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Vous recherchiez le terme suivant :fournier


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1. 🚒 Incendies La défense de la forêt méditerranéenne

...t de serre que nous devons à l'accumulation de co2 dans l'atmosphère, nous vaut un réchauffement certain. celui-ci ne peut que déplacer vers le nord les conditions de désertification. les pourtours méditerranéens évoluent ainsi, comme l'a fait le sahara qui se traversait en char à bœufs il y a moins de 2000 ans. sans une alimentation et une protection des eaux souterraines, le destin du sahara sera-t-il celui du bassin méditerranéen ? l'érosion les chiffres, clamés sans désemparer et depuis des décennies par les spécialistes, sont dans le domaine public, mais qui donc en tire des conclusions pratiques ? les chiffres des sols perdus sont les suivants : rarement moins de 200 à 300 tonnes au km2 par an, parfois 4000 à 5000. et nous ne savons depuis combien de siècles cette cadence s'est établie (enc. univ., art. sols (6 érosion) f. fournier & s. henin). ainsi, les sols de surface, les plus riches en éléments organiques, s'en vont à la mer avec les eaux inutilisées, dans une région qui a tant besoin des uns et des autres. pourtant, les résidus des stations d'épuration des eaux peuvent utilement participer à la reconstitution d'un sol forestier. plus de 50 %des ordures ménagères pourraient y être acheminées. nous préférons les brûler et épaissir ainsi la masse de gaz carbonique de l'atmosphère, en sacrifiant les forêts qui purifieraient l'air dont nous avons tous besoin. pourtant, nous possédons des techniques rapides de retenue des sols : les "gabions" qui soutiennent les remblais des autoroutes en sont l'exemple. on craindrait qu'une telle orientation de nos pratiques ne soit très onéreuse ? tentons pour en juger une amorce d'addition coûts directs et indirects...


2. 🏫 Municipalité Consuls et maires du Revest 1698 - 1740

...700 - rachat de l'office de maire, joint au 1er consul 1701 - honoré gres (?), ménager, 1er consul et maire joseph vidal, ménager 1702 - antoine guérin antoine hermitte 1704 1705 - joseph sauvaire esprit beaussier 1706 - grégoire teisseire augustin hermitte 1707 - thomas gautier jean hermitte 1708 - maire alternatif représentant joseph de noble, seigneur du revest. acquéreur du dit office : antoine vidal. les consuls veulent intenter un procès à antoine vidal, car la municipalité n'a pas été renouvelée selon la coutume. un conseil général, réuni dans la chapelle des pénitents par le maire, donne une amende aux consuls sortants. nouvelle élection avec surveillance : charles artigue, maire et 1er consul. f. sauvaire rachat de l'office de maire à la fin de l'année. 1709 - vincent fournier, chirurgien : maire et 1er consul vidal "l'ange" 1710 - thomas gautier, maire et 1er consul honoré sauvaire, maire et 1er consul augustin hermitte 1711 - thomas gautier, maire et 1er consil louis vidal 1712 - grégoire teisseire, maire et 1er consul antoine artigue 1713 - joseph sauvaire, maire et 1er consul pierre vidal 1714 - charles artigue, maire et 1er consul jean vidal 1715 - honoré sauvaire; maire et 1er consul jean artigue 1716 - laurent sauvaire, maire et 1er consul antoine vidal 1717 - grégoire teisseire, maire et 1er consul joseph artigue 1718 - joseph sauvaire, maire et 1er consul françois pascal 1719 1720 - laurent sauvaire et joseph hermitte 1721 - laurent sauvaire et joseph hermitte 1722 - laurent sauvaire et joseph hermitte 1723 1724 1725 - antoine garnier et thomas mourlan 1726 - pierre ...


3. 🧤 Petite industrie et artisanat Fours à chaux

...artisanat fours à chaux les fours à chaux bâtis en pierres très épaisses pouvaient avoir des formes différentes. les plus répandus ressemblaient à de grosses cheminées cylindriques favorisant une répartition équilibrée de la chaleur produite par le combustible (du bois). c’est une calcination en fosse qui évitait des frais de construction mais imposait une conduite très délicate du feu. les fours à chaux étaient souvent construits : sur les lieux d’extraction du matériau de base (le calcaire) près d’un lieu boisé pour le combustible et accessibles par un moyen de transport (charrettes, tombereaux) pour la récupération de la chaux. ils étaient souvent réalisés à mi-pente facilitant le chargement en pierres à calciner par la plate forme supérieure et facilitant l’évacuation de la chaux par un chemin charretier en contre bas. les parois du foyer des fours étaient parfois protégées par des briques réfractaires. (photo aser) le chaufournier était chargé du bon fonctionnement du four à chaux. il chargeait le four en pierres à calciner et en bois. puis, il recouvrait de terre les pierres à calciner. il allumait le feu dont la chaleur devait atteindre progressivement 950°. cette température devait rester stable pendant une centaine d’heures. les pierres laissaient échapper du gaz carbonique : alors le calcaire se transformait en chaux vive. la chaux avait des usages multiples. agent actif, elle était utilisée pour : la tannerie la savonnerie la papeterie la composition de médicaments des usages agricoles le badigeonnage des murs le mélange sable/chaux était l’utilisation la plus répandue dans notre région. le mortier obtenu a permis la construction de nos maisons.   un four à chaux au grand cap, mis en valeur par un important débroussaillage effectué le 6 mars 2005 (sous la neige). sources : cahier de l’aser n°10, page 73 à page 80 - 1997   source : claude chesnaud...


4. 🧤 Petite industrie et artisanat Fours à chaux dans le Var

...outes car ils nécessitent des approvisionnements importants en pierres à calciner et en combustible. le volume total peut atteindre 150 m3 pour un volume utile de 70 a 80 m3. ces fours sont fréquents dans la région et dans nos villages où ils ont pris le relais des fours temporaires vers 1880. ils peuvent être alimentés en bois comme combustible (flamme longue) ou en charbon ou lignite (flamme courte ). l’implantation est proche d’une carrière et de préférence adossée à un talus en forte pente. d’une manière générale, ils sont construits en moëllons. ils ont deux ouvertures : une basse pour introduire le combustible, appelée la gueule ; l’ouverture haute sert à charger le four avec les pierres à calciner : c’est le gueulard. four à chaux de lorgues (var) pour maintenir les pierres à calciner, le chauxfournier construit une voûte qui laissera passer l’air chaud (950°) et mise en charge par des pierres grosses d’abord et de plus en plus petites vers le haut. les pierres sont recouvertes de terre traversée par des évents faisant office de cheminée. cette terre sert d’isolant. en dehors des périodes de chargement en combustible, la gueule est fermée à l’exception d’une ouverture pour le tirage. a titre indicatif, pour calciner 1 m3 de chaux dans un four de 60 à 75 m3, il faut pour un feu de 100 à 150 heures près de 2 m3 de bois de corde, ou 22 m3 de fagots, ou 30 m3 de fascines de genet ou de bruyère, ou 2 m3 de tourbe. localisation four à chaux de lorgues a 2 km de lorgues en direction de carcès, sur la gauche par de route des "girards" par le vallon de sanpeyre se trouve un tel four à 350 m environ du carrefour, dans un coude brusque, sur la gau...