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Page 6 - 10 sur un total de 37 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. ⌘ Préhistoire Vestiges préhistoriques à La Ripelle

... très grand nombre d’éclats informes de silex de mauvaise qualité, noirâtre, et quelques-uns en silex blond ; - une pointe de flèche en forme de feuille de saule, taillée d’un seul côté et une autre semblable en silex blanc ; - une extrémité de grosse pointe ; - 2 lames de 5 cm de long en silex noir et une petite lame en silex blond ; - 4 grattoirs ; - un galet plat et triangulaire, aux angles arrondis et biseautés, ayant peut-être servi de lissoir, un éclat de schiste et plusieurs morceaux d’ocre jaune. le calcaire local offrait assez de silex pour satisfaire les biens des occupants de cette colline très ensoleillée. dans le maquis qui couvre les pentes descendant vers la ripelle on peut encore trouver ce silex dans sa gangue. cet atelier semble avoir été peu important. autres objets recueillis dans les grottes-tombeaux objets en pierre (industrie lithique) 1 pointe de flèche en silex ramassée à la surface du sol ; 2 pointes de technique solutréenne* et 2 autres s’apparentant à celle de bruniquel*. cette industrie paléolithique en grotte, rare en région toulonnaise, est bien réelle. jean courtin a confirmé l’existence de ce paléolithique. 4 pointes de flèches foliacées, bifaces, certaines à bords denticulés objets en os une esquille utilisée comme aiguille. objets en terre cuite (céramique) des tessons ornés d’un décor digital, de l’age du bronze (layet). des tessons à surface lissée. des débris de poterie attribuables à l’époque néolithique * et au chalcolithique*. parures dans la grande grotte une pendeloque en cristal de roche avec un trou de suspension percé en biais ; des perles en...


7. ☥ Cultes et religions La Chartreuse de Montrieux et Le Revest-les-Eaux

...it à la maison de montrieux par guidon de soliès qui a été moine du dit monastère, des terres dites de besson, de rullacane, de la moitié d'un champ dit du reveste, pour laquelle ils reconnaissent avoir reçu 40 sous royaux. l'acte passé au lieu dit pasaraque et confirmé dans le château de soliès, en présence d'étienne, évêque de toulon, écrit et signé par guillaume de valbelle, notaire de toulon." (f° 60 - verso) en 1224, le chapitre général de l'ordre des chartreux a enterriné et confirmé, par un acte du 10 des kalendes de juin (21 mai), les donations faites à montrieux en 1222. a propos du mot "besson", dont il a été question, nous signalerons qu'un quartier de malvallon, il existait une fontaine dite des "3 brousson ou besson". en provençal, brousson veut dire jumeau. les activités agricoles et industrielles des chartreux les moines furent non seulement des agriculteurs, mais ils surent très vite exploiter toutes les activités industrielles qui s'offraient à eux en fonction des richesses du pays. ils créèrent des moulins à huile et à farine, ils créèrent un paroir à drap, une tannerie. ils exploiteront des mines de cuivre et, utilisant le combustible du bois, tireront du minerai, des lingots qui, façonnés, leurs permettaient de fabriquer de nombreux ustensiles dont les habitants des villages voisins furent les premiers à se servir. nous rappellerons qu'au quartier des bouisses, tous les ustensiles servant aux vendanges furent ceux qu'avaient confectionnés les moines. ces mines de cuivre étaient situées à raboeuf, l'auberte, la vignasse, baralet, la font martin. mais c'est dans la fabrication du verre que les chartreux excellaient. ils furent les premiers à e...


8. ✍ Écrivains et artistes George Sand au Revest

... des blocs énormes. le meunier qui m’a servi de guide assure même qu’elle les apporte du fond du gouffre. elle se précipite dans la gorge que nous avons franchie et va rejoindre la dardenne. mais le phénomène se produit rarement et presque jamais hors de l’hiver. un m. morelli a entrepris d’amener les eaux de cette source à toulon qui est fort peu riche sous ce rapport. il fait percer le rocher aux bords de la dardenne, et compte pousser son tunnel jusqu’au niveau du puits souterrain, c’est une très belle idée et je crois très réalisable, mais ça fait crier tous les messieurs qui croient qu’on leur prendra leur eau, et ça n’a pas l’air d’être encouragé, ni aidé largement, car il y bien peu d’ouvriers et des petites machines bien petites. on dit que c’est tout ce qu’il faut. alors gloire à l’industrie humaine, qui avec ces jouets mignons pénètre dans les entrailles de pareilles montagnes, roche compacte partout, dure comme le fer, ce sur une étendue d’au moins un quart de lieu.manceau fait un croquis. je me repose au milieu des cytises, des lentisques, coronilles, jonc, myrtes superbes, lauriers roses, smilax arbousier, cistes (monspel pas d’autres), auprès des trous creusés par les martres dans une souche pourrie. le meunier joue avec son chien. marie qui a été intrépide se repose, matheron fait des phrases et raconte des anecdotes. il s’écrie avec enthousiasme en apprenant les éruptions d’eau du ragas « posiétivement c’est une eau qu’il doit avoir ouna force-considerablou ». la source de vaucluse communique selon lui avec je ne sais quelle montagne où un berger surpris par l’orage et l’inondation perdit tous ses moutons, faillit p&ea...


