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11. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Histoire religieuse

...ouvrir les dépenses. le seigneur du revest et d'autres habitants avancèrent les fonds nécessaire. l'église est sous le titre de l'assomption, saint christophe et saint jacques en sont les patrons. construite en forme de croix latine, elle fut achevée en 1679. sur le côté droit, nous trouvons la chapelle saint-joseph, puis la chapelle saint-sébastien et saint-christophe dans le transept. la grande statue de saint christophe est un don de la famille martinenq (m. martinenq fut nommé curé du revest le 3 juillet 1864). sur le côté gauche, nous avons la chapelle des Âmes du purgatoire et celle de la sainte vierge (autrefois notre-dame des neiges) dans le transept; à l'angle du transept et de la chapelle des Âmes du purgatoire, une très simple chaire, sur les panneaux de laquelle sont sculptés les quatre évangélistes. le chœur possède un maître-autel qui date de 1348. dans l'abside, nous trouvons, occupant l'emplacement de vitraux, deux grandes statues de saint vincent de paul et de saint ferdinand, roi du portugal (consacrées en 1877, par mgr terris, évêque de fréjus et toulon). À l’emplacement des ces niches existaient primitivement deux fenêtres. lors des réparations effectuées aux fenêtres de l'église, en 1847, «des vitres colorées» furent placées et, le jour étant jugé insuffisant, il fut décidé de percer ces deux ouvertures. entre 1847 et 1877, elles furent une fois encore obstruées. entre ces deux statues, nous avons une peinture célébrant le vœu de louis xiii. À droite, les armoiries de mgr terris ; à gauche, celles de pie ix. deux tableaux sous ces blasons, peints par m. le curé chabert, en 1711. la tribune actuelle est de construction récente. elle a nécessité la destruction de deux autels que remplacent, à droite et à gauche, deux peintures. À gauche, une grande toile représente, en pied, saint cyprien et saint clair ; sur la droite une peinture dite de l'école espagnole. son cadre a malheureusem...


12. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Les forges

...1820, cinq ou six ouvriers seulement sont occupés. en pleine activité, « l'usine » pouvait fournir de 1.200 à 1.500 quintaux île fer, destinés en partie à la marine royale, en partie aux industries privées. À lui seul, le grand martinet pouvait fournir 200 quintaux d'ancres, d'essieux de charrettes, de plaques pour la papeterie. le combustible utilisé, principalement du charbon de bois, provenait surtout des forêts des environs de toulon. la consommation annuelle était de « 12.000 à 15.000 quintaux ». une certaine quantité de houille, « 4 à 5.000 hectolitres » était acheminée de saint-Étienne, par le rhône, et servait, elle aussi, à l'entretien des feux. le grand martinet, à lui seul, consommait 800 hectolitres de houille annuellement. au début du xixe siècle, cet établissement est appelé : « forges impériales maritimes » (1807). une famille a participé activement à la marche de ces «forges de l'État» (1304), il s'agit de la famille vincent. nous trouvons françois vincent, contremaître des « forges », en l'an xiii ; françois vincent, entrepreneur des « forges de dardennes » (1806) ; joseph vincent, maître des « forges impériales » (1808) ; joseph vincent, directeur des « forges de dardenne » (1810). un personnel subalterne qualifié exécute les travaux : aimé vincent, pierre pibreau, Étienne giono, daguerreau, Étienne beiaudy, alexandre jean, vincent barley sont forgerons ou forgerons-cloutiers ; gabriel vial est contremaître des « forges en 1812 ; vincent barbaroux et pierre hubac sont cloutiers. le nommé françois bouisson est sous-chef des « forges impériales maritimes » en 1807. cet atelier semble avoir cessé toute activité vers le milieu du xixe siècle. la création d’industries similaires dans les villes voisines, plus aptes à recevoir combustibles et matières premières, amenèrent les responsables de cette entreprise à renoncer à toute fabrication. des installations pl...


