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11. 🎭 La maison des Comoni La Culture au cœur du projet

...éfendre le projet culturel au niveau du théâtre et de la peinture. mais 27% des suffrages, ce n’était pas suffisant. charles vidal a été élu. » charles vidal meurt en décembre de cette même année et j. fenassile devient maire. jc grosse précise ses relations avec le nouveau maire dans son entretien du 5 mars 2015 : « concernant la maison des comoni, le conseil général et l’etat maintenaient leurs subventions mais le nouveau maire souhaitait une double programmation, une programmation plus « élitiste » dont j’étais toujours chargé et une autre plus accessible que le maire a confié à j.loup grandchamp, ancien chargé des relations publiques des 4 saisons. ce dernier était payé par la mairie. cette double programmation a duré 2 ans, peut-être un peu moins parce que l’etat n’acceptait pas cette double programmation. » quant à j. fenassile, elle explique ses choix culturels de l’époque : « on voulait d’abord faire un 1er pôle avec la valette et la garde avant de négocier avec toulon dans le cadre de tpm car on avait peur de se faire avaler. et on a été scène nationale, pour un petit village comme le revest c’était exceptionnel. le but c’était de faire bien sur le département, faire de l’excellence comme la maison tamaris pacha qui n’est pas bien exploitée, la salle d’expo ne sert presque plus. on a eu de très belles expos, sardi, dufresne... on avait une réputation... le théâtre liberté n’existait pas à l’époque et toulon n’est pas réputé pour sa culture. nous, on a démarré en 90/91 ». en 2003, les 4 saisons fêtent leurs 20 ans au moment où les comoni deviennent équipement structurant de tpm en décembre et avec elle son instance de programmation. ange musso est maire depuis 2001. et pour expliquer la place des comoni aujourd’hui dans tpm et comme scène conventionnée, il faut revenir à l’histoire des 4 saisons du revest car les 2 structures ont des histoires liées. ...


12. ❂ Balades historiques La vallée du Las, voie de pénétration régionale

...de la rivière neuve, le pompage de saint-antoine, ont transformé son régime en celui de simple déversoir d’eau de pluie. il prenait naissance à la source du ragas qui jaillit au pied de falaises de calcaire urgonien, au fond d’une dépression que dominent les derniers contreforts du grand cap et la hauteur du revest. il descendait sur dardennes, contournant le faron à l’ouest et se dirigeait vers la mer. avant la déviation ordonnée par vauban, il se jetait dans une anse de la petite rade colmatée partiellement par ses alluvions, et qui s’ouvrait entre le faubourg du pont du las et castigneau. sa longueur ne dépasse pas 7 kilomètres, mais ses affluents, jadis d’une certaine importance, ont largement étendu la superficie de son bassin. c’étaient, sur la rive gauche, un long torrent qui, entre le faron et le mont combe, lui amenait les eaux de la vieille valette-toulon et de la ripelle et dont le lit, aujourd’hui presque complètement à sec, est meublé de cailloux roulés, témoignages d’un service plus actif au cours des siècles écoulés, et plus loin les petits torrents des pentes du faron et la source saint-antoine. le long de la rive droite, on rencontre le torrent de saint-pierre, celui plus important des pomets, dénommé val degout, qui draine les ruissellements du caume et du col de garde, puis le sargentier, dont les eaux vauclusiennes sourdent à châteauvallon, quelques heures après les grandes pluies et qui annexe au bassin du las les vastes quartiers de monserrat, de valbertrand et des routes. la géographie commande la division de la vallée du las en trois sections qui présentent chacune une part d’originalité. la haute vallée comprend le cours supérieur de la rivière et les pentes qu...


13. ❂ Balades historiques Qui sont les Comoni du Revest ?

