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1. 💬 Les Revestois racontent La Sainte-Rose selon Pierre Trofimoff

... détruite dans les années 1965-1968. elle se trouvait très exactement devant l'huilerie saint-antoine. une des redoutes de la défense extérieure de toulon, sur la rive droite du las, aurait emprunté au voisinage de cette chapelle son nom de saint-andré. en 1926, elle faisait partie du domaine de saint-andré, alors propriété de monsieur rimbaud, actuellement "la valtière saint-andré", propriété de l'amiral vatelot. pour être plus précis, car jusqu'ici les explications données plus haut concernent des quartiers situés sur la commune de toulon, il convient d'ajouter que l'actuelle chapelle du château d'ardène, au-dessus du hameau du même nom, est dédiée à saint andré. ancienne chapelle du domaine seigneurial et consulaire de dardennes, elle a été construite en 1560 par les seigneurs du lieu, les de thomas. c'est pour rendre hommage à la charité d'une vieille dame de la vallée et perpétuer son souvenir, que cette fête a été instituée après sa mort. cette personne, très estimée dans le pays, avait laissé une somme d'argent dont les intérêts devaient être versés chaque année aux pauvres de la commune ; une autre somme d'argent devait servir à entretenir des religieuses enseignantes à l'école du revest. ndlr : il s'agit de rose bourgarel, née meifred, la vieille châtelaine que george sand avait rencontrée en 1861 au château de dardennes. née en 1788 à castellane en haute-provence, elle s'est éteinte à toulon le 3 septembre 1868. c'est une aïeule de pierre trofimoff, et c'est sans doute la raison de sa discrétion à son égard. voir sur le revestou, george sand au revest ...


2. ♒ Les eaux du Revest Le mur du calme

... les eaux de cette source généreuse en 451 et fournissait trois mille litres d'eau à chacun des trois mille habitants de la cité à cette époque. le béal, distribuant les eaux du ragas, existe depuis 1609. le mur du barrage n'a pas supprimé cette possibilité d'alimenter en eau les parties supérieures du lit de la rivière. un règlement municipal de la ville de toulon" créa en 1289 les "banniers-fontaniers" qui furent chargés de constater les infractions à la distribution des eaux du béal communal, au moyen des tortouïres (vannes) des propriétaires riverains pour arroser leurs domaines respectifs. si le mur du barrage calme le ragas, l'eau du ragas créa la discorde dans la vallée. des procès interminables, remontant à 1406, indisposèrent les consuls de tholon, qui se proposèrent d'y mettre fin à l'amiable et déléguèrent à cet effet une députation du conseil de ville, le 18 janvier 1639, afin d'établir une entente définitive avec messire françois de thomas de chateauneuf, seigneur de la valdardenne, propriétaire du château seigneurial situé sur la commune du revest. jusqu'en 1859, le fonctionnement et la distribution des eaux du ragas ne donna aucune inquiétude à la municipalité de toulon. mais à cette date, se créa la "compagnie du ragas" proposant à la ville de la seyne de lui fournir de l'eau provenant du ragas. détenant une parcelle proche de la source du ragas, la compagnie du ragas projeta de creuser un tunnel pour aller atteindre les eaux du gouffre puis projeta d'y adapter deux prises d'eau pour la débiter. la municipalité de toulon fit opposition au projet et par arrêté du 26 mai 1869, le préfet du var soutient l'opposition de la ville de toulon. la compagnie du ragas attaqua à la cour d'aix et à la cour de cassation. cette dernière déclara en mai 1872 la compagnie du ragas souveraine. mais le gouvernement, au titre des besoins de la défense nationale, intervint et négocia avec la compagnie du raga...


3. ♒ Les eaux du Revest Quel est le nom de la vallée ?

