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6. 💬 Les Revestois racontent Mon pays, c'est la colline par Claude Chesnaud

...💬 les revestois racontent mon pays, c'est la colline par claude chesnaud source : texte de claude chesnaud mots en provençal d’après le « dictionnaire » d’andré quadruppani. enfants des collines, nous partions parfois à l’aventure dans le grand cap. partir à l’aventure, ce n’était pas excessif : nous allions vers un monde fantastique. après avoir quitté jojo cacao (notre joseph martin) qui prenait souvent le soleil sur une restanque à la ripelle, on croisait la peu souriante fine guigou (la bergère) qui nous guettait sur le plateau de tourris. puis nous traversions le hameau des olivières dont les ruines étaient déjà peuplées de fantômes. alors nous montions dans « le cap » par la carrière de marbre et le vallon des grandes sambles (vallon du cierge). le chêne kermès (avàu), le genêt d’espagne (gineste), le genêt piquant (argèiras) et la salsepareille (sarreta) étaient rapidement remplacés par du chêne vert (tousca) et du chêne blanc (rouve). un romarin (roumanieu) par ci par là cachait un lézard vert (limbert). parfois nous surprenions un geai (gai) ou une belette (moustello). sur le sommet du cap, il n’était pas rare de rencontrer un lièvre (lèbre) ou des perdreaux (perdigau). l’hiver, c’était le passage des grives (tourdre, siblaire, cha-cha et sèiro) et des pigeons (pijoun) qui nous faisait marcher le regard vers le ciel. si le retour se faisait à la nuit, dans les chênes verts nous entendions les lérots (garri-gréu) très bruyants et « musiciens ». le micocoulier (falabreguie) nous attendait devant notre maison : une fois encore nous n’avions pas rencontr&eacu...


7. 💬 Les Revestois racontent Entretien avec Jo Doglioti, habitant de La Tourrevelle

...bitude, sans dépasser les limites de la propriété, de venir à notre rencontre. alors, nous grimpions sur son dos, et elle nous ramenait jusqu’à la maison de la tourrevelle par le chemin qui n’était pas encore goudronné. l'escapade de la mule de la tourravellearticle d'édouard fousse dans le var-matin république du 14 octobre 1977 il y avait l’électricité, et l’eau venait du puits qu’une éolienne pompait en permanence. cette eau arrivait devant la maison. les propriétaires de la tourrevelle avaient laissé à notre disposition un vieux véhicule : une juva 4 renault. l'éolienne en mars 2019 *josette andréani (1923-1983) a été d’abord mariée à vincent doglioti (un enfant : joseph, dit jo), puis à émile bartoloméo (deux enfants : christian et martine). source : balade au château de la ripelle - mai 2006 - recueil publié par les amis du vieux revest et du val d'ardè...


8. 💬 Les Revestois racontent Françoise Cucchi, dernière habitante de la Tourrevelle entre 1960 et 1997

...ve;rent, en 1960, le réfrigérateur à la hauteur de la grotte de lespine car ils n’osèrent pas aller plus haut ! 1997, la fin du paradis : la tourrevelle change de propriétaire : le conseil général achète le domaine. un courrier est adressé à mme cucchi, courrier lui demandant de quitter les lieux. la promesse de m. vidal (maire du revest-les-eaux) ne sera pas respectée : le maire s’était engagé à maintenir la famille cucchi à la tourrevelle. après le décès de m. vidal, une pétition nauséabonde aboutira en mairie. un journal satirique toulonnais écrira : « un hobereau du département y installe son fils. » mais finalement, personne ne remplacera la famille cucchi. les vandales laissent la tourrevelle aux vandales : en 1998, les bâtisses sont ruinées ! la tourrevelle en mars 2019 source : entretien avec françoise cucchi. balade au château de la ripelle - mai 2006 - recueil publié par les amis du vieux revest et du val d'ard&egra...


9. 💬 Les Revestois racontent Rencontre avec Madame De Mostuejouls

...justin de mostuejouls, régisseur du château de tourris. jean beaudissaire le remplaça vers 1966 quand les militaires le firent partir de cordière. au château de tourris et à l'auberge, il y a toujours eu le téléphone. le château a été longtemps alimenté en électricité par un groupe électrogène.les carrières étaient très actives. - mon frère gaby a travaillé avec monsieur arrati, contremaître dans la carrière de marbre . ces blocs étaient coupés par un câble d'acier, refroidis par de l'eau. -c'est pris entre deux de ces blocs que monsieur arrati est mort écrasé.ces blocs étaient des cubes avec des arêtes d'environ un mètre. cette exploitation a cessé dans notre commune dans les années 1970.- je me rappelle de ces gros camions qui roulaient doucement. il y avait un bloc sur le camion, un bloc sur la remorque. ces camions avaient de grandes roues à bandage. carrière de tourris : un camion et sa remorque avec deux blocs de marbre - vers 1930 source : someca avant d'arriver à l'auberge, dans la montée, il y a à gauche de grandes restanques. on y cultivait des immortelles pour les cimetières. pendant la guerre, il y avait un chantier de jeunesse où l'on fabriquait du tissus avec de la fibre de genêt. cette fibre servait à la confection du dessus de chaussures dont les semelles étaient en bois.la route n'était pas goudronnée. le tracé actuel date des années 1970, il est le résultat de l'extension de l'actuelle carrière du revest.dans mon journaou, il y a un cabanon. c'est le grand père de mostuejouls qui l'a construit. il est d'ailleurs mort d'un arrêt cardiaque pendant cette construction. c'était une famille de chasseurs de grives et de lapins. ils ramassaient aussi les champignons que i'on trouvait alors en abondance.le 13 juillet 1967, la maman de jacqueline de mostuejouls, madame soubic, est décédée. jusqu'à la fin de sa vie, elle est montée à tourris en se faisant acc...


10. 💬 Les Revestois racontent La Sainte-Rose selon Pierre Trofimoff

...💬 les revestois racontent la sainte-rose selon pierre trofimoff source : pierre trofimoff in bulletin avr n°3 de mai 1987 il n'a pas été plus facile de retrouver trace de la vraie sainte-rose de dardennes que de convaincre les autochtones que sainte rose n'était pas la véritable, l'authentique patronne du hameau de dardennes. la sainte-rose en 1970 avec la saint-pierre-es-liens et la saint-christophe du revest, sainte-rose est une des plus anciennes fêtes patronales de l'arrière-pays toulonnais. sainte-rose-de-lima a détrôné la saint-andré depuis 1863. car c'est bien saint andré qui fut de tout temps le saint vénéré de la vallée d'ardenne. les inestimables travaux du commandant laflotte, publiés dans le bulletin des amis du vieux toulon de 1928 et 1929, le confirment. une des premières chapelles qui ont existé avant la résidence d'état des évêques de toulon, à la hauteur de saint-antoine (usine à eaux de l'ozone) était dédiée à saint andré. elle changea de nom et prit celui de bonnefoi ou boniface ou bonnafé. cette chapelle a été détruite dans les années 1965-1968. elle se trouvait très exactement devant l'huilerie saint-antoine. une des redoutes de la défense extérieure de toulon, sur la rive droite du las, aurait emprunté au voisinage de cette chapelle son nom de saint-andré. en 1926, elle faisait partie du domaine de saint-andré, alors propriété de monsieur rimbaud, actuellement "la valtière saint-andré", propriété de l'amiral vatelot. pour être plus précis, car jusqu'ici les explications données plus haut concernent des quartiers situés sur la commune de toulon, il convient d'ajouter que l'...