9. ❂ Balades historiques Qui sont les Comoni du Revest ?

...dans son article "l'habitat préhistorique du revest" (bulletin n°11 des amis du vieux revest, mai 1989), monsieur jean-baptiste joubert, membre de i'académie du var, a rappelé combien le passé de la commune remonte loin ainsi que l'attestent les fouilles effectuées notamment dans les grottes de lauron. "la plus grande (de ces grottes) se trouve à l'ouest du village, au bas de la falaise méridionale du mont caume, près de la source charlois, l'archéologue durand y a trouvé la mort, écrasé par un rocher. elle a été fouillée principalement par monsieur veraldo en 1947-48 et nous avons refait ensemble un sondage en 1961.dans 1,40 m d'épaisseur de terre, quatre niveaux ont été reconnus, allant du néolithique moyen aux âges du bronze, remontent peut-être même au paléolithique supérieur. on peut signaler en particulier : l'industrie lithique en silex : grattoirs sur lame, burins, haches polies en roche verte (serpentine), objets de parure : perles en roches vertes, pendeloques en os, céramiques : fragments de vase en pâte noire décorés de bandes horizontales de chevrons gravés aprés cuisson, bols à fonds ronds ou plats à décor digital (doigts), industrie osseuse : poinçons, rondelles, .... les restes de sept squelettes jeunes et de petite taille, il s'agit d'un ossuaire à 2 rites funéraires (entassement des os dans une fosse et plus récemment incinération), enfin parmi les animaux, des bovidés, suidés, chiens, tortues, une dent d'ours ... le lauron. capitale des camatuliciens ? le sol de la provence était occupé depuis la plus haute antiquité par des populations de ligures auxquelles se sont joints des celtes. ces celto-ligures, combattus par les grecs massaliotes &eacut...


10. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Les forges

...vendu les forges à mm. honnorat, colombeau et cie. le détail des installations et de la machinerie de cet établissement nous est fourni par « un projet d'affiches » qui date de 1820. «l'usine de dardenne» comprend une affinerie, un grand martinet à deux foyers, un petit martinet à un seul feu, 16 petites forges à bras, 4 petites forges de chantiers également à bras. ces machines, pour celles qui fonctionnent en dehors de toute main-d'œuvre, sont propulsées par un cours d'eau dérivé du canal communal de toulon, « dit le béal », mais le sieur aguillon payait une redevance à la ville. d’intéressantes précisions nous sont données sur le nombre d'ouvriers employés à la production, etc. lorsque « l'usine » marchait normalement, elle employait trente ouvriers. en 1820, cinq ou six ouvriers seulement sont occupés. en pleine activité, « l'usine » pouvait fournir de 1.200 à 1.500 quintaux île fer, destinés en partie à la marine royale, en partie aux industries privées. À lui seul, le grand martinet pouvait fournir 200 quintaux d'ancres, d'essieux de charrettes, de plaques pour la papeterie. le combustible utilisé, principalement du charbon de bois, provenait surtout des forêts des environs de toulon. la consommation annuelle était de « 12.000 à 15.000 quintaux ». une certaine quantité de houille, « 4 à 5.000 hectolitres » était acheminée de saint-Étienne, par le rhône, et servait, elle aussi, à l'entretien des feux. le grand martinet, à lui seul, consommait 800 hectolitres de houille annuellement. au début du xixe siècle, cet établissement est appelé : « forges impériales maritimes » (1807). une famille a participé activement à la marche de ces «forges de l'État» (1304), il s'agit de la famille vincent. nous trouvons françois vincent, contremaître des « forges », en l'an xiii ; françois vincent, entrepreneur des « forges de dardennes » (1806) ; joseph vincent, maître des « forges impé...