... (de l’intersection rivière de dardennes, rivière du las et rivière neuve à castigneau)la rivière neuve (de l’intersection rivière de dardennes, rivière du las et rivière neuve à la pointe de lagoubran). 1716 livre vert de la ville de toulon-notes historiques manuscrites depuis15 22le 30 du mois de juin 1716 m. d’astour premier consul et député de la communauté a prêté à la cour des comptes à aix l’hommage au roi louis xv pour la terre de la valdardenne dont la communauté est conseigneur 1754 archives bouches-du-rhôneregistre c1848 – publication louis blanchard-tome ii-1892etat de l’afflorinement des fiefs et arrières-fiefs de provence, pour servir à la lévée de 5 livres par florin.la valdardenne, portion au sieur de thomas-châ;teauneuf, officier de la marine, 1 florin 2 deniers.la valdardenne, autre portion à la communauté de toulon, 2 florins 3 sols. 1779 archives bouches-du-rhôneregistre c1037 - publication louis blanchard-tome ii-18925 décembre 1779 : 5 lettres de mme thomas, née bernardy de sigoyer, sollicitant la médiation des procureurs du pays entre son mari, le marquis de thomas et la communauté de toulon qui lui conteste un droit d’arrosage sur sa terre de la valdardenne. 1781 prise de possession du couvent des carmesnous, maire-consuls, lieutenants pour le roy au gouvernement de la place, lieutenants généraux de police, seigneur de la val dardennes, … 1827 cadastre napoléonien commune du reveston peut lire :réalisation par caori, géomètre de 1 ère classe[plan cadastral] terminé sur le terrain le 31 mai 1827. section d2 d...


4. ☥ Cultes et religions Paroisse et Pénitents au Revest-les-Eaux

... , aix-en-provence, 1987, p. 43-44, 56, 156, 177. le tableau du revest est cité d’après le signale - ment de m. trofimoff. 9. un peintre le roy est cité sur le cadastre de 1702 à 1728 pour une terre complantée d’oliviers, située au quartier de rodeillac (charles g inoux , « artistes de toulon » nouvelles archives de l’art français , t. x, 1894, p. 282). s’agit-il du même ou d’un parent ?10. ginoux , ibid. , p. 299 : mariage le 8 novembre 1663 avec anne tassi ; sculpteur enrôlé en 1668 pour la décoration du royal louis ; il vit encore à toulon en 1705.11. promesse du 20 février 1663, a.d. var, 3 e 6 / 35 (m e andré deydier), f° 63r°-64r°. « andré peillon, esculteur, fils d’henri, de la ville de grasse ». il s’engage du 20 mars au 24 juin.12. 25 février 1668, contrat d’apprentissage de jacques thomas, fils de feu andré, origi - naire du dauphiné (a.d. var, 3 e 4 / 103, m e gabriel renoux, f° 180v°). 1673, 22 vi : cession d’une dette de 60 £ (3 e 4 / 106, m e gabriel renoux, f° 351 v°).13. « documents sur puget et les sculpteurs et les peintres employés à l’arsenal de toulon de 1662 à 1682...», a rchives de l’art français , 1855-1856, p. 237. 14. ch. ginoux , « la décoration navale au port de toulon au seizième et dix-septième siècle », paris, 1884 : il reçoit l’adjudication avec les gay des ouvrages du fougueux sur les modèles de puget en 1671 (minute de m e gabriel renoux). cité à nouveau par g inoux , réunion des sociétés des beaux-arts des départements à paris , 1891, p. 255, nouvelles archives de l’art français , 1894, p. 299.15. marché du 22 juin 1680 po...


5. ☥ Cultes et religions Balade autour de deux oratoires

...du dans l’olivier voisin, m. confetti, avec tout son talent (comme le peintre !), a fait renaître l’âme de l’oratoire ! et depuis l’oratoire notre-dame a repris une deuxième jeunesse : apprécié par les passants, on y voit souvent des personnes en traitement à la post-cure qui montant au revest s’arrêtent pour y faire leurs dévotions ou simplement mettre quelques fleurs des champs accrochées au grillage de la grille en croix de la niche. oui, au grillage, car la grille ne suffisait pas à la protection des jets de pierres : pendant longtemps les gamins s’amusaient à lapider les statuettes. aussitôt elles étaient remplacées par les soins de bonnes gens, sans croyance particulière, mais qui ne supportaient pas une niche vide. depuis une dizaine d’années ces pratiques ont cessé à l’arrivée d’un voisin, m. thomas qui s’est mis à maintenir fleurie la niche de l’oratoire. pour le 15 août, notre-dame avait droit à de petits pots de fleurs suspendus à la grille ; il a même remplacé la statuette de la vierge (la dernière sauvée) par une plus grande et depuis l’oratoire a été respecté. parfois on voit un peintre avec son chevalet ou des promeneurs qui prennent des croquis. pour les riverains, l’emplacement de l’oratoire gêne un peu le passage des voitures, mais on doit respecter celui qui était avant nous et qui fait partie de notre patrimoine. l’oratoire saint-christophe, lui, a été totalement reconstruit. déjà en 1935, dans « zigzags dans le var », en parlant de cet oratoire louis henseling faisait part de son état : « au bord du chemin conduisant vers ce vieux sanctuaire, il est à moitié démoli ...