Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :coudon


Page 11 - 15 sur un total de 26 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


11. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...double. je me lève avec mal à l’estomac. quelle patraque je fais ! je ne peux rien faire. la botanique ne va pas. l’envie de travailler est molle. je corrige le chapitre 9 de valvèdre. nous montons au fort napoléon pour ramasser quelques plantes. coronilla juncea. je range les anciennes. je mange une soupe à 9 h et une tasse de café. bésig avec manceau. maurice retape un dessin. je fais des patiences. ils vont se coucher. je reste à ranger des plantes. je retravaille un peu à l’homme de campagne ». george sand, à l’époque où elle séjourna à tamaris (photo de nadar) a partir de la mi-mars et encore davantage en avril et mai, lorsque sa santé s’améliore un peu et que ses forces reviennent, elle va explorer la plupart des sites de notre région, à pied dans les environs (mer-vive 1, les sablettes, cap sepet,…), puis avec son cocher matheron (n.-d. de la garde, dardenne, le revest, les pommets, les gorges d’ollioules, les grès de sainte-anne, le coudon, le gapeau, montrieux, hyères,…). château de dardenne, où george sand se rendit en avril et mai 1861 de la botanique au quotidien 18 avril : je ne sors qu’autour de la maison pour ramasser quelques plantes. je range les anciennes (…). un peu de rebotanique (…). 20 avril : solliès-pont - gapeau : paysage assommant de monotonie, toujours des oliviers malingres. (…) le soir, je fais de la botanique et des patiences. 21 avril : malade. j’ai fait de la botanique toute la journée et encore ce soir. maurice m’a aidée à voir les microscopiques détails de l’asperula bleue. 22 avril : malade. sur la colline, manceau va chercher le limodore qui ne se hâte pas de fleurir (…). un peu de botanique, mais je ne peux pas m’occuper sérieusement. 23 avril : botanique toute la journée sans aucun résultat. le soir, botanique sans succès. impossible de déterminer les petites plantes sans des yeux de lynx. 24 avril : cap sepet et sablettes : plantes ...


12. ❂ Balades historiques Origines de Toulon par Rémy Vidal

...nvirons de toulon, en un lieu nommé lauron entre les montagnes de faron et de caoumi.(3) m. le dr g. lambert a trouvé l'emplacement de l'antique laurion, un peu à l'ouest du revest, au quartier du lauron, sur le flanc de caoumi, mais « le sol celtique a disparu sous une épaisse couche de terre arable descendue, par suite du déboisement de la montagne, des pentes rapides de caoumi aujourd'hui arides et dénudées » (4). les habitants de la tribu du revest, comme leurs voisins des tribus de tourris et d'ollioules, descendaient au bord de la mer pour échanger leurs produits et chercher leur nourriture, car nous avons la preuve que ces peuplades primitives faisaient une grande consommation de coquillages, que la mer, dans ces temps reculés, comme aujourd'hui, produisait avec abondance. a trois kilomètres de distance, à l'est du village actuel du revest, on voit sur la crête d'un contrefort du coudon, taillé à pic, les ruines de l'ancienne tourris (vieille valette), où se trouvent les vestiges d'un oppidum ligure confondus avec des constructions gallo-romaines et des maçonneries du moyen-age. la porte d'entrée de l'enceinte celtique, placée au point culminant, ouverte entre deux énormes rochers, ainsi que plusieurs pans de murs écroulés, d'appareil cyclopéen, ne laissent aucun doute sur l'origine de ce village abandonné. cependant, les camps retranchés de tourris et du revest, malgré leurs positions exceptionnelles, n'étaient que de simples pagi, admirablement disposés pour mettre une tribu à l'abri d'un coup de main, d'une surprise, mais tout-à-fait insuffisants pour arrêter l'invasion. le grand oppidum de la région, celui qui dominait la rade, la plaine et les coteaux, celui qui donnait le signal du danger et pouvait mettre à l'abri de s...


