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Vous recherchiez le terme suivant :colombier


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11. 🏭 Industrie Il y avait le moulin du Colombier

...🏭 industrie il y avait le moulin du colombier la construction du mur du barrage a imposé la démolition du moulin du colombier et la déviation d’une partie du chemin vicinal n°2. le moulin du colombier était en service depuis septembre 1796 et, à cette date, son propriétaire s’appelait alors sieur d’artigues. l’enquête sur le projet d’établissement du barrage a été organisée entre le 1er et le 22 juin 1908. les revestois ont approuvé le projet avec plusieurs réserves : art. 1 : qu’une fontaine à jet continu, d’un débit régulier de trois litres par minute, avec réservoir d’un demi-mètre cube, soit établie au colombier, sur la route, art. 2 : que des concessions d’eau soient délivrées dans la commune du revest, au tarif de la commune de toulon, art. 3 : que, dans le cas où la compagnie des eaux couperait, par des travaux de construction du barrage, les eaux du paridon et de dardennes : 1- une fontaine fût créée au paridon avec un débit continu de douze litres par minute et un lavoir de 8 mètres de longueur, 2 mètres de largeur et un mètre de profondeur ; 2- il fût restitué à la fontaine publique de dardennes un débit d’eau égal à celui qu’elle a actuellement, soit dix litres par minute. art. 4 : que les intérêts agricoles et industriels des usagers du béal et de la vallée de dardennes soient sauvegardés, art. 5 : qu’une rente annuelle et perpétuelle soit servie à la commune du revest par la compagnie des eaux ; et si toutefois la compagnie des eaux était déchue de ses droits, que la même rente fût payée par quiconque se substituait à elle. le 26 septembre 1908, m. meiffret pierre, maire du revest, donna un avis favorable à condition que la compagnie générale des eaux prenne en compte les réserves des revestois. le moulin et le béal (partie haute) ont été détruits lors de la construction du barrage en 1909. source : texte de claude ...


12. 🖋 1918 - 2018 Centenaire de l'armistice La population du village à la veille de la guerre

...🖋 1918 - 2018 centenaire de l'armistice la population du village à la veille de la guerre répartition de la population en cours de mise en placedans le cadre du recensement de 1911, le village est divisé en plusieurs secteurs : le village : place meiffret et avenue (des platanes), rue de la paix, rue carnot, rue gambetta, rue grande, rue de la tour, rue jeanne d’arc les hameaux : le colombier, les lonnes, la ripelle, tourris, dardennes. grâce aux données recueillies, nous pouvons tracer les grandes lignes de la population du village. elle est constituée de 792 individus, 500 français et 292 étrangers parmi lesquels des italiens, des espagnols, des suisses, une femme autrichienne et un homme de nationalité belge. la majorité vit agglomérée au chef-lieu, c'est-à-dire dans le village et les autres sont disséminés dans les différents quartiers ou hameaux, le colombier, les lonnes, la ripelle, tourris et dardennes. français % étrangers % total le village 300 66,2% 153 33,7% 453 le colombier 36 57,1% 27 42,1% 63 les lonnes 11 44% 14 56% 25 la ripelle 31 67,3% 15 32,6% 46 tourris 32 66,6% 16 33,3% 48 dardennes 90 57,3% 67 42,6% 157 total 500 63,1% 292 36,8% 792 nombre de maisons nombre de ménages nombre de personnes moyenne/maison moyenne/ménage le village 107 140 453 4,2 3,2 le colombier 8 8 63 7,8 7,8 les lonnes 6 7 25 4,1 3,5 la ripelle 7 10 46 6,5 4,6 tourris 11 13 48 4,3 3,6 dardennes 27 37 157 5,8 4,2 total 166 215 792 4,7 3,6 les français ils sont au nombre de 500, hommes, femmes et enfants dont 188 nés au revest, soit 37.6% de la population des français revestois. les revestois nés au revest habite...


13. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Louis Camolli par Claude Chesnaud

...e le 27 février 1944.le 27 août 1944, les troupes françaises défilent dans toulon.les pertes sont élevées et cruelles : 2700 français de france et d’afrique ont été tués ou blessés. les pertes allemandes se montent à 8000 tués ou blessés et à 17 000 prisonniers.de nombreux revestois ont activement participé à la libération du revest les eaux et donc de toulon, plus particulièrement ceux du groupe camolli louis qui ont guidé le 3ème rta dans la nuit du 19 au 20 août 1944 : camolli louis grandi dominique menconi « miette » muraccioli benoît poch rené soma georges etienne camolli (16 ans) d’ollone guy (17 ans) dominique moretti fournit depuis 1943 de nombreux renseignements militaires au réseau f2-azur. en août 1944, responsable du sous-groupe de ffi camolli, il attaque la colline du colombier : de nombreux allemands sont tués ou faits prisonniers. après avoir reçu la croix de guerre en 1939, moretti est à nouveau cité en 1946 avec attribution de la croix de guerre avec étoile de bronze car d’un « sang-froid admirable et d’un courage remarquable lors de la libération de toulon ».dans son « histoire de la 1ère armée française rhin danube », le général de lattre de tassigny écrit : « … ce sont les f.f.i. qui, dans la nuit du 19 au 20 août (1944), conduisent les tirailleurs (algériens) de linarès à travers la montagne désertique du nord de toulon puis les aident à nettoyer les approches de dardennes. ce sont eux qui, à l’intérieur de la ville (de toulon), font le coup de feu avec nos chars, harcèlent l’adversaire, attaquent ses véhicules ou même pre...


14. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Rencontre avec le 3e RTA par René Poch

... positions à ses supérieurs hiérarchiques par radio « talkie-walkie ». notre arrêt permet aux hommes de serrer et de se regrouper. nous repartons au pas de course, passons devant la mine de bauxite à la stupéfaction des familles revestoises réfugiées là. nous empruntons le chemin des baumettes, nous passons devant la propriété du docteur mouttet (où sera établi le p.c. quelques heures plus tard), nous passons par le chemin de la luzerne (nous ne voulons pas affronter les allemands par l’ouest, trop de risque pour la population) et nous arrivons derrière l’église. aimé moretti nous y attend. il suivait notre progression. après une brève concertation, nous nous séparons ; moretti engage le combat dans la rue où déambulent quatre allemands, il les met hors d’état de nuire avant que ceux-ci n’aient le temps de riposter. serette et moi-même contournons le village par le nord-est de la tour. nous nous trouvons au dessus du barrage et du mamelon du colombier où est installé un nid de mitrailleuses. les turcos ont aussi tôt fait de le neutraliser, sous une riposte mal assurée des allemands surpris. une compagnie, guidée par moretti et son groupe, fonce vers le barrage, engage le combat avec une section allemande arrivant en camion : plusieurs ennemis sont tués et 17 sont faits prisonniers. les f.f.i. s’emparent du camion, armes et munitions. retour au revest et arrivée, avec leur trophée, place de la mairie, sous les ovations de la population. bonne prise, les mousquetons récupérés serviront à armer les volontaires qui vont encadrer et emmener les nombreux prisonniers allema...


15. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande La résistance au Revest par Dominique Moretti

...e parler de lui ». vers cinq heures ou six heures du soir, j’ai rendu visite à camolli : « louis, j’ai les renseignements, mais le père scotto m’a dit que celui qui me les a donnés était un milicien. maintenant, il faut que nous fassions attention ». après avoir vérifié ces dires auprès de scotto, camolli est descendu à toulon. á son retour, vers neuf heures du soir, louis m’a dit que nous devions enlever le gardien. nous nous sommes rendus chez lui, il habitait à « la folie », sur la route des favières. nous avons pris la « 201 » de laure. nous nous sommes fait accompagner par son fils marcel, « car il ne tremble pas » m’avait dit louis. c’était une nuit de pleine lune. il fallait éviter de réveiller les allemands qui étaient à coté de la mairie et ceux de la route du colombier. nous avons poussé la voiture au départ du village et n’avons mis en marche le moteur, qu’après la carrière bonneviale, au pied du barrage. quand nous sommes arrivés à « la folie », camolli est sorti de la voiture, marcel est resté au volant prêt à démarrer et j’ai sauté la barrière d’entrée. alors j’ai appelé. á moitié endormi, le gardien a répondu :« qu’est-ce qu’il y a ? »,« venez vite, il faut absolument que vous soyez au château ». quand il s’est approché, je l’ai mis sur mes épaules, j’ai repassé la barrière et je l’ai bloqué dans la voiture avec une arme sur le ventre. nous avons roulé jusqu’au pied du barrage. ça n’a pas été facile de le faire parler, mais nous l’avons m...