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6. 💬 Les Revestois racontent Françoise Cucchi, dernière habitante de la Tourrevelle entre 1960 et 1997

...françois, simon, aurélie et jean-raoul) vont partager ce paradis avec leurs parents et de nombreux animaux : jusqu’à 150 chèvres, jusqu’à 30 moutons, des cochons, des canards, des poules, des pigeons, des pintades, des lapins et 3 chevaux. la tourrevelle, c’est la ferme du bonheur. la bâtisse principale la vieille tour (tour vieille = tourrevelle ?) servira de point d’appui pour l’extension de la bâtisse principale : cette vieille tour est au nord-ouest de l’ensemble actuel. dans cette vieille tour, il y a une pièce dite « la souillarde », en souvenir de l’époque où c’était un rendez-vous de chasse, une gentilhommière. dans le "garage", nous trouvons encore des anneaux aux murs, anneaux qui servaient alors à attacher les chevaux. au premier étage, il y avait, entre 1960 et 1997, 5 chambres, une cuisine, une salle de bains. la petite route goudronnée elle serpente sur ce flanc de colline sauvage. elle-même est sauvage : difficile dans le sens la montée pour un véhicule, terrifiante dans le sens de la descente, avec de nombreux lacets serrés qui tentent de compenser une pente importante. elle protège naturellement la ferme. nombreux sont ceux qui refusaient de monter à la tourrevelle par ce chemin : le facteur qui laissait le courrier à l’entrée le boulanger qui, au même endroit, laissait tous les jours le pain dans une caisse en bois totalement étanche. dans cette caisse, une fois par semaine, m. mme cucchi déposaient une enveloppe dans laquelle il y avait le montant dû au boulanger m. vidal, alors médecin en activité, qui, lorsqu’il fallait venir soigner les enfants, demandait à mme cucchi de venir le chercher en voiture en bas de la propriété le médecin rempla&c...


7. 💬 Les Revestois racontent La Sainte-Rose selon Pierre Trofimoff

...s, propriétaires du terrain et membres du comité. c'est ainsi qu'au gré des ans, cette fête s'est déroulée sur la terrasse du paridon, célèbre café-restaurant bénéficiant d'une publicité toute faite par les nombreux gastronomes, danseurs et autres becs fins qui venaient là déguster le civet de lapin préparé de main de maître par monsieur blanc, du café du paridon. c'est ici que venaient chaque année se réunir les actionnaires des moulins à huile, et c'est au cours de ce repas, que pas un ne voulait manquer, qu'étaient discutées et décidées les mesures propres à assurer une plus grande responsabilité ou les réparations nécessaires à la bonne marche du moulin. mais c'était aussi ici que la sainte-rose se déroulait de 1897 aux années 1900-1905. le "petit-var" du 27 août 1897, nous donne le programme de la sainte-rose : le 28, aubades. le soir, retraite aux flambeaux, salves de boîtes, ouverture du bal "qui durera toute la fête". le dimanche 29, l'après-midi, concours de romances avec dix francs de prix. le lundi 30, après-midi, concours de chansonnettes, avec cinq francs de prix. mardi 31, concours de boules au café de l'union, chez monsieur meiffret, avec pour 1er prix, 10 francs et la moitié des mises, pour 2e prix, l'autre moitié des mises. toujours chez monsieur meiffret, concours de quadrette avec 20 francs de prix. le café de l'union se trouvait au pont de saint-pierre, à l'emplacement de l'ancien moulin à huile qui servit de garde-meubles pendant la dernière guerre et devint par la suite l'atelier de menuiserie de monsieur cassar. la fête de sainte-rose fut célébrée au fil des ans dans le bosquet de la propr...


8. 💬 Les Revestois racontent C'était l'été de mes 18 ans (1944), Alberte Blanc

...aérienne sur la ville. parfois, au loin, nous entendons comme des tirs d’artillerie lourde dans le ciel : des avions se donnent la chasse. alors nous rentrons précipitamment dans la maison, par crainte des éclats d’obus. avec le beau temps chaud et sec, les citadins ont préféré fuir la ville et vivre dehors, dans les collines, dormant à la belle étoile. le matin, ils descendent au village faire provision d’eau potable et de quelques victuailles. d’ailleurs, on se demande comment se porte toute cette population et nous-mêmes arrivons encore à nous alimenter et à survivre. chez nous, nous avons encore notre lapin dominical. aussi, dans le clapier, le samedi soir, c’est l’angoisse… dans la semaine, maman, ma sœur et moi, partons plusieurs fois dans la colline « faire de l’herbe ». il faut bien qu’elles mangent, ces petites bêtes, si nous voulons les manger… moi, depuis début juin, je suis occupée toute la semaine au service ravitaillement de la mairie. c’est qu’ayant atteint mes 18 ans, le s.t.o me guettait. alors, grâce à la compréhension du maire, j’émarge bénévolement sur les listes du personnel communal. je distribue les cartes d’alimentation. depuis que, le 15 août au matin, la radio nous apprit le débarquement, pas bien loin de chez nous, l’attente des prochains événements nous angoisse : toutes les suppositions sont émises. mais la vie continue, vaille que vaille. ainsi, ce dimanche matin, ma mère se dirige vers la place du village où s’est installé un petit producteur de fruits et légumes. une file d’attente s’est formée devant son éventaire et même deux vétérans alleman...