13. ❂ Balades historiques Le Pas-de-la-Masque au Mont-Faron

...is sort), au faron. il ordonne à son chef de bataillon victor de partir du revest vers 1 heure du matin. les soldats républicains sont guidés par un revestois, mèstré cadar. avec 1700 hommes, la poype surprend une centaine d’espagnols qui garde ce passage. mais les républicains ne peuvent pas conserver la place car les sardes et les anglais contre-attaquent par saint antoine, les napolitains, les piémontais, les espagnols et les royalistes contre-attaquent par le ravin de val-bourdin. de nombreux républicains essaient de se sauver en sautant des barres rocheuses du faron, beaucoup se tuent ou se blessent : la poype échoue. buonaparte connaît bien la région puisqu’il a habité la valette quelques mois auparavant avec sa mère et ses sœurs lorsqu’il a été chassé de corse après des élections perdues. il sait l’importance du faron, du coudon et du revest : d’ailleurs l’armée républicaine stationnera pendant cette période aux bouisses, au château et à la verrerie de tourris. il sait qu’il va falloir reprendre le mont caire et le pas de la masque. le 7 novembre 1793, carteaux doit obéir à une lettre ministérielle qui lui enlève le commandement. il est remplacé par le général doppet qui ne vaut pas mieux. puis le comité de salut public attribue le commandement à jean françois coquille du gommier, dit « dugommier »: ce choix est excellent. lettre de buonaparte (source : histoire de toulon, par paul maurel) lors d’une contre-offensive, dugommier, à la tête de 3 bataillons, reprend la batterie de la convention et ses hommes capturent le général anglais o’harra. buonaparte s’est battu avec ses fantassins : il est promu colonel. une pluie to...


14. 🚒 Incendies La stèle du Mont-Caume

...ui ravageait le mont caume depuis la veille et menaçait le revest. les soldats furent obligés de battre en retraite précipitamment, poursuivis par les flammes ; asphyxiés par la fumée, trois des leurs furent happés par l’incendie ; le journal de l’époque, relatant les faits, a décrit avec précision l’état dans lequel furent retrouvés les trois hommes. ce monument commémoratif a été érigé sous l’égide de l’association patriotique « le souvenir français » cependant que la municipalité du revest avait décidé dans sa séance du 6 septembre 1906 « l’érection au chemin du mont caume ou sur une place publique du revest d’une pierre tumulaire. » ce monument portant sur une plaque les noms des trois soldats victimes de leur devoir fut inaugurée sur la place du coudon, actuellement place du général leclerc, le 25 août 1907 ; le 15 décembre 1987, la municipalité a fait ajouter la longue liste des noms des sapeurs-pompiers du département morts en combattant le feu ou en service commandé. pour honorer la mémoire des trois combattants morts en 1906 sur les flancs du caume, le souvenir français fît placer une stèle sur les lieux mêmes de l’accident. cette pierre a été réalisée par le génie militaire sous la direction de s. broquier, officier d’administration du génie, ce que nous révèle l’inscription gravée au bas du socle inférieur, face nord (s. broquier, offr. d’ad2 … du génie); ce qui est gravé après 2 est illisible ; est-ce « classe » ? d’où « officier d’administration de 2ème classe » ? sur la f...


15. 🚒 Incendies L’incendie du Revest-La Valette-La Farlède en 1964

...n feu explose, file à grande vitesse vers le sommet de la tourrevelle et fonce vers la ripelle. vers 16 heures, le flanc sud du mont combe est rouge de feu, de la barre rocheuse au chemin départemental 46. dans un crépitement abominable, les flammes font des bonds de plusieurs centaines de mètres et avalent les cultures et le maquis. rarement un incendie a été aussi violent. le château de la ripelle est menacé, il faut évacuer les retraités de cette « maison de repos ». ailleurs chacun défend son habitation comme il peut : avec une branche coupée à la va-vite. les campagnes sont entretenues, mais le paillon est présent partout, le feu en profite. il dépasse rapidement la moutte et grimpe vers tourris par les argierès, dévore les chabertes. nous entendons des explosions : ce sont des munitions abandonnées dans le maquis lors des combats pendant la libération. le feu longe le c.d. 46, dépasse les favières en évitant la campagne mazza et plonge sur le coudon. la résidence du préfet maritime à baudouvin est menacée. les contours de l’incendie de juillet 1964 vers 23 heures, c’est autour de la « maison des gueules cassées » qu’il faut lutter. les 120 pensionnaires sont évacués en hâte par des cars de police-secours vers le centre hospitalier de toulon à brunet. toute la nuit le coudon flambe. le feu descend jusqu’au partegal, jusqu’à la farlède. sur son front nord, il tente une montée vers solliès-ville. alors le vent tombe totalement, le feu cesse sa course folle : il s’arrête. il a détruit plus de 800 hectares en une après-midi et une nuit. le lendemain les harkis viennent dans nos campagnes éteindre les souches qui continuent de se consumer à la lisière de cet incendie. ils ont la tenue des soldats et sont équipés d’outils modestes qu’ils utilisent avec efficacité. les soldats sont vus par ci par là. la nature a souffert, tout est calciné. pour sauver nos maisons, il a fa...