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1. 💬 Les Revestois racontent Rencontre avec Madame De Mostuejouls

...eaudissaire, madame de mostuejouls est l'aînée d'une famille de quatre enfants. sa mère, qui naquit dans une maison proche de son domicile actuel à la chaberte, entraîna son père tous les samedis et les dimanches à tourris.- ma mère, quand on lui parlait de tourris, on lui avait tout dit! , nous dit-elle à plusieurs reprises avec beaucoup de conviction.le château de tourris était un lieu de vie réparti entre le château, les dépendances, le ménage, la jolie, les bouisses. les propriétaires étaient la famille de gasquet. on y cultivait du blé, de l'avoine, des pommes de terre, des cerisiers et des oliviers. il y avait des poules, des lapins, et quelques chèvres, quelques moutons en liberté.- les animaux étaient bien tenus . - ma mère qui s'était liée d'amitié avec les de gasquet, faisait leur bugade. en échange, ils nous prêtaient une ou deux pièces dans " le ménage pour le samedi et le dimanche ".- ma mère habitait à la valette, à côté de monsieur roux, l'actuel maire. en fin de semaine, nous montions à tourris. je me rappelle, on était gosse, nous portions l'un un bidon de pétrole, l'autre deux kilos de pommes de terre; chacun avait son paquet! nous montions toujours à pied en passant par le pas de luchon, par le vallon de la sorbière. a la sortie du pas de luchon, ma mère regardait la grande barre rocheuse de la vieille valette en disant: " ah! la vieille valette! ".nous étions deux frères et deux soeurs. très souvent d'autres enfants venaient avec nous. nous étions alors une raille de minots. - a la libération, nous sommes montés habiter un mois aux bouisses et pendant la libération, au revest, il n'y avait pas grand-chose à-manger. ma mère achetait un peu de blé que l'on passait dans un moulin à café pour faire de la soupe. avec des œufs et un peu d'huile, on vivait comme ça.- la rencontre avec mon mari s'est faite après le départ de sa femme. je travaillais alors au mourillon. "a la demande de sa mère,...


2. ❂ Le Groupe Revestois Les cercles républicains

... = gauche. c’est ce que pensait déjà, en 1871, le maire de tourrettes (« il y a déjà deux cercles ou chambres, comme d’habitude d’opinions opposées »), d’accord sur ce point avec le postulant à la présidence de l’union à créer (« il existe dans tous les villages environnants des cercles soit républicains soit royalistes »). les cercles de provence que l’on retrouve dans de nombreuses communes sont notoirement « blancs ». a hyères, on compte parmi les membres fondateurs h. de belcastel, député, de david-beauregard, le comte de guichen, de boutiny, et de beauregard, curé de giens (février 1873). le cercle de provence de pourrières (1872) soutient le maire réactionnaire. le président de celui de lorgues (mars 1874) explique au préfet que « c’est un cercle de moralisation pour les ouvriers … qui veut soustraire l’ouvrier à des influences funestes … et œuvrer au rétablissement de l’ordre moral ». il compte parmi ses membres le maire, de roux, le baron de rasque de laval, le vicomte d’inguimbert, le comte des isnard, de juigné de lassigny, le comte de selles. au cercle de l’harmonie, à solliès-toucas, « quelques-uns en sont encore à regretter l’empire ». a hyères comme à ollioules, des cercles catholiques affirment leur vocation « d’édification mutuelle des catholiques » mais regroupent des notables hostiles à la république. en 1863, le conseil municipal de nans dénonce le cercle d’apollon. celui-ci a tenté de saboter la fête locale, type d’action qui ponctue fréquemment la rivalité politique dans les petites communes, en organisant un bal concurrent, « afin d’ameuter la population, exaspérer les républicains et jouer leur va-tout ». depuis vingt ans, ce cercle, qui a expulsé les membres républicains, sème le trouble, il vise à « inspirer le respect à tous ceux qui méprisent tout ce qui vient de la république et ce qui est républicain … c’est là que se trament (sic) tous...


