Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :culte


Page 6 - 10 sur un total de 10 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. ☥ Cultes et religions L'Ermitage copte de Fontanieu

...☥ cultes et religions l'ermitage copte de fontanieu en 1974, l'église copte orthodoxe a créé l'évêché de marseille, toulon et toute la france et a installé au revest-les-eaux le siège de l'église copte orthodoxe de france. l'ermitage copte de saint-marc a été construit dans le quartier de fontanieu. le descriptif et les photos ci-après sont issus du site internet études sur l'orthodoxie copte en france, que vous pouvez retrouver sur ce lien : http://eocf.free.fr/text_mde_copte_2_revest.htm qui nous raconte l'histoire des coptes au revest, dans une page adaptée d'un article de monseigneur athanasios paru en 1977 dans le numéro 2 de la revue le monde copte. ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ fondation de l'ermitage saint marc le 20 février 1974, sa sainteté shenouda iii, pape d'alexandrie et patriarche de la prédication de saint marc, adressa sa bénédiction à l'occasion de la pose de la première pierre. le 20 octobre de la même année, au cours de la première liturgie, eut lieu l'intronisation de l'évêque de l'église copte orthodoxe de france, monseigneur marcos, par le délégué apostolique de s.s. shenouda iii - monseigneur timotheos, évêque général. afin de rappeler les attaches profondes, dès le début du christianisme, de la provence et du sud de la france avec l'église d'égypte, monseigneur marcos reçut le titre d'évêque de marseille, toulon et toute la france. en effet, dès le ive siècle, la liaison maritime entre marseille et alexandrie fut l'une des voies de pénétration par les chrétiens de la spiritualité des moines du désert égyptien qui influença la vie religieuse en provence. ainsi, saint jean ...


7. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Histoire religieuse

...nnière processionnelle provenant de la chapelle saint-jacques sa trouve dans l'église. un très beau christ en majesté semble provenir de la même chapelle, un important vitrail en parfait état se trouve au-dessus du porche, à l'intérieur de l'église. il est surmonté des armoiries de la chartreuse de montrieux. la sacristie possède un très beau meuble (1379 ?) dont la porte finement sculptée, dans l'esprit d'un canopé, est d'une grande pureté. plusieurs chandeliers proviennent de dons. ils portent gravés les millésimes attestant l'époque où ils furent offerts. l'un d'eux porte : « s t r 1769 », un autre est marqué : « saint joseph 1779 ». il existe aussi une série de chandeliers et crucifix d'autels à branches fleurdelisées. l'église possède de très nombreuses statues bustes-reliquaires magnifiquement dorées. deux ou trois ex-voto naïfs ornent la chapelle de la très-sainte vierge. À la révolution, la première délibération communale concerne le culte et consiste en la publication officielle du décret ordonnant l'emploi de l’écharpe tricolore dans les cérémonies religieuses. le 5 décembre 1790, le curé gastinel prêta serment dans l'église, face aux autels, sous les drapeaux de la garde nationale. ce fut le 16 janvier 1791 que le vicaire vint, après la grande-messe, prêter serment. le 22 juillet 1792, on s'en prit à la petite cloche de la chapelle saint-jacques qui fut dirigée sur la monnaie de marseille. le 13 janvier 1893, on vota un crédit de 98 livres pour réparer le toit de l'église actuelle. sur ordre du district du beausset, l'église servit de temple au culte de la raison. si la période antérieure à la révolution est peu riche en archives religieuses, la lecture des actes paroissiaux et les registres des délibérations du conseil de fabrique nous donnent de nombreux documents pour la période contemporaine. les chaises de la paroisse furent mises en adjudication le 25 septembre 1836. la c...


8. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La chapelle Saint-André

...ettre au travail, les consuls assistaient à la messe dans la chapelle du château, aménagée en 1560 et inscrite dans l'ancienne église fortifiée dont nous avons déjà parlé. dès 1641, de graves difficultés surgirent entre le vendeur et les délégués de la ville de toulon. le 8 mai 1646, françois de thomas interdit l'accès de son château aux officiers de la communauté. des procès eurent lieu, nombreux. un modus vivendi semble avoir réglé les relations entre les deux parties. consacrée sous le vocable de saint andré, la chapelle a pu être sûrement localisée dans la construction actuelle. la longue salle voûtée, inscrite au rez-de-chaussée des bâtiments de la façade ouest-nord, apparaît, par son architecture, la plus adaptée à la célébration du culte. un ensemble harmonieux de voûtes élégantes confère à ce lieu une prenante spiritualité. récemment restaurée, on y a découvert une pierre sculptée armoriée : l'écu représente les armes de m. monier de castellet, qui fut propriétaire et seigneur de val d'ardène jusqu'à la révolution. transformée à travers les siècles en écurie, en étable et en entrepôt, cette pièce a retrouvé toute sa noblesse. on s'est longtemps demandé pourquoi saint andré fut donné comme patron à val d'ardène. l'explication est simple : un arrêt du conseil d'état du 1er janvier 1730 fixait impérativement au 30 novembre la date des élections et les consuls choisirent comme patron le saint de ce jour. si les consuls de toulon, seigneurs de val d'ardène, avaient leur chapelle,...


9. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Histoire du Revest-les-Eaux

...eillais qui ouvrirent les portes de la prison. rentrés chez eux, leurs méfaits furent couverts par des lois d'amnistie pour les une et par la prescription pour les autres. plusieurs d'entre-eux vivaient encore au revest en 1821. on insista beaucoup sur cette affaire au cours d'un long procès qui opposa, en 1821, la famille allegre à la municipalité du revest. dans cette interminable affaire, il s'agissait d'établir les droits des propriétaires du château sur l'eau de la fontaine qui s'élève devant l'eglise. aucun titre de propriété n'ayant pu être fourni (il avaient disparus lors de l'émeute), seules les lois en vigueur furent retenues. la vie au revest, pendant cette période, s'écoulait avec beaucoup plus de vigueur qu'à l'ordinaire. on était à l'affût des nouvelles rapportant les événements, on prenait même des initiatives. la municipalité faisait saisir, au nom de la nation, les biens de certains individus. la première délibération communale concerne le culte, elle consiste en la publication officielle du décret ordonnant l'emploi de l'écharpe tricolore dans les cérémonies religieuses. le 5 décembre 1790, le curé castinel prêta serment dans l’Église, face aux autels, sous les drapeaux de la garde nationale. ce fut le 16 janvier 1791 que le vicaire vint après la messe prêter serment. le 22 juillet 1792, on s'en prit à la petite cloche de la chapelle st-jacques, qui fut dirigée sur la monnaie de marseille. trois personnalités revestoises furent condamnées à mort par le tribunal populaire sectionnaire de toulon, le 17 septembre 1793, garnier honoré, dit : le «père Éternel››. il ne fut jamais exécuté, car les archives de la paroisse possèdent son acte de mariage après la révolution. en fait, il se remariait, il était veuf. le curé castinel, très estimé par la population fut deux fois condamné à mort, deux fois il fut sauvé par l'énergie et le dévouement de ses paroissiens...


10. ♖ Tourris Sancti Johannis de Turris

...t de nombreux éléments indispensables pour comprendre une partie de l'histoire, de toute évidence la plus ancienne, du lieu qui nous intéresse. ainsi, grâce à ces chercheurs, pouvons-nous déterminer l'origine du site, qui débute au pied de la falaise, au sud, dans et aux environs du trou de gaspard, entre 750 et 450 avant notre ère (premier et second âge de fer). il est probable qu'après la conquête de la gaule par césar, le site devint un poste romain et prit le nom de turris, certainement en raison des tours et fortifications qui y furent édifiées. turris devint tor, thor, thorris, torriès, tourris, jusqu'aux environs du xive siècle où le site fortifié parait avoir été abandonné ou détruit. si nous nous plaçons contre le mur nord qui délimite le village, nous découvrons les ruines du premier lieu de culte de tourris-la-vieille-valette. lieu de culte, on est tenté de l'affirmer du fait de sa relative importance, de sa forme caractéristique, de son ouverture (vitrail) dans le chœur et de l'orientation du bâtiment, est-ouest, le chœur vers rome, ce qui fut l'orientation des lieux de culte dès les premiers temps chrétiens jusqu'au xvie siècle. enfin, l'édifice, pur témoignage moyenâgeux (période catholique très "pratiquante"), renforce cette hypothèse : il fallait avoir son lieu de culte. comme le souligna l germain, dans sa monographie, l'étroitesse des lieux fut probablement à l'origine de cette construction extra-muros, néanmoins protégée par l'édification d'un second parement. contraints par la situation géographique du site, nos ancêtres durent bâtir l'édifice sur le flanc nord du massif rocailleux, le flanc le plus vu...