). poursuivre sur 1...


22. 🌻 La flore Revestoise Le sentier botanique du pigeonnier en 1992

...our son exploitation pédagogique. le sentier botanique ce sentier présente la particularité intéressante de regrouper sur un petit secteur (- 5oo mètres) la plupart des espèces habituellement rencontrées dans le var, aussi bien sur les sols calcaires que dans les grands massifs cristallins (maures et estérel). c’est cette grande diversité qui fait la richesse de ce secteur. elle est due, entre autres, à l’affleurement de formations gréseuses au milieu d’un massif calcaire, rendant le sol plus acide dans certains secteurs et permettant l’implantation d’espèces acidiphiles. ainsi, au fil du sentier, on découvrira d’abord les espèces caractéristiques des formations végétales que l’on observe dans tous les massifs calcaires entourant toulon : garrigues avec du chêne kermès, le romarin, le ciste cotonneux ou le cade, pinèdes à pins d’alep ou yeuseraie, c’est-à-dire chênaie à chênes verts accompagnés du laurier tin, de la filaire ...á partir d’un secteur de pins pignons, une transition va progressivement se faire vers des espèces caractérisant plutôt les massifs cristallins tels les maures, toutes proches : la bruyère et l’arbousier, la lavande des maures, le chêne liège et enfin les pins maritimes qui, ici comme ailleurs dans le département, subissent les attaques des cochenilles et meurent.la diversité du secteur est également marquée par la présence d’espèces recherchant les secteurs chauds telles que le myrte et le lentisque côtoyaient des espèces poussant en général dans des lieux plus froids comme le chêne pubescent.une autre particularité concerne un petit secteur, au pied du pigeonnier...


23. 🏡 Le hameau des Olivières Tourris et les Olivières en 1850

...vaient été plantés en grand nombre. leurs feuilles (terme employé: la rame) permettaient de nourrir les vers à soie. ils étaient élevés dans de grandes salles sur des canisses faites avec des roseaux entourés de fil de fer, posées sur des tréteaux et étagées à raison de trois canisses sur chaque tréteau, séparées entre elles par des morceaux de bois. quand le ver à soie commence à balancer sa tête de droite à gauche, cela veut dire qu'il se prépare à faire son cocon. instinctivement, il cherche à s'isoler en grimpant. À tourris, c'était la rame de bruyère qui était utilisée pour cet isolement. la bruyère avait été coupée quelques temps auparavant. une fois séchée, elle était secouée perdant ainsi ses fines feuilles. le ver à soie montait dans ces rames et construisait son cocon. les cocons étaient vendus assez cher et cela permettait à pas mal de familles de vivre avec le produit d'une vente égale à deux mois de travail. l'huile de cade à goudrongoudron : c'est le nom de la grande et longue bastide (en ruine) qui se trouve à l'entrée de l'allée des mûriers qui mène au château de tourris. cette bâtisse aurait servi à l'industrie de l'huile de cade. la distillation du cade donnait un onguent utilisé en pharmacie dentaire et en pharmacie vétérinaire (cette huile a donné naissance au fameux savon : le savon cadum). le boispour extraire l'huile de cade, les souches étaient chauffées à l'étouffé. puis ces souches, vidées de leur sève, étaient transformées en charbon de bois qui servait à chauffer les fours de la région, fours où l'on fabriquait de la chaux vive. par ailleurs, on écorchait la rusque (l'écorce) des chênes verts au moment de la sève montante (entre mars et mai). la rusque était vendue dans les tanneries du gapeau pour la confection de l'indispensable tanin. le bois restant après cette opération allait au chauffage des fours de la verrerie. la verrerie d...


24. 🖋 1918 - 2018 Centenaire de l'armistice Le 111e RI d'Antibes régiment martyr, régiment maudit

...lle de verdun, lors du massacre du bois de malancourt en mars 1916.dans les deux cas, les officiers du commandement ont fait porter aux soldats la responsabilité de leur propre échec et de leur propre incompétence. se faisant même l'écho de la propagande allemande qui prétendait que les troupes s'étaient rendues sans combattre. et répercutant cette "fake new" vers la presse française dieuze 20 août 1914 a partir du 10 août 1914, la 2e armée française passe la frontière de 1870 et pénètre en lorraine. sur un front de 50 km, les français envoient au front division après division. le premier affrontement, le 14, cause déjà des pertes sévères, mais les allemands reculent, et l'avance se poursuit, rapide, jusqu'à dieuze que des informations disent dégagé. mais les renseignements sont faux, les allemands on tendu une embuscade géante et bombardent les troupes françaises depuis les collines environnantes dans un enfer de feu et de métal. la 6e armée allemande est incomparablement supérieure en position, en nombre, en puissance de feu : nos canons de 75 n'ont ni le "calibre" ni la portée nécessaire à la réplique. c'est notre 2e armée toute entière qui encaisse des pertes catastrophiques et fait retraite dans un désordre total. le 111e régiment d'infanterie d'antibes enregistre 70% de pertes ce jour-là. qui se monteront à 89 % pour les 45 premiers jours de guerre. louis justin laure, revestois mort pour la france, a été tué à l'ennemi à dieuze, le 20 août 1914. il avait 23 ans. le commandant en chef des armées, le général joseph joffre réfute l'erreur stratégique et refuse d'endosser la responsabilité de cette s&e...


25. 🚶 Rando Var Toponymie

...officielle, le français, parlé et enseigné sur tout le territoire, sa toponymie est le reflet d'une histoire riche en apports successifs qui ont chacun contribué à lui donner un aspect très varié suivant la région considérée. la consultation d'un cadastre, d'une carte, ou même d'un panneau indicateur place le randonneur en présence de nombreux noms de lieux dont la signification lui échappe, et dont peut être même ne soupçonne-t-il pas qu'ils puissent en avoir une. or si un toponyme doit permettre d'identifier très précisément un détail géographique localisé, il n'a pas été attribué par l'homme de façon arbitraire, mais dans un souci de description du paysage et d'évocation des activités que les habitants y exerçaient. ainsi à la cadière on extrayait l'huile de cade à partir du genévrier cade. sur le cadastre de nombreux lieux portent la dénomination cadenière, lieu où les cades étaient taillés. a l'aria en corse il y avait une zone de battage du blé car les vents étésiens soufflant avec régularité sur ce promontoire emportaient la paille que les fourches soulevaient en l'air... un exemple avec l'aulne le latin alnus est généralement considéré comme ayant laissé son nom à l'aune ou aulne d'où les noms aunaie, aulnaie. cette arbre hygrophile a valu aux emplacements humides qu'il occupe les noms de aulnay, aulnois, lannoy, launoy... un autre nom de l'aulne utilisé en vieux français et encore dans de nombreux patois est verne ou vergne, dit guern en bas breton. un mot issu du gaulois vernos (gallo-romain verna) subsiste dans de nombreux lieux dits : ver, vern, verne, vernais, verneuil, vernoil...