9. 💬 Les Revestois racontent Tourris et les Aludes par Lucien Mingeaud

...urdissants des perforatrices et des engins de terrassements nous parvenaient de ce fait très amoindris. toutefois, les explosions des tirs de mines étaient toujours perçues très nettement, d'autant qu'elles étaient régulièrement accompagnées de vibrations sourdes, fidèlement transmises par le terrain jusqu'aux fondations de notre immeuble. c'est pourquoi je regardais à nouveau ma montre-bracelet, inquiet de constater que l'heure réglementaire du tir de la volée du matin était dépassée d'un bon quart d'heure. un contretemps dans ce domaine de l'explosif est toujours préoccupant et décidais donc d'aller ne rendre compte sur le terrain des raisons de ce retard. je m'apprêtais à prendre la "prairie", voiture de chantier mise à notre disposition (déjà bien fatiguée d'un long séjour outre-méditerranée dont elle ne s'était d'ailleurs jamais remise), lorsque mon attention fut attirée par une silhouette furtive, entrevue un court instant au travers d'un rideau de petits chênes verts envahis inexorablement par une "horde" de ronces aux épines acérées dures comme l'acier trempé. pas de doute, malgré les risques encourus, dûment signalés par les panneaux interdisant l'accès du chantier, un intrus avait à nouveau passé outre et pénétré sur le terrain "marine". les trois coups de corne réglementaires, annonciateurs du tir de mines, ayant entre-temps retenti, suivis par l'explosion libératrice de la volée de dynamite, désormais pleinement rassuré et disponible, je décidais d'intervenir auprès du contrevenant afin de l'admonester et l'inviter à rebrousser chemin illico. je m'engageais donc prudemment à mon tour sur le sentier à peine dégrossi emprunté par l'indésirable en m'efforçant de mettre fidèlement en pratique la méthode qu'utilisaient jadis les sioux pour suivre à distance les "visages pâles" égarés sur leur terrain de chasse. les basses branches, épineuses par surcroît, qui m'obligeaient à me plier en équerre...


10. 📝 Amis du Vieux Revest Table des matières de tous les bulletins

...rs 1987 la dardenne (armand lacroix) la sainte rose (pierre trofimoff) livre : la mort de gautier (paul maurel) bulletin n° 4 (spécial) - mai 1987 a l'occasion des 80 ans du groupe revestois gastronomie revestoise la renaissance revestoise (société de musique) bulletin n° 5 - juin 1987 l'abbé eudes, curé du revest (pierre trofimoff) après 43 ans... (e.eude) pour une histoire religieuse (charles aude) opération "sauvetage" pour les tableaux de l'église (richard roquebrun) bulletin n° 6 - 1987 decaris peintres du revest (croquis de mémoire par pierre trofimoff) bulletin n°7 - déc. 87 / janvier 88 decaris n'est plus. la chasse par d’arcussia la chasse aujourd’hui la battue. le pentacle de sancti johannis de turris à la vieille valette (r.roquebrun) notre fontaine (edouard fousse) le terrible incendie d'août 1906 au mont caume (armand lacroix) surnoms et petits noms du revest bulletin n° 7 bis - août 1988 notre fontaine dans la petite histoire (e.fousse) bulletin n° 8 - août 1988 l’école du revest (y. roché) aux origines de l’amicale laïque (marius aubert) bulletin n°9 - septembre 1988 le terrible incendie d’août 1906 au mont caume (cf bulletin n° 7) classement des archives de la commune (jean meiffret) les oratoires du revest (charles aude) quel devenir pour les forges? (p.trofimoff) bulletin n° 10 promenade dans les rues du village du revest. bulletin n° 11 - mai 1989 le terrible incendie du mont caume, août 1906 (a. lacroix) suite et fin (cf b 7 et 9) a l’époque de l’économi rurale jules verne : à la découverte d’un arrière-grand-père (jean verne) l’habitat préhistorique du revest et de la vallée (jean-baptiste joubert) les fours à cade (laure...