3. 🐺 La faune revestoise L'aiglon de 2020

...te minutes : « l'aiglon a été bagué par moi-même et elvin miller. des mesures sont effectuées à cette occasion comme le poids ou la longueur d'une plume ; il faisait 1350g. son sexe estimé est mâle. il devait avoir un peu plus de 35 jours et était en pleine forme. il a hérité d'une bague violette "99". les quelques restes récoltés au nid seront déterminés par un spécialiste (ostéologue) cet automne. en effet, de petits os, pelotes de réjection et quelques plumes peuvent être récoltés, et il faut être assez spécialisé (notamment pour les os) pour déterminer l'espèce à laquelle ils appartiennent. »l’observation des 8 et 9 juin par michel rothier et cécile di costanzo leur a permis de voir la mère et le petit au bord du nid : « il a changé de plumage, il est roux, postérieur blanc et ailes marron foncé. il se pose au bord du nid, perd un peu l’équilibre et agite ses grandes ailes... tout va bien, bientôt l’envol… » « il a l’air intrépide, du genre hyperactif. il regarde vers le bas sans peur et pourrait bien prendre son envol avant le terme des deux mois et demi couramment observé. » une fois l’envol pris, l’aiglon ne reviendra plus dans le nid. il va se trouver un emplacement sur la paroi où les parents lui apporteront des proies pour qu’il apprenne à les déchiqueter, avant les leçons de vol et de chasse. et puis en septembre, c'est de tout le secteur qu'il sera éjecté : adieu caume, revest et vive la liberté ! cap à l'ouest en général. marie-hélène taillard – juin 2020 sources : cécile ponchon et michel rothier (cen-paca), en actioncé...


4. ☥ Cultes et religions Paroisse et Pénitents au Revest-les-Eaux

...joseph et le bassin de la miséricorde. les pénitents blancs occupaient la chapelle notre-dame de la miséricorde aux portes de la ville. et les pénitents gris géraient la chapelle notre-dame de pitié de peylong, qui est peut-être aussi dénommée notre-dame du promontoire ou des jardins. on connaît en outre la chapelle du saint-sacrement, corpus christi ou corpus domini (4). la paroissiale primitive devait être fort étroite. dès 1634, un texte de l’évêque de toulon, monseigneur de forbin-solliès, puis une délibération municipale de 1635 avaient prévu d’agrandir l’église, mais l’œuvre en fut différée. faute d’argent ou faute de place ? les consuls et le seigneur, charles de noble, n’abandonnaient pas pour autant leur église, et commandaient pour elle une cloche au fondeur toulonnais joseph barbaroux en 1657 (5), qui avait évidemment une fonction autant civique que religieuse. ce n’est qu’en 1673 qu’on décida une transformation radicale de l’espace du sacré, rien moins que de faire l’échange entre l’ancienne église paroissiale, située au sommet du piton, et la chapelle des pénitents blancs, édifiée à la limite nord-est. la paroisse abandonnait son site primitif pour accueillir les fidèles dans un espace élargi. elle était désormais moins protégée par le voisinage de la tour, mais disposait d’un terre-plein plus large. ce glissement vers le bas du piton accompagnait celui du château seigneurial du revest, qui de la tour sommitale s’était replié sur un petit manoir cantonné de tours. une convention fut passée le 15 août 1673 avec les pénitents qui acceptèrent de voir ...


5. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

... sols, en le remerciant de la prochaine fourniture de 12 cannes de drap. en feuilletant les pages qui relatent l'histoire de cette fondation, nous constatons les besoins des « pauvres honteux » : médicaments, habits, nourriture. nous pouvons aussi lire les noms des différents recteurs et trésoriers du bureau de la confrérie. penchée sur les douleurs quotidiennes, la confrérie de la miséricorde sut se montrer efficace pendant la terrible épidémie de 1720. la peste sévissait avec, à son actif, les plus désastreuses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 juin 1721 pour 162 livres 10 sols de moutons et brebis distribués aux pauvres et malades. thomas gauthier, trésorier de la confrérie, fit le certificat autorisant le remboursement de cette somme à christophe barbaroux. c'est dans « l'enclos », dit « la fouilloy » (dépendant du domaine de la tourravelle), appartenant à m. chaussegros, que les autorités de la province autorisèrent l'ensevelissement des victimes de l'épidémie. les membres de la confrérie assistèrent et transportèrent les morts. la confrérie de la miséricorde possédait aussi un établissement hospitalier au revest. de très nombreux malades y furent hébergés et soignés. cet établissement peut être situé sur l'actuelle propriété du docteur mouttet, dont un bâtiment est depuis toujours désigné sous le nom de « la maladrerie » ou « la léproserie ». l'œuvre de la confrérie se poursuivit aux 18e et 19e siècles. de très nombreux dons continuèrent d'êtr...