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1. 🏭 Industrie Forges et forgerons de Dardennes

...nom des époux de claire et de catherine, nous ne savons pas si elles ont eu des enfants. sur la génération 3, les 26 petits-enfants de françois descendent de 5 de ses enfants. pendant la révolution, 18 revestois ont figuré sur la liste des émigrés. parmi eux, marie vincent (génération 2) et son mari nicolas le tellier, forgeron. mais aussi un françois vincent, forgeron, que nous ne pouvons identifier avec certitude. notre françois vincent, maître des forges de dardennes avait en effet un homonyme, forgeron au revest et natif de cosne tout comme lui. au recensement de 1841, edmé vincent (génération 2) et deux de ses fils se déclarent encore forgerons à dardennes. son frère joseph est adjoint au maire. en 1846, seules deux maisons du hameau de dardennes abritent encore des vincent : joseph (génération 2) et sa femme élisabeth daumas qui ont 72 ans. et reine théotiste, la veuve d’edmé avec sa fille élisabeth qui a 24 ans. en 1851, reine, 71 ans, vit avec sa fille élisabeth et deux de ses fils, forgerons, qui sont revenus vivre à la maison : joseph, 32 ans et aimé, 28 ans. (génération 3) en 1856, reine, 78 ans, vit seule mais sa fille élisabeth vit aussi à dardennes, elle a épousé le boulanger guillaume alexandre bonin et ils ont un petit garçon, paul gustave. (génération 4). qui va se marier (avec marie reboul) ; ils auront 5 enfants (génération 5) qui grandiront à dardennes. parmi eux paul qui à 14 ans travaillera déjà avec son père lequel est devenu marchand de tissu. noël vincent, (génération 4) arrière-petit-fils de françois, était maire du revest de 1881 à 1882 et son nom est porté sur le m...


2. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Rencontre avec le 3e RTA par René Poch

... aux gradés de se mettre en route. il doit être deux heures du matin et il faut arriver à la pointe du jour au revest pour créer la surprise ! les gradés ne sont pas notre avis et nous demandent de tempérer notre ardeur ; d’une part il faut l’ordre du p.c. (installé à siou-blanc) et d’autre part, les hommes ont besoin de repos, après une marche forcée depuis montrieux-le-jeune (une vingtaine de kilomètres). en effet, les gars sont allongés à même le sol, sur les cailloux, dans tous les sens, ou bien fumant une cigarette. en attendant le café qui ne viendra pas car le feu est interdit. ensuite, un gradé nous dirige vers siou-blanc où nous sommes attendus. louis camolli laisse un petit groupe sur place et amène les autres avec lui ; notre groupe se compose de : georges soma, « miette » menconi, benoît muriaccioli, rené poch, ainsi que notre chef. nous rencontrons le commandant rocquigny, au croisement des pistes daumasse/grand cap et siou-blanc/le revest. discussion entre gradés, puis le bataillon s’engage sur le sentier, en file indienne conduisant vers le vieux jas d’orvès et le broussan. soudain la colonne stoppe : le colonel de linarès rejoint le commandant rocquigny dans le sentier. ils sont impressionnés par la masse majestueuse du mont caume qui apparaît au sud/sud-est. nous apercevons nettement les superstructures du fort. nous sommes sûrs et certains qu’il n’est pas armé. nous y avons fait une incursion deux jours auparavant. cependant les gradés demeurent sceptiques. de linarès envoie des éclaireurs, guidés par « miette » sur le caume, et rocquigny fait reprendre la progression. il faut absolument être tôt aux lisières ouest de toulon et couper la route toulon/marseille. il est cinq heures environ, de linarès laisse le bataillon de rocquigny pour reprendre sa jeep et rejoindre la colonne de gauche du bataillon ruault qu’il retrouvera vers 6 heures en...


3. 👥 Destins revestois Pierre François Meiffret, maire de 1906 à 1916

...👥 destins revestois pierre françois meiffret, maire de 1906 à 1916 pierre françois meiffret (avec un f ou deux, c'est selon) a des ancêtres mystérieux, on ne peut remonter qu'à ses grands parents et aussi un couple d'arrière-grands-parents. dans cette famille, on rencontre des castel et des paulé, des noms bien revestois. mais lui est né au hameau des olivières, le 2 mai 1845. ah quand on dit les olivières, on a tout dit, et la nostalgie est au rendez-vous. on peut donc mettre des noms sur les fantômes qui ont habité ces maisons sans toit aujourd'hui envahies par les arbres et le lierre ? peut-être habitait-il la maison meiffret avec son bel escalier en courbe. peut-être ... mais au recensement de 1841 les 8 maisons du hameau étaient toutes habitées par des meiffret ... ses parents christophe et anne daumas habitaient le hameau depuis leur mariage en 1829. ils y seront recensés jusqu'en 1851. ils étaient cultivateurs, comme leurs parents. et n'avaient à part pierre qu'un autre enfant, marie virginie, née en 1830. pierre françois se marie en 1869 avec paule anaïs artigue, ils vont habiter le village, puis dardennes. dès 1870, à la naissance de leur premier-né célestin fructueux, pierre se dit cafetier, puis limonadier en 1897, et cafetier en 1906. mais en 1872, il indique "cultivateur". il avait dû garder des terres. pierre et paule auront 6 enfants, dont l'un meurt tout bébé et un autre à la guerre, à 23 ans : c'est Émile maur meiffret dont le nom est gravé au monument au mort. pierre françois, qui avait perdu sa femme en 1900, meurt deux mois après la mort de son fils, à 71 ans. pierre françois meiffret est le grand-père de pierre paul meiffret, qui sera maire du revest de 1935 à 1941 et l'arrière-grand-père de c...


4. 🗣 Traditions Remèdes de grand-mère

...s médecines simples, à base de plantes, de légumes, d'objets quotidiens, des médecines qui réconfortent et il nous faut situer d'abord le rôle de la grand-mère autrefois : qui était-elle ? c'était un personnage important de la cellule familiale. souvent marraine d'un de ses petits-enfants, elle veillait sur eux pendant que les parents travaillaient aux champs. elle était aussi la gardienne des traditions. il est vrai qu'à cette époque, parents et enfants habitaient souvent dans le même village, si ce n’est dans la même maison. souvent donc les grand-mères étaient celles qui prenaient en charge les malades. ces femmes âgées étaient les garantes du savoir médical traditionnel, elles transmettaient tout un enseignement pratique et moral par imitation. citons pour mémoire, pris dans les actes d'état-civil du revest-les-eaux, anne daumas née en 1767 à la valette, mariée en 1789 avec pierre meiffret, domiciliée aux bastides des olivières. elle apparaît, sitôt après son mariage, comme témoin dans les actes de nombreuses naissances revestoises, ce qui prouve qu'elle était demandée (sans être sage-femme) pour aider aux accouchements et aux soins qui s'ensuivaient. elle est mentionnée aussi comme témoin dans plusieurs actes de décès prouvant ainsi sa présence auprès des malades jusqu'au moment de leur trépas. mère de dix enfants, elle remplit ce rôle jusque vers 1850 quelques années avant son décès en 1859, à l'âge de 94 ans !! le terme de remèdes de grand-mère évoque un retour aux sources : d’où venait ce savoir ? les livres de colportage, littérature florissante des 18e et 19e siècles, les livr...