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Vous recherchiez le terme suivant :géologie
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⌘ Préhistoire L'atelier préhistorique de la Ripelle
...⌘ préhistoire l'atelier préhistorique de la ripelle
source : article de rené gérard publié dans le bulletin de la société de botanique, de géologie et d'entomologie du var nn°53 de 1939-1941 - repris en mai 2006 par la société des amis du vieux revest et du val d'ardène dans son édition spéciale consacrée au quartier de la ripe...
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✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand
...✍ Écrivains et artistes la botanique dans l’œuvre de george sand
conférence de jean-claude autran au revest le 28 mai 2016
comme cela ressort de son œuvre, george sand a bien eu du goût, de l’intérêt, de la passion pour la botanique, c’est à dire pour l’étude, la description, la dénomination, la classification des espèces végétales, et plus généralement pour les sciences naturelles puisqu’elle avait aussi une bonne expertise en géologie et minéralogie. pour elle, il était important de savoir nommer et classer.
a - origines de la passion de george sand pour la botanique
le xviiie siècle avait mis à la mode l'habitude d'herboriser, à l'image de jean-jacques rousseau. tout comme alexandre dumas (né en 1802), qui avait une profonde connaissance de la nature, george sand (née en 1804), manifeste beaucoup d’admiration pour jean-jacques rousseau.
les goûts naturels de la jeune aurore [on rappelle que notre romancière ne prit le nom de george sand qu’en 1832 et qu’elle naquit « amantine aurore lucile dupin »], son enfance à nohant, dans le berry (à partir de 1808), tout cela fera d’elle un être passionné par la nature et particulièrement par la vie végétale et par ses manifestations les plus simples comme les fleurs, les herbes et les jardins.
cette passion de george sand pour la botanique ne va cesser de se développer au cours de sa vie grâce à son travail à partir des ouvrages de l’époque, mais surtout grâce à sa rencontre avec plusieurs personnages férus de botanique : son précepteur deschartres ; un étudiant parisien, de grandsaigne, qui lui enseigna les sciences naturelles ; un certain germain de saint-pierre, lorsqu’elle viendra séjourner à tamaris, de qui elle écrira « j’en ai plus appris avec lui dans un soir que les livres ne m’en ont encore fait comprendre ». mais ce sera surtout jules néraud (dit le malgache) qui sera, pendant de nombreuses années, son guide botaniste le p...