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1. 💬 Les Revestois racontent Rencontre avec Madame De Mostuejouls

... souvenirs, de son passé, passé qui sert de point d'appui pour notre présent, nos racines.lors de la visite du château de tourris, le lundi de pentecôte 1996, visite organisée conjointement par les amis de la vieille valette et par les amis du vieux revest, nous l'avons rencontrée. très vite, elle nous est apparue comme un personnage faisant partie de notre patrimoine.née en 1927 à la valette, fille de soubic lucien (receveur aux tramways) et de beaudissaire, madame de mostuejouls est l'aînée d'une famille de quatre enfants. sa mère, qui naquit dans une maison proche de son domicile actuel à la chaberte, entraîna son père tous les samedis et les dimanches à tourris.- ma mère, quand on lui parlait de tourris, on lui avait tout dit! , nous dit-elle à plusieurs reprises avec beaucoup de conviction.le château de tourris était un lieu de vie réparti entre le château, les dépendances, le ménage, la jolie, les bouisses. les propriétaires étaient la famille de gasquet. on y cultivait du blé, de l'avoine, des pommes de terre, des cerisiers et des oliviers. il y avait des poules, des lapins, et quelques chèvres, quelques moutons en liberté.- les animaux étaient bien tenus . - ma mère qui s'était liée d'amitié avec les de gasquet, faisait leur bugade. en échange, ils nous prêtaient une ou deux pièces dans " le ménage pour le samedi et le dimanche ".- ma mère habitait à la valette, à côté de monsieur roux, l'actuel maire. en fin de semaine, nous montions à tourris. je me rappelle, on était gosse, nous portions l'un un bidon de pétrole, l'autre deux kilos de pommes de terre; chacun avait son paquet! nous montions toujours à pied en passant par le pas de luchon, par le vallon de la sorbière. a la sortie du pas de luchon, ma mère regardait la grande barre rocheuse de la vieille valette en disant: " ah! la vieille valette! ".nous étions deux frères et deux soeurs. très souvent d'autres enfants venaient avec nous. nous étions...


2. 🏡 Le hameau des Olivières Tourris et les Olivières en 1850

...🏡 le hameau des olivières tourris et les olivières en 1850 source : bulletin des amis du vieux revest et du val d'ardène n°36 de septembre 2003 entre 1850 et 1880, le château de tourris et le hameau des bouisses appartenaient à la famille de gasquet (qui cédera ce domaine en 1952 à la société formétal). entre 1850 et 1880, plus d'une centaine d'habitants vivait au château, au hameau des bouisses et au hameau des olivières. les familles castellan, carret, meiffret et quadroppani constituaient l'essentiel de ces habitants. elles se nourrissaient des produits propres au pays : blé, pommes de terre, huile d'olive, vin. les nombreuses restanques larges et humides sont très fertiles. les points d'eau (sources et puits parfois immenses) sont nombreux et jamais taris. les animaux (moutons, chevaux), en grand nombre, utilisaient les abreuvoirs proches de ces points d'eau. dans chaque maison, il y avait des citernes (en pierre). dans chaque maison, il y avait plusieurs cochons. chaque famille tuait à tour de rôle un cochon le samedi. on faisait les boudins, les caillettes, les saucisses. on se partageait la viande et un ou deux jambons étaient mis en loterie ou en jeu. les gens se réunissaient, ils faisaient des concours de boules, de cartes : les vainqueurs se partageaient ce que le maître de maison avait mis comme enjeu. les industries locales à tourris l'élevage du ver à soieles mûriers avaient été plantés en grand nombre. leurs feuilles (terme employé: la rame) permettaient de nourrir les vers à soie. ils étaient élevés dans de grandes salles sur des canisses faites avec des roseaux entourés de fil de fer, posées sur des tréteaux et étagées à raison de trois canisses sur chaque tréteau, séparées entre elles par des morceaux de bois. quand le ver à soie commence à balancer sa tête de droite à gauche, cela veut dire qu'il se prépare à faire son cocon. instinctivement, il cherche à...


