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1. ✍ Écrivains et artistes George Sand au Revest

...teur vergne, elle commence à se lever à partir du 5 novembre et à goûter aux joies de la convalescence. hélas ses forces tardent à revenir. le 29 décembre, elle souffre de coliques hépatiques très douloureuses. le docteur vergne, une nouvelle fois consulté, conseille un long séjour dans le midi de la france pour retrouver enfin, grâce au climat méditerranéen, les forces qui lui manquent tant. ... le 19 février 1861 commence enfin le séjour provençal de george sand. il se terminera le 29 mai suivant. george, manceau et marie reprendront le train pour nohant en faisant un détour par chambéry.le conseil du docteur vergne était bon. george sand rentre guérie de toutes les séquelles de sa fièvre typhoïde. les paysages qu’elle aura vus lui inspireront deux romans. le premier publié en 1862 intitulé « tamaris » consacrera un chapitre important au coudon qu’elle parcourt en fin de séjour. le second intitulé « la confession d’une jeune fille » se déroule en grande partie au château et autour du château de dardennes, château qu’elle appelle « bellombre ». des scènes du roman se déroulent près du ragas et près de la salle verte. le roman a été publié en 1865. ✽✽✽✽✽✽✽ extraits de textes de l’agenda-journal tenu par george sand lors de son séjour à tamaris en 1861. sources : bibliothèque nationale, négatifs photos inversés en positifs puis montage multimédia par gérard scolca et « george sand : voyage dit du midi » par maurice jean – éditions snip 1991. mercredi 17 avril 1861 : visite de la « vallée de dardenne ». « très beau...


2. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...), qui avait une profonde connaissance de la nature, george sand (née en 1804), manifeste beaucoup d’admiration pour jean-jacques rousseau. les goûts naturels de la jeune aurore [on rappelle que notre romancière ne prit le nom de george sand qu’en 1832 et qu’elle naquit « amantine aurore lucile dupin »], son enfance à nohant, dans le berry (à partir de 1808), tout cela fera d’elle un être passionné par la nature et particulièrement par la vie végétale et par ses manifestations les plus simples comme les fleurs, les herbes et les jardins. cette passion de george sand pour la botanique ne va cesser de se développer au cours de sa vie grâce à son travail à partir des ouvrages de l’époque, mais surtout grâce à sa rencontre avec plusieurs personnages férus de botanique : son précepteur deschartres ; un étudiant parisien, de grandsaigne, qui lui enseigna les sciences naturelles ; un certain germain de saint-pierre, lorsqu’elle viendra séjourner à tamaris, de qui elle écrira « j’en ai plus appris avec lui dans un soir que les livres ne m’en ont encore fait comprendre ». mais ce sera surtout jules néraud (dit le malgache) qui sera, pendant de nombreuses années, son guide botaniste le plus autorisé. avec son précepteur deschartres. la jeune aurore n’a pourtant pas acquis cette passion dès son jeune âge à l’époque où, entre l’âge de 7 ans et l’âge de 13 ans, son précepteur deschartres lui apprenait les rudiments de tout ce qui devait faire l’éducation des jeunes filles, du latin à la broderie, de l’arithmétique à la versification, du piano à la grammaire, et naturellement les sciences naturelles, avec la botanique dont deschartres était un connaisseur. la jeune aurore (portrait par alfred de musset, 1833) car, comme elle l’écrira plus tard dans histoire de ma vie, « à cette époque, la botanique n'est point du tout une science à la portée des demoiselles ». en effet, « pou...


3. 🎭 La maison des Comoni La Culture au cœur du projet

...ans son entretien du 5 mars 2015 : « concernant la maison des comoni, le conseil général et l’etat maintenaient leurs subventions mais le nouveau maire souhaitait une double programmation, une programmation plus « élitiste » dont j’étais toujours chargé et une autre plus accessible que le maire a confié à j.loup grandchamp, ancien chargé des relations publiques des 4 saisons. ce dernier était payé par la mairie. cette double programmation a duré 2 ans, peut-être un peu moins parce que l’etat n’acceptait pas cette double programmation. » quant à j. fenassile, elle explique ses choix culturels de l’époque : « on voulait d’abord faire un 1er pôle avec la valette et la garde avant de négocier avec toulon dans le cadre de tpm car on avait peur de se faire avaler. et on a été scène nationale, pour un petit village comme le revest c’était exceptionnel. le but c’était de faire bien sur le département, faire de l’excellence comme la maison tamaris pacha qui n’est pas bien exploitée, la salle d’expo ne sert presque plus. on a eu de très belles expos, sardi, dufresne... on avait une réputation... le théâtre liberté n’existait pas à l’époque et toulon n’est pas réputé pour sa culture. nous, on a démarré en 90/91 ». en 2003, les 4 saisons fêtent leurs 20 ans au moment où les comoni deviennent équipement structurant de tpm en décembre et avec elle son instance de programmation. ange musso est maire depuis 2001. et pour expliquer la place des comoni aujourd’hui dans tpm et comme scène conventionnée, il faut revenir à l’histoire des 4 saisons du revest car les 2 structures ont des histoires liées. jc grosse explique dans son entretien du 5 mars 2015 : la région a financé pendant plusieurs années pour que les 7 théâtres : le revest avec les comoni, la valette et le théâtre marelios, la garde et le théâtre du rocher, le pradet et son espace des arts, toulon – le comédia, la sey...