Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :hameau


Page 1 - 5 sur un total de 44 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


1. 🦅 Un village haut perché Revest-les -Eaux

...🦅 un village haut perché revest-les -eaux le revest-les-eaux est un extraordinaire village français du var. les 3880 merveilleux membres de la tribu revestoise se partagent 2400 hectares de vastes espaces. un plateau désert, des vallons secrets ✔✔✔, des vues lointaines, parfois jusqu'à la mer ♒, offrent un dépaysement nature ⚘⚘⚘ aux portes de ⚓ toulon. le territoire revestois est parcouru par un réseau de sentiers entretenus et balisés. 🌄 deux sentiers de grande randonnée se croisent dans le village. le gr 99 part du hameau de dardennes et se dirige plein nord pour rallier les gorges du verdon 🚶 , le gr 51, surnommé balcons de la méditerranée, traverse la commune d’est en ouest, de tourris aux marlets. 🏰 le grand lac de barrage, alimenté par 7 sources noyées sous les eaux de la retenue, reçoit par fortes pluies les eaux jaillissantes du ragas, ⛲ résurgence de type vauclusien. tout au bout du chemin, dominant la vallée de dardennes, le vieux village se dresse sur son rocher, encadré de montagnes 🌄 : faron, caume, grand cap, combe et, au loin, le coudon, leurs noms résonnent dans les récits des randonneurs et la mémoire des enfants revestois qui ont grandi dans la colline. au pied de la tour dite sarrasine ♖, les maisons du revest s’enroulent autour de quatre rues reliées par des traverses. l'aigle de bonelli niche sur la falaise du mont-caume, survole le vi...


2. 🦅 Un village haut perché Le Revest de Charles Banon

...ste encore une petite construction basse de 5 mètres de long, 2 de large, appelée saraillon. c’était à l’époque celto-ligure en même temps qu’un poste de garde avancé, car on avait vue sur le fonds de la vallée, un emplacement où l’on faisait des sacrifices rituels. il est bien conservé et l’on voit encore creusés dans le rocher avoisinant des espèces de cuvettes où l’on faisait couler le sang des animaux sacrifiés.a noter que face au saraillon, sur la rive gauche, c’est-à-dire à l’extrémité du mur du barrage, un terrain boisé, en pente douce, est appelé le quartier des camps.le revest s’appelait, jusqu’en 1920 le revest tout court, mais ce nom est assez répandu en provence, il y a le revest-du-bion dans les basses-alpes, un autre revest dans les alpes-maritimes, et même un hameau à peu près disparu, non loin de montrieux dans la vallée du gapeau.le village est donc devenu depuis 1920 le revest-les-eaux pour le distinguer de ses homonymes, mais par ironie du sort, c’était depuis 10 ans un village qui n’avait plus pour s’alimenter que le débit insuffisant l’été des petites sources du mont caume, malvallon, le lauron et le ray pendant que lentement, mais sûrement, la population passait de 350 à 800 et 1700 habitants actuellement.ce nom de revest vient du provençal "revers", c’est-à-dire l'hubac, le contraire de l’adret : c'est le versant nord. la rivière du las tire son nom du provençal aisso qui signifie une hache en pierre, son cours tourmenté pouvant ressembler en plan à celui d’une hache.le nom de dardennes et son orthographe sont très controversés. certains disent qu’en l’écrivan...


3. 💬 Les Revestois racontent Mon pays, c'est la colline par Claude Chesnaud

...💬 les revestois racontent mon pays, c'est la colline par claude chesnaud source : texte de claude chesnaud mots en provençal d’après le « dictionnaire » d’andré quadruppani. enfants des collines, nous partions parfois à l’aventure dans le grand cap. partir à l’aventure, ce n’était pas excessif : nous allions vers un monde fantastique. après avoir quitté jojo cacao (notre joseph martin) qui prenait souvent le soleil sur une restanque à la ripelle, on croisait la peu souriante fine guigou (la bergère) qui nous guettait sur le plateau de tourris. puis nous traversions le hameau des olivières dont les ruines étaient déjà peuplées de fantômes. alors nous montions dans « le cap » par la carrière de marbre et le vallon des grandes sambles (vallon du cierge). le chêne kermès (avàu), le genêt d’espagne (gineste), le genêt piquant (argèiras) et la salsepareille (sarreta) étaient rapidement remplacés par du chêne vert (tousca) et du chêne blanc (rouve). un romarin (roumanieu) par ci par là cachait un lézard vert (limbert). parfois nous surprenions un geai (gai) ou une belette (moustello). sur le sommet du cap, il n’était pas rare de rencontrer un lièvre (lèbre) ou des perdreaux (perdigau). l’hiver, c’était le passage des grives (tourdre, siblaire, cha-cha et sèiro) et des pigeons (pijoun) qui nous faisait marcher le regard vers le ciel. si le retour se faisait à la nuit, dans les chênes verts nous entendions les lérots (garri-gréu) très bruyants et « musiciens ». le micocoulier (falabreguie) nous attendait devant notre maison : une fois encore nous n’avions pas rencontr&eacu...