3. 🏡 Le hameau des Olivières L'artillerie française bombarda les Olivières

... commission qui se réunit le 9 fevrier 1925 ; elle est composée de m. paquette (chef du bataillon et président de cette commission), de m. pantalacci (chef d'escadron) et de m. le gros (chef d'escadron du 38"'" r.a.c.). elle arrête son choix pour ce champ de tir d'une longueur maximale de 5500 mètres et d'une largeur de 1500 mètres, dans un vallonnement fortement encaissé dans toute son étendue, limité au nord par les pentes du grand cap, au sud par les pentes abruptes du coudon, des bouisses et du mont combe. les cibles seront près du village des olivières sur un terrain rocailleux impropre à toute culture et où un incendie a détruit quelque temps auparavant des pins isolés: "on trouve encore quelques pinèdes à la limite sud du champ de tir et quelques vignobles et olivettes vers la limite est de la zone. les seules exploitations sont constituées par quelques coupes de bois et pur une petite carrière appartenant au principal propriétaire, monsieur de gasquet." l'armée y effectuera des tirs destinés à l'instruction technique de ses cadres, instruction abandonnée depuis 1914. la commission se veut rassurante en expliquant : - comment les tirs vont éviter la ligne de transport d'énergie électrique qui traverse la plaine des selves, - comment les tirs seront suffisamment excentriques au hameau des olivières "qui, bien que partiellement en ruine, sert encore de refuge aux bûcherons et carriers", - comment limiter à 4 km la longueur des tirs car le terrain proche du barrage est tout en pente et ne se prête pas à une bonne exécution de ce type de tirs. les artilleurs utiliseraient des canons de 75 de campagne et de 65 de montagne. ces canons emploieraient exclusivement des obus à balle. la commission prévoit d'indemniser m. de gasquet pour l'interruption de travail des carriers et des bûcherons. conférence du 30 avril 1925 elle se tient au parc d'artillerie de toulon en présence m. bossavy (cdt. le ...


4. 🖋 1918 - 2018 Centenaire de l'armistice La population du village à la veille de la guerre

...r. la domestique, annette cuieppe, 26 ans, née à paris. le jardinier : jean alziary,* 51 ans, né à les ferres (alpes maritimes), et son épouse adélaïde alziary, née pascal, 43 ans, née à toulon et leur fils joseph alziary, 21 ans qui est le cocher, ainsi que leurs 6 autres enfants : scholastique, 20 ans, antoinette, 18 ans, marius, 14 ans, pierre, 12 ans, joséphine, 11 ans, louise, 6 ans. tous sont nés au revest. le journalier, étienne cerina, 61 ans, né à murazzano en italie, de nationalité italienne. tous partagent la vie au château de la ripelle. * pour approfondir l’histoire de la famille alziari, consulter le bulletin spécial balade au château de la ripelle et au mont combe. mai 2006 ou sur revestou.fr https://photos.revestou.fr/picture?/chateau-ripelle-et-mont-combe/categories au château de tourris en 1911 henriette de gasquet, 52 ans, née à saint tropez, est le chef de maison du château de tourris et vit avec son fils, guy, 31 ans, né à ramatuelle. il est recensé « propriétaire exploitant ». il vit avec son épouse, mathilde, née à vers, 31 ans et leurs 2 filles, monique, 4 ans, née à toulon et régine, 3 ans, née à tarascon. la famille emploie 2 domestiques : louis ameglio, 49 ans, né à marseille, et madeleine piquant, 59 ans. ainsi qu’un garde : jean-baptiste eynaud, 75 ans. le château de tourris était un lieu de vie réparti entre le château, les dépendances, « le ménage », « la jolie », « les bouisses ». les propriétaires étaient la famille de gasquet. on y cultivait du blé, de l'avoine, des pommes de terre, des cerisiers et des oliviers. il y avait des poules...


5. ⛏ Carrières et mines Route des carrières

...cute;tait le cheminement de la pierre extraite de cette carrière et quels problèmes se posaient alors ?. la route de tous les dangers la route de signes était l'unique voie d'accès à la carrière. entre le plateau de tourris et le quartier de fiéraquet, existe le profond ravin du cierge, si facile à franchir maintenant qu'on ne sait plus qu'il existe si l'on n'est pas à pied. une route empierrée reliait fiéraquet et les deux petites carrières (dont une de marbre) de la rive droite du ravin. on peut encore accéder à ces carrières à partir du chemin des turcos. la route s'arrêtait là. sur l'autre rive, rien ; de gros travaux auraient été nécessaires que rien, pour i'heur, ne justifiait. la carrière de marbre et la carrière de tourris pouvaient évacuer le produit de leur extraction par une route privée (domaine de gasquet) vers le col de tourris. c'est pourquoi les camions desservant la carrière de fiéraquet, après avoir pris la route de signes (baptisée, récemment, chemin de baboulène) devaient traverser le revest, puis rouler sur le cd 846 pour atteindre toulon et la valette, causant de facto d'importantes nuisances aux riverains. une situation insoutenable. déjà, du temps de l’exploitation de la carrière des crues (quartier du stade de la colline) et de la carrière vettier, ouverte en juin 1964 à fiéraquet, les camions des carriers perturbaient la vie du village par leur incessant trafic. le 24 décembre 1968, monsieur robert pérone, habitant "le grand chêne,, au revest, se plaignait au maire de la commune dans les termes suivants : "cette nuit, à 2h40, les premiers camions ont commencé à passer...." puis vint la sotem (société de terrassement et m&eacu...