13. 🏭 Industrie La verrerie de Tourris

...🏭 industrie la verrerie de tourris par claude chesnaud article réalisé grâce aux recherches de rené vernet, patricia calmel-kobrin, carole castillazuelo et michel augier en 2013 vincent cordouan - musée de toulon a gauche, la verrerie de tourris. a droite l'ancienne auberge de jean baudissaire (dernier usage du bâtiment vers 1980). sous charles x, d’après le bulletin des lois de la république française, d’après les annales des mines (recueil de mémoires sur l’exploitation des mines – deuxième série – tome 1 – 1827), nous trouvons, le 5 juillet 1826, l’ordonnance du roi qui autorise le sieur tessier d’établir une verrerie à verre blanc, à tourris, dans la commune de la valette. annales des mines – page 341 selon le cadastre napoléonien du 31 mai 1827, la verrerie de tourris est signalée. elle est construite à cheval entre la commune du revest et la commune de la valette. dans « les annales de la société naturelle de toulon » (années 1930-31) n°15, selon le manuscrit laissé par joseph auzende, en page 51, on lit : « on peut arriver à la foux du revest en passant aux olivières, partie de terrain cultivable en vignes, et venant de là passer aux sablières, où l’on trouve des galeries souterraines de sablon que l’on expédie aux fabriques de verreries à gémenos, marseille, etc … ». nous sommes au 19e siècle. passer la souris sur la photopour la voir en plus grand en 1988, danièle foy publie « le verre médiéval et son artisanat en france méditerranéenne » où on lit (page 31) : « avant même d'obtenir l'autorisation de créer son atelier à la valette au q...


14. 🏭 Industrie Les dix moulins de la vallée de Dardennes

...is pour faire descendre et conduire les grains depuis le sommet de la bâtisse, où ces grains montaient par des poulies jusqu’aux meules où se retiraient les farines. pendant la guerre, il servit d’entrepôts aux archives de la dcan. il reste le moulin dit « du colombier », aujourd’hui englouti dans le barrage lors de sa construction. mais nous savons beaucoup de choses à son sujet grâce à maurice et george sand. les dessins de m. sand nous donnent de nombreux renseignements sur les moulins, les notes de sa mère aussi. contrairement à ce que l’on pense généralement, ce n’était pas un moulin à farine, mais un moulin à huile. sa construction fut autorisée par délibération de la commune de toulon le 15 septembre 1792. cette autorisation fut accordée à antoine hubac, barthélémy artigues, vincent et blaise artigues, tous beaux-frères, habitant le terroir de toulon. le terrain, où allait être construit le moulin, appartenait à louis artigues et était attenant au canal qui alimentait les moulins à farine de cette commune, distante d’un quart de lieue des moulins de dardennes. il ne pouvait donc pas nuire au bon fonctionnement des moulins à farine, car les moulins à huile ne travaillaient qu’une partie de l’année. l’autorisation était accordée sous certaines conditions quant à l’utilisation des eaux bourbeuses après installation des « coulisses écluses ». toute ces bâtisses chargées du travail des hommes, chacun d’eux portait plusieurs fois par jour des sacs de farine pesant 80 kilos, sont encore debout, défiant le temps, certaines ont été au milieu du 1 9ème siècle transformées ...


15. 🏭 Industrie Quel devenir pour Les Forges ?

... une affinerie, un grand martinet à deux foyers, un petit martinet à un seul feu; seize petites forges à bras, quatre petites forges de chantier également à bras. une affaire qui tournait bien lorsque les forges marchaient normalement, elles employaient trente ouvriers. en pleine activité, "l'usine" pouvait fournir de 1200 à 1500 quintaux de fer, destinés en partie à la marine royale, en partie aux industries privées. a lui seul, le grand martinet pouvait fournir 200 quintaux d'ancres, d'essieux de charrettes, de plaques pour la papeterie. le combustible utilisé, principalement du charbon de bois, provenait surtout des forêts avoisinant toulon. une certaine quantité de houille, de 4 à 5000 hectolitres, était acheminée de saint-Étienne, par le rhône, et servait elle aussi à l'entretien des feux. le grand martinet à lui seul consommait 800 hectolitres de houille annuellement. une famille a laissé son nom à l'exploitation des ateliers de dardennes, la famille vincent, mais un autre patronyme est lié à ces forges royales et impériales maritimes (1807), la famille aguillon. c'est un aguillon qui a créé cet établissement, en construisant, dès 1747, les usines, bâtiments etc qui constituent les forges, fonderies et ateliers de clouterie et d'autres ouvrages en fer fondu ou battu. c'est à leurs frais que les membres de la famille aguillon établiront cette importante fabrique sur le sol appartenant à la ville de toulon. de gros problèmes se feront jour, dès que le citoyen joseph aguillon émigré dès l'arrivée des troupes de la république à toulon, se mit à réclamer son poste de directeur des forges de dardennes, et surtout les quantités impressionnantes de marchandises, charbon, fer etc entreposées à dardenne ou mieux encore, confiées à la garde d'un chef de magasin, à toulon, près de la boulangerie de la marine. ces grosses quantités de marchandises furent, bien entendu, pillées et joseph aguillon en voulait la rest...