4. 💬 Les Revestois racontent Entretien avec Jo Doglioti, habitant de La Tourrevelle

...s j’ai toujours en mémoire cet endroit merveilleux. la vie y était dure, c’était celle de l’époque, des années 1950/1960. il y avait des animaux à entretenir, un cheval, une mule, un bourriquot, des chèvres, deux cochons, des poules, des pigeons, des lapins. il y avait des cultures à entretenir, un jardin immense avec des légumes, des poireaux, des salades, des tomates, des fèves, et des pommes de terre, des arbres fruitiers dont des oliviers : essentiellement du travail manuel. émile bartoloméo sur son tracteur en 1983 émile bartoloméo (1922-1996) a été combattant volontaire de la résistance et ancien déporté malgré la rudesse de cette vie, parce que nous habitions à la tourrevelle, tout était formidable. avec mon jeune frère christian, nous allions à l’école au hameau de dardennes. pour la préparation au certificat d’etudes, mon instituteur était m. rené teisseire. le trajet se faisait à pied. le midi, il n’y avait pas de cantine organisée, alors nous mangions nos gamelles sous le préau de l’école. le soir, nous remontions le pain (plusieurs restaurants) que nous achetions chez le boulanger du hameau, et lorsque nous arrivions au bas de la tourrevelle, la mule nous attendait : c’était notre mère qui la détachait en fin d’après midi. cette mule avait pris l’habitude, sans dépasser les limites de la propriété, de venir à notre rencontre. alors, nous grimpions sur son dos, et elle nous ramenait jusqu’à la maison de la tourrevelle par le chemin qui n’était pas encore goudronné. l'escapade de la mule de la tourravellearticle d'édouard fousse dans le var-matin r&eacut...


5. 💬 Les Revestois racontent La Sainte-Rose selon Pierre Trofimoff

...💬 les revestois racontent la sainte-rose selon pierre trofimoff source : pierre trofimoff in bulletin avr n°3 de mai 1987 il n'a pas été plus facile de retrouver trace de la vraie sainte-rose de dardennes que de convaincre les autochtones que sainte rose n'était pas la véritable, l'authentique patronne du hameau de dardennes. la sainte-rose en 1970 avec la saint-pierre-es-liens et la saint-christophe du revest, sainte-rose est une des plus anciennes fêtes patronales de l'arrière-pays toulonnais. sainte-rose-de-lima a détrôné la saint-andré depuis 1863. car c'est bien saint andré qui fut de tout temps le saint vénéré de la vallée d'ardenne. les inestimables travaux du commandant laflotte, publiés dans le bulletin des amis du vieux toulon de 1928 et 1929, le confirment. une des premières chapelles qui ont existé avant la résidence d'état des évêques de toulon, à la hauteur de saint-antoine (usine à eaux de l'ozone) était dédiée à saint andré. elle changea de nom et prit celui de bonnefoi ou boniface ou bonnafé. cette chapelle a été détruite dans les années 1965-1968. elle se trouvait très exactement devant l'huilerie saint-antoine. une des redoutes de la défense extérieure de toulon, sur la rive droite du las, aurait emprunté au voisinage de cette chapelle son nom de saint-andré. en 1926, elle faisait partie du domaine de saint-andré, alors propriété de monsieur rimbaud, actuellement "la valtière saint-andré", propriété de l'amiral vatelot. pour être plus précis, car jusqu'ici les explications données plus haut concernent des quartiers situés sur la commune de toulon, il convient d'ajouter que l'...