Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :olivières


Page 6 - 10 sur un total de 10 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. 🏡 Le hameau des Olivières L'artillerie française bombarda les Olivières

...🏡 le hameau des olivières l'artillerie française bombarda les olivières dans le bulletin n°45 des amis du vieux revest, nous nous étions étonnés de la série de bombardement effectuée par l'armée française de 1926 à 1929 au grand cap. autre étonnement, en 1925 ce sont les olivières et la plaine des selves qui ont été "champ de tir de circonstance". cette fois-ci, nous nous appuyons sur 3 procès-verbaux datés du 30 avril 1925, du 23 mai 1925 et du 12 juin 1925 qui proviennent du parc d'artillerie régional de marseille et qui font suite aux prescriptions de la note n'14559 du 7 avril 1925 du général commandant le 15e corps d'armée. une étude préliminaire propose que la 38e division fasse des tirs à partir des terrains de la plaine des selves qui se situe au nord du coudon, et en direction des olivières. cette étude est réalisée par une commission qui se réunit le 9 fevrier 1925 ; elle est composée de m. paquette (chef du bataillon et président de cette commission), de m. pantalacci (chef d'escadron) et de m. le gros (chef d'escadron du 38"'" r.a.c.). elle arrête son choix pour ce champ de tir d'une longueur maximale de 5500 mètres et d'une largeur de 1500 mètres, dans un vallonnement fortement encaissé dans toute son étendue, limité au nord par les pentes du grand cap, au sud par les pentes abruptes du coudon, des bouisses et du mont combe. les cibles seront près du village des olivières sur un terrain rocailleux impropre à toute culture et où un incendie a détruit quelque temps auparavant des pins isolés: "on trouve encore quelques pinèdes à la limite sud du champ de tir et quelques vignobles et olivettes vers la limite est de la zone. les seules exploitations sont constituées par quelques coupes de bois et pur une petite carrière appartenant au principal propriétaire, monsieur de gasquet." l'armée y effectuera des tirs destinés à l'instruction technique de ses cadres, instruction abandonn...


7. 👥 Destins revestois Pierre François Meiffret, maire de 1906 à 1916

...👥 destins revestois pierre françois meiffret, maire de 1906 à 1916 pierre françois meiffret (avec un f ou deux, c'est selon) a des ancêtres mystérieux, on ne peut remonter qu'à ses grands parents et aussi un couple d'arrière-grands-parents. dans cette famille, on rencontre des castel et des paulé, des noms bien revestois. mais lui est né au hameau des olivières, le 2 mai 1845. ah quand on dit les olivières, on a tout dit, et la nostalgie est au rendez-vous. on peut donc mettre des noms sur les fantômes qui ont habité ces maisons sans toit aujourd'hui envahies par les arbres et le lierre ? peut-être habitait-il la maison meiffret avec son bel escalier en courbe. peut-être ... mais au recensement de 1841 les 8 maisons du hameau étaient toutes habitées par des meiffret ... ses parents christophe et anne daumas habitaient le hameau depuis leur mariage en 1829. ils y seront recensés jusqu'en 1851. ils étaient cultivateurs, comme leurs parents. et n'avaient à part pierre qu'un autre enfant, marie virginie, née en 1830. pierre françois se marie en 1869 avec paule anaïs artigue, ils vont habiter le village, puis dardennes. dès 1870, à la naissance de leur premier-né célestin fructueux, pierre se dit cafetier, puis limonadier en 1897, et cafetier en 1906. mais en 1872, il indique "cultivateur". il avait dû garder des terres. pierre et paule auront 6 enfants, dont l'un meurt tout bébé et un autre à la guerre, à 23 ans : c'est Émile maur meiffret dont le nom est gravé au monument au mort. pierre françois, qui avait perdu sa femme en 1900, meurt deux mois après la mort de son fils, à 71 ans. pierre françois meiffret est le grand-père de pierre paul meiffret, qui sera maire du revest de 1935 à 1941 et l'arrière-grand-père de c...


8. ♖ Tourris Que savons-nous du domaine de Tourris ?

