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11. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Histoire religieuse

... la révolution est peu riche en archives religieuses, la lecture des actes paroissiaux et les registres des délibérations du conseil de fabrique nous donnent de nombreux documents pour la période contemporaine. les chaises de la paroisse furent mises en adjudication le 25 septembre 1836. la chaisière intéressée ne fit aucune redevance à l'église. elle fut poursuivie en justice. le conseil de fabrique eut gain de cause le 22 mars 1838. en 1846, on délibéra et on vota au conseil de fabrique les fonds nécessaires à la refonte de la vieille cloche. par souscription, on remit la somme de 654 francs. c'est m. toussaint sabatier, fondeur, rue bonne­tière, à toulon, qui se chargea de « prendre la matière de la vieille cloche au prix de 2 francs le kilo, de fondre cette matière et de confectionner une nouvelle cloche de même poids, moyennant le prix de 3 francs 25 le kilo ». le conseil de fabrique s'engageait à fournir le bois nécessaire pour la fonte, les briques, chaux et sable, le charbon et la main-d'œuvre nécessaires pour confectionner ce fourneau. la réparation du maître-autel, qui fut décidée le 2 janvier 1848, coûta 1.600 francs. en 1849, on vendit de vieux objets dorés appartenant à la confrérie de la sainte vierge pour la somme de 135 francs. cette somme fut affectée au remboursement des frais occasionnés pour la réfection du maître-autel. dans la séance du 1er décembre 1850, le conseil de fabrique prit d'importantes décisions concernant l'administration religieuse et le règlement de certaines cérémonies: 1. –la fabrique cède spontanément, comme par le passé, ses droits à m. le curé de la paroisse sur les honoraires des messes hautes dans toutes les classes. 2. - elle alloue, à partir du 1er janvier 1851, la somme de cent francs pour indemniser m. le curé des honoraires qu'il percevait à ces mêmes enterrements, avant la promulgation du nouveau tarif. cette somme lui sera payée par portion égal...


12. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Bibliographie

...uvergne. histoire de la révolution française dans le département du var. abbé bouisson. — archives d'histoire et d'archéologie du diocèse de fréjus et toulon, n° 10, 3e année. bulletin de l'academie du var. — 1894 - 2» série - tome 17. archives de m. p. banon. archives de la valette. achard. — description historique, géographique... livre d'or de l'academie du var (1900). e. garcin. — dictionnaire historique et topographique de provence. bulletin de l'academie du var. — 1897 - tome 20. o. teissier. — histoire de toulon. docteur g. lambert. — essai sur le régime municipal en provence au moyen âge. henseling. — zig-zag dans le var - 6e série - 1935. louvet. — les troubles de provence. docteur raoulx. — le siège de toulon en 1707. docteur g. lambert. — histoire de la peste de toulon. d'antrechaux. — relation de la peste dont fut victime la ville de toulon en 1721. les cahiers de p. letuaire (1796 - 1884). — « recherches sur l'origine de toulon », par z. pons. bulletins de l'academie du var : années 1897, tome 20 ; 1898, tome 21. — « histoire de toulon sous nos rois », par c. nostradamus. ch. ginoux. — peintres, sculpteurs, architectes nés à toulon ou y ayant vécu. g. lambert. — consuls de toulon et commandants militaires. extraits des minutes du greffe de la cour d'appel d'aix-en-provence : folio 7 - case 5. l. lancelain. — terreur blanche et terreur rouge. archives communales du revest-les-eaux. archives communales de toulon. — série bb 42 - folio 11 ; bb 56 -folio 359 ; cc 561. archives departementales des bouches-du-rhone. — série c 374, 391, 403, 406, 409, 2.200, folio 289 ; 2.207, folio 26 - série b 803, 797 - série c 1.247, 310,...


13. 🚶 Balader au Revest Source de la Ripelle et grotte préhistorique atelier

...🚶 balader au revest source de la ripelle et grotte préhistorique atelier les dimanches 3 et 17 avril 2016, les associations société des amis du vieux revest et loisir et culture ont organisé une sortie pédestre de 9h00 à 12h00 avec pique-nique sur les restanques du château de la ripelle. les photos de cet articles ont été prises par notre guide bénévole, marie-hélène taillard. une boucle au départ du château de la ripelle qui nous amène jusqu'à la grotte atelier située au sud-est du mont combe. 7,5 km environ, 300m de dénivelé, accès à la grotte en zone de végétation dense. départ du parking du paddock, montée vers le château, piste de la ripelle qui longe le ruisseau des argéries, puis piste de la source (vestige de four à chaux), source de la ripelle (ancien bassin, tunnel, captage). de la source, montée vers le collet des argéries, puis le long d'un canyon vers le pont naturel et enfin vers la grotte atelier qui fait face à la vieille valette (ou vieux tourris). voir l'article sur la grotte atelier >>> là. retour au château de la ripelle par le chemin du jas. attention ! vêtements résistants, chaussures de marche, eau sont indispensables. ...