... grand-mère et sa tante. "ma tante delphine, c'était la science de la famille", une famille qui avait ses racines au plus profond de l'histoire du revest avec des vidal, des teisseire. le nom de teisseire serait d'ailleurs issu du métier de tisserand exercé par les ancêtres dans le quartier de malvallon, "fief" de cette famille (ne les appelait-on pas les "marquis de malvallon" ?). malvallon, au pied des grottes du lauron ... que ce nom de "comoni" ait pu se transmettre à travers les siècles, cela interroge très sérieusement la science historique : tribu camatulicienne ? déformation des "comani" évoquée par ptolémée ? a propos des m dans comoni effectivement, pierre trofimoff aussi bien dans l'histoire du revest publiée en 1963 que dans celle publiée aux "amis du vieux toulon" indique commoni. les sources indiquées sont strabon, p. bell autour d'une histoire de la valette au xlxe siècle et le trophée de la turbie. j'ai consulté le livre de référence en la matière (cité dans tous tes autres ouvrages, type collection clio, etc.-.) et publié en 1975: guy barruol "les peuples pré-romains du sud de la gaule" qui analyse : les différentes sources, littéraires et épigraphiques les différentes peuplades ll en ressort que chez strabon, on parle des sabyeux, des celtoligures, c'est assez général. chez pline, "histoire naturelle", on cite la liste des peuples où on peut lire les comanl (cf. barruol p. 208-210) et les camunni inscrits sur le trophée des alpes (cf. également note barruol p. 209) mais qui sont un peuple des alpes (du val camonica). ptolemee indique les comani entre marseille et fréjus (cf. barruol p. 209) nos comoni ne sont cités dans aucune de ces sources, barruol indique seulement la ré...


14. ❂ Balades historiques Origines de Toulon par Rémy Vidal

...et de caoumi.(3) m. le dr g. lambert a trouvé l'emplacement de l'antique laurion, un peu à l'ouest du revest, au quartier du lauron, sur le flanc de caoumi, mais « le sol celtique a disparu sous une épaisse couche de terre arable descendue, par suite du déboisement de la montagne, des pentes rapides de caoumi aujourd'hui arides et dénudées » (4). les habitants de la tribu du revest, comme leurs voisins des tribus de tourris et d'ollioules, descendaient au bord de la mer pour échanger leurs produits et chercher leur nourriture, car nous avons la preuve que ces peuplades primitives faisaient une grande consommation de coquillages, que la mer, dans ces temps reculés, comme aujourd'hui, produisait avec abondance. a trois kilomètres de distance, à l'est du village actuel du revest, on voit sur la crête d'un contrefort du coudon, taillé à pic, les ruines de l'ancienne tourris (vieille valette)), où se trouvent les vestiges d'un oppidum ligure confondus avec des constructions gallo-romaines et des maçonneries du moyen-age. la porte d'entrée de l'enceinte celtique, placée au point culminant, ouverte entre deux énormes rochers, ainsi que plusieurs pans de murs écroulés, d'appareil cyclopéen, ne laissent aucun doute sur l'origine de ce village abandonné. cependant, les camps retranchés de tourris et du revest, malgré leurs positions exceptionnelles, n'étaient que de simples pagi, admirablement disposés pour mettre une tribu à l'abri d'un coup de main, d'une surprise, mais tout-à-fait insuffisants pour arrêter l'invasion. le grand oppidum de la région, celui qui dominait la rade, la plaine et les coteaux, celui qui donnait le signal du danger et pouvait mettre à l'abri de ses fortes murailles toutes les tribus environnantes, avec leurs provisions et l...


15. ❂ Balades historiques Le Pas-de-la-Masque au Mont-Faron

...nuit du 30 septembre au 1er octobre 1793, le général de division la poype, commandant du détachement de l’est, décide sans ordre de prendre le pas de la masque (le passage du mauvais sort), au faron. il ordonne à son chef de bataillon victor de partir du revest vers 1 heure du matin. les soldats républicains sont guidés par un revestois, mèstré cadar. avec 1700 hommes, la poype surprend une centaine d’espagnols qui garde ce passage. mais les républicains ne peuvent pas conserver la place car les sardes et les anglais contre-attaquent par saint antoine, les napolitains, les piémontais, les espagnols et les royalistes contre-attaquent par le ravin de val-bourdin. de nombreux républicains essaient de se sauver en sautant des barres rocheuses du faron, beaucoup se tuent ou se blessent : la poype échoue. buonaparte connaît bien la région puisqu’il a habité la valette quelques mois auparavant avec sa mère et ses sœurs lorsqu’il a été chassé de corse après des élections perdues. il sait l’importance du faron, du coudon et du revest : d’ailleurs l’armée républicaine stationnera pendant cette période aux bouisses, au château et à la verrerie de tourris. il sait qu’il va falloir reprendre le mont caire et le pas de la masque. le 7 novembre 1793, carteaux doit obéir à une lettre ministérielle qui lui enlève le commandement. il est remplacé par le général doppet qui ne vaut pas mieux. puis le comité de salut public attribue le commandement à jean françois coquille du gommier, dit « dugommier »: ce choix est excellent. lettre de buonaparte (source : histoire de toulon, par paul maurel) lors d’une contre-offensive, dugommier, à la têt...