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16. 🚶 Balader au Revest Source de la Ripelle et grotte préhistorique atelier

...🚶 balader au revest source de la ripelle et grotte préhistorique atelier les dimanches 3 et 17 avril 2016, les associations société des amis du vieux revest et loisir et culture ont organisé une sortie pédestre de 9h00 à 12h00 avec pique-nique sur les restanques du château de la ripelle. les photos de cet articles ont été prises par notre guide bénévole, marie-hélène taillard. une boucle au départ du château de la ripelle qui nous amène jusqu'à la grotte atelier située au sud-est du mont combe. 7,5 km environ, 300m de dénivelé, accès à la grotte en zone de végétation dense. départ du parking du paddock, montée vers le château, piste de la ripelle qui longe le ruisseau des argéries, puis piste de la source (vestige de four à chaux), source de la ripelle (ancien bassin, tunnel, captage). de la source, montée vers le collet des argéries, puis le long d'un canyon vers le pont naturel et enfin vers la grotte atelier qui fait face à la vieille valette (ou vieux tourris). voir l'article sur la grotte atelier >>> là. retour au château de la ripelle par le chemin du jas. attention ! vêtements résistants, chaussures de marche, eau sont indispensables. ...


17. 🖋 1918 - 2018 Centenaire de l'armistice Le 111e RI d'Antibes régiment martyr, régiment maudit

...journal l'éclaireur de nice relate le 4 mai : "la cérémonie réparatrice, hommage éclatant de vénération, de reconnaissance patriotique" qui se tint à la gare d'antibes lors du départ pour paris du drapeau du 111e pour qu'il "occupe, à côté des glorieux emblèmes du xve corps la place d'honneur qui lui est due". le 27 octobre 2017, à la caserne gazan d'antibes, le chercheur en sciences sociales andré payan-passeron prononce une allocation où il expose le résultat de ses recherches sur le 111e ri et réhabilite enfin l'honneur bafoué de ce régiment martyr qui, à la fin de la guerre, aura enregistré près de 5700 tués, blessés, disparus et faits prisonniers. sourcesla légende noire du 15e corps d'armée : http://memoires-de-guerres.var.fr/_depot_ad83/datas/ark_cms/_depot_arko/ fr/_depot_ad83/datas/ark_cms/_depot_arko/articles/5929/recueil-de-documents-sur-le-xve-corps-d-armee-concu-par-maurice-mistre_doc/5929/recueil-de-documents-sur-le-xve-corps-d-armee-concu-par-maurice-mistre_doc.pdfwikipedia : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=111e_r%c3%a9giment_d%27infanterie&oldid=149022114 http://boisdemalancourt.monsite-orange.fr...


18. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Louis Camolli par Claude Chesnaud

...quo;armement, les fortifications, les mouvements de troupes ennemies. il s’était spécialisé sur les recherches de pistes faibles allemandes, ceci en vue d’un débarquement probable des alliés.a servi de guide pendant les combats libérateurs de toulon, obtenant une citation élogieuse avec croix de guerre. travailleur infatigable, cet agent s’est acquitté des différentes tâches qui lui étaient confiées par son chef avec tout le brio de son tempérament actif et débrouillard autant qu’intelligent. après la guerre, camolli devient chef de l’usine de stérilisation des eaux de la valette. il se remarie en 1952. il prend sa retraite en 1968 comme ingénieur subdivisionnaire. il est toujours franc-maçon et milite à la s.f.i.o..il meurt au revest les eaux le 30 mai 1971. ses obsèques sont civiles. la presse publie de nombreux articles, « république » titre : « une noble figure de la résistance disparaît » sources : article de claude chesnaud - archives départementales, - archives des amis du vieux revest, - la résistance dans le var par victor masson, - la résistance dans le var par jean marie guillon, professeur des universités à l’université de provence, - camolli louis par jacques girault, maître de conférence à l’université de paris 1 sorbonne, - documents remis par mme camolli louis et m. moretti dominique, - photos de la collection de scolca gérard....


19. ⛏ Carrières et mines Route des carrières

... président du syndicat d'initiative penchaient plutôt pour uni-carrières, après les rencontres qu'ils avaient pu faire avec ses responsables et les échanges de lettres. des déclarations furent faites à la presse. l'affaire devenait chaude. lors de la séance du conseil municipal, en date du 27 avril 1973 (cf ci-dessous : décision capitale), le maire rappelait en faisant l'historique de la question que les pourparlers avec la sotem duraient depuis bientôt deux ans. il était temps maintenant de mettre un terme à des discussions actuellement au point mort. mais après cette séance mémorable, les contestataires ne baissèrent pas la garde et le maire dû répondre par voie de presse. un choix justifié le 27 juillet 1973,le maire, docteur charles vidal, s'adressait aux habitants du revest dans var-république, tellement la polémique devenait vive ( ( articles dans la presse et lettres), pour ce qui concernait le choix de la s.o.t.e.m. aspect financier il démontrait les avantages pécuniaires indéniables de ce choix. "le syndicat (n.d.l.r. : de défense contre les nuisances des carrières) a publié une lettre de m. zanini, selon laquelle on m'aurait proposé d'acheter nos pierres à 0,40 f la tonne, soit 7% du chiffre d'affaires. c'est inexact. seul, m. roussel m'a fait savoir qu'il vendait les pierres de tourris à ce prix-là (sa lettre du 1er août 1972 citée en référence). ce n'était pas là une offre ferme de m. zanini." il rappelle que dans une lettre du 29 juillet 1971 de m. zanini, il était dit "que le prix qui nous serait payé devrait tenir compte du péage exigé pour emprunter la route créée dans le domaine de tourris. ce péage était fixé à 0,20 f la tonne...


20. 🧤 Petite industrie et artisanat Les bugadières

...🧤 petite industrie et artisanat les bugadières lou temps dl bugadiero par jean meiffret ce texte est une compilation de deux articles parus en 1992 dans les numéros 15 et 17 du bulletin des amis du vieux revest. ces lignes sont le reflet d'une conférence faite en mairie du revest le 10 mars 1990, à l'occasion de " la. journée de la femme ". il y a longtemps que le bruit des battoirs sur le linge dans les lavoirs s'est éteint. le nôtre a même perdu sa toiture, et de la montée des bugadières, il ne reste que le nom pour rappeler non seulement les ménagères qui s'y rendaient, mais avant tout, et y tenant les premières places dans le droit d'occupation, et la langue bien pendue, les lavandières de profession (lei bugadiere). avec la machine à laver familiale et toute la gamme des détersifs, elles sont passées dans le domaine des souvenirs. il n'y a pourtant que quelques décennies où du revest à saint roch, dans de nombreux "lavadou", au bord du béal sur les rives du las, toute la vallée retentissait du matin au soir, du flic flac des battoirs, des rires, des cris et des verts propos des bugadières. ces femmes furent la couleur locale de dardennes, type si populaire et si franchement toulonnais. elles devaient, il est vrai, leur savoir-faire non seulement à leur travail, mais aussi aux eaux vives et fraîches qui coulaient dans la vallée. toutes les sources participaient par leur abondance à la renommée des lavandières, " maï aco ere lou temps ou marthe filavo, ara debano ". il est vrai que ces temps de lessive constituent à nos regards modernes, un des aspects des plus curieux de la vie d'autrefois, en demeurant présente pourtant dans de nombreuses mémoires. la trivialité du sujet et surtout sa spécificité f&eacu...