14. 🏡 Le hameau des Olivières Ainsi fut abandonné le hameau des Olivières

...s au réservoir à l’homme et aux troupeaux, demande l’achat et la fermeture du hameau des olivières (photographie 1) et commande de murer l’entrée du petit ragas des olivières et les fissures environnantes. revenons à la publication « la france ignorée ». e. a. martel précise qu’il a été membre de ce conseil qui a requis les précautions ci-dessus en 1911. il écrit aussi que ces mesures, dont les départs de tous les habitants du hameau des olivières, se révélèrent médiocres. le fossé de colature fut aussi jugé inefficace. ce conseil avait « objecté que les eaux du barrage seraient polluées par les poussières de la vallée, les ruissellements (ou infiltrations) du village du revest, voire même par les bêtes mortes que les pâtres continuent à jeter dans les ragas du grand cap, de morières, des oliviers, etc. » dès le 15 octobre 1914, toulon dut donc adopter le procédé rouquette (javellisation par l’hypochlorithe de chaux) pour l’épuration de ces eaux. en 1925, l’artillerie transforma les olivières et la plaine des selves en champ de tirs. nous avons relaté cela dans le bulletin n°46 de mai 2007. c’est le rapport établi par les militaires qui nous apprend que « le hameau des olivières, bien que partiellement en ruine, sert encore de refuge aux bûcherons et carriers. » aujourd’hui, le hameau des olivières est totalement ruiné. il respire le mystère des âmes parties. un grand chêne, plusieurs fois centenaire, vous accueille sur le chemin d’entrée. mais depuis une trentaine d’années, cette vigie observe une décharge qui s’approche lentement et sûrement. c’est l’ouvrage « le las : une rivière dans la ville », publié en 2008, et réalisé par les défenseurs de la nature, a. j. tardy, philippe maurel, paul courbon et thierry lamarque, que nous allons feuilleter maintenant. page 47, les auteurs présentent « la décharge de du ...


15. 🏡 Le hameau des Olivières Tourris et les Olivières en 1850

...ée quelques temps auparavant. une fois séchée, elle était secouée perdant ainsi ses fines feuilles. le ver à soie montait dans ces rames et construisait son cocon. les cocons étaient vendus assez cher et cela permettait à pas mal de familles de vivre avec le produit d'une vente égale à deux mois de travail. l'huile de cade à goudrongoudron : c'est le nom de la grande et longue bastide (en ruine) qui se trouve à l'entrée de l'allée des mûriers qui mène au château de tourris. cette bâtisse aurait servi à l'industrie de l'huile de cade. la distillation du cade donnait un onguent utilisé en pharmacie dentaire et en pharmacie vétérinaire (cette huile a donné naissance au fameux savon : le savon cadum). le boispour extraire l'huile de cade, les souches étaient chauffées à l'étouffé. puis ces souches, vidées de leur sève, étaient transformées en charbon de bois qui servait à chauffer les fours de la région, fours où l'on fabriquait de la chaux vive. par ailleurs, on écorchait la rusque (l'écorce) des chênes verts au moment de la sève montante (entre mars et mai). la rusque était vendue dans les tanneries du gapeau pour la confection de l'indispensable tanin. le bois restant après cette opération allait au chauffage des fours de la verrerie. la verrerie de m. de gasquethistoriquement, la noblesse se réservait le métier de verrier afin de concurrencer les verres de bohème. est-ce pour cela que m. de gasquet avait sa verrerie ? l'immense et haute bâtisse (en ruine) qui est à gauche de l'entrée de l'actuel terrain militaire est cette ancienne verrerie. le sable était extrait de sablières situées sur le versant nord de l'éperon des bouisses. ce sable, mélangé à la chaux fabriquée dans les innombrables fours, permettait de faire le verre de tourris. ce sont des jeunes gens qui étaient employés comme souffleurs de verre et qui fabriquaient essentiellement des bonbonnes et des boutei...