...unes du revest, de la valette et de solliès-ville). le domaine a été saisi à la demande de jean-baptiste charles simon, créancier hypothécaire de louis auguste teissier. adjudication à l'audience des criées du tribunal civil de toulon le 24 juillet 1833. l'acte de mutation comprend une description détaillée des biens, avec non seulement les confronts mais aussi les numéros de parcelle. le cadastre napoléonien a été achevé en 1828 au revest. (adv transcriptions hypothécaires, toulon, volume 259, article 20, pages 55 à 68) 12 janvier 1861 : michel Émile teissier achète le domaine de tourris à mm clappier et devenel. c'est le fils de louis auguste teissier qui avait dû le vendre en 1833 à la suite d'une saisie. le prix est de 262 000 francs. la surface est selon l'acte de vente se référant à la matrice cadastrale de 1025 hectares sur les 3 communes. etant précisé qu'en 1851 les propriétaires clappier/devenel avaient vendu environ 2 hectares du côté des olivières à jean-baptiste blanc. en 1862, Émile teissier fait rénover la chapelle et y fait apposer une plaque où un texte latin le rappelle. (adv transcriptions hypothécaires, toulon, volume 599, article 27, pages 63 à 70) au décès d'Émile teissier le 1er juin 1872, ses 3 filles héritent du domaine de tourris. l'une d'elles, marie Élise caroline va racheter leurs parts à ses sœurs, et demeure seule propriétaire à compter du 27 septembre 1876. le 8 novembre 1879, anne marie henriette david, épouse de henri edgard de gasquet, achète le domaine de tourris sur ses biens propres pour la somme de 190 000 francs. le 15 avril 1893, elle achète un terrain adjacent à marie claire geneviève meiffret, veuve de joseph siffroy decugis. madame de gasquet décède le 17 avril 1930 au château de tourris et son fils guy marie henri en hérite. jacques gayet, petit-fils de guy de gasquet, raconte dans un document familial le dernier été passé en famille à tourris et conclue : "...


9. ♖ Tourris Les Olivières - Les Bouisses - Tourris

...♖ tourris les olivières - les bouisses - tourris source : charles aude, le revest ou notre village en 1900, publié en 1976. il n'est pas possible de parler du revest village sans penser aux quartiers périphériques, notamment le hameau de tourris et ses environs qui faisaient partie intégrante de la commune. nous allons donc parler de tourris au siècle dernier, domaine qui appartenait à monsieur de gasquet dans les années 1850-1880. il comprenait environ 150 habitants répartis en un groupe central autour du château. les agglomérations des olivières, des bouisses et les fermes du goudron et du ménage s'ajoutaient à ce groupe. les castellan, meiffret carret et quadropani formaient les familles importantes. les olivieres forment un charmant hameau dans la nature merveilleuse qui l'encadre. sa population occupait environ une douzaine de maisons. les hommes se procuraient du travail à la carrière de marbre toute proche, aux travaux agricoles, forestiers, aux transports charretiers. les femmes et les enfants s'occupaient du repas, de la basse-cour et de la culture maraîchère. on se rendait à ce hameau par un chemin communal qui menait aux carrières de tourris en empruntant la colline des camps. toutes les restanques qui entourent ce hameau étaient cultivées, ce qui donnait un apport à la vie de ces braves gens. c'était une vie tranquille, très rurale, quelquefois difficile mais les gens de l'époque s'en accommodaient très bien et vivaient à leur aise, cela suffisait. le dimanche, c'était la messe à l'église du château de tourris, les réunions de famille. l'époque de la chasse était très attendue par les hommes. de ce hameau, malheureusement abandonné, il ne reste que les murs des vieilles maisons, et personne ne ...


10. ♖ Tourris Localité agriculturale de Tourris

... de beaux pins pignons et d'alep. dans la plaine en face du château on cultive quelques vignes, beaucoup de mûriers à l'usage des vers-à-soie. cabanon, le paté et gazelé, sont des quartiers où l'on cultive des vignes, mais on est obligé de cueillir le raisin avant sa maturité, à cause des renards qui le mangent tout. en fait d'arbres fruitiers il y a des cerisiers, des figuiers et des sorbiers. il y a beaucoup de choux-fleurs, espèces de champignons (clavaria). tourris se trouvant le point central des herborisations l'on y peut arriver par diverses routes ou sentiers, soit en passant à la valette, monter par le baou-du-vin, passer au grand planesteau de coudon et descendre par le pas du capelan, passer au seouvo, gazelé, le cabanon, revenir descendre par les argeliès en passant au buisso la ripelle, localités où l'on cultive beaucoup d'oliviers bruns et peu de cayons, et l'on vient aboutir au chemin de dardennes. on peut arriver à la foux du revest en passant aux olivières, partie de terrain cultivable en vignes, et venant de là passer aux sablières, où l'on trouve des galeries souterraines de sablon que l'on expédie aux fabriques de verreries à gémenos, marseille, etc., et retourner à la valette. la route la plus praticable est lorsqu'on est arrivé au pont de dardennes, on prend la droite pour suivre la grande route qui conduit au moulin à farine du colombier, arrivé au détour qui se dirige au nord on abandonne celui de gauche et l'on suit celui de droite, qui conduit à la campagne de m. allègre. sur la route on rencontrera de magnifiques oliviers bruns, que l'on compte au nombre de 4.000, mais peu de cayons comme étant plus sensibles à la gelée; on y remarque également de belles vignes et des arbres fruitiers de diverses espèces. arrivé à cette campagne on passe au nord et l'on suit le sentier qui conduit à la tourvelle et l'on descend au buisso qui conduit au château de tourris, où il existe une chapelle et un cimetière;...