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16. ♖ La tour du Revest La tour-donjon du Revest-les-Eaux

...♖ la tour du revest la tour-donjon du revest-les-eaux situation géographique elle est située au-sommet d'un piton calcaire, à 220 m d'altitude, aux pentes abruptes, notamment celle de l'est qui domine le lac de retenue, lequel occupe la vallée supérieure du las toujours  alimentée abondamment par les sources dont la plus grosse - la foux - et  son exutoire de type vauclusien, le ragas.  de la terrasse de la tour, la vue embrasse un panorama de 360° : au nord, la barrière formée par les contreforts du grand cap, à l'est s'élève le mont combes (436m). entre l'ubac du mont faron (584 m) et le mont combe s'insère la vallée des favières, au delà du col du même nom, plus connu sous l'appellation col des chênes, la vue porte sur le littoral à l'est de toulon. au sud, c'est la vallée du las, la mer d'où émerge le massif de sicié et les minuscules îlots dits "les deux frères". on aperçoit la butte occupée par le village de six- fours avant la construction du fort militaire en 1874. vers l'ouest, la colline de costebelle, et surtout la haute falaise du mont caume (801 m). sources bulletin de l'académie du var, année 1900 p111 (jules vidal et rémy vidal) histoire du revest, par m. pierre  trofimoff regards sur un terroir -ollioules- sous la direction  de m. henri ribot le revest et la vallée  de dardennes des temps préhistoriques  au moyen-Âge, par monsieur armand lacroix pierres à bosses dans les alpilles  et le lubéron,  par anne-marie durupt (collection  châteaux- forts d'europe n° 6 - 1998) citadelles d'azur, de bernard  cros (edisud) presse : infos le revest les eaux  n" 57 ; var matin république arrêté d'inscription  à l'inventaire des monuments  historiques photos de katryne tpm (toulon-provence-méditerranée) ...


17. ♖ La tour du Revest Situation stratégique

...♖ la tour du revest situation stratégique le site rocheux sur lequel s'est construit le village du revest offre une position dominante exceptionnelle. il se dresse à un carrefour. la voie du nord, par le plateau de siou blanc, mène à signes et à la chartreuse de montrieux ; elle vit passer les armées venues au secours de toulon en 1701, 1793, 1944. vers l'est, un chemin rejoint solliès-ville après avoir traversé le plateau de tourris et évité le coudon. une autre voie emprunte la vallée des favières entre le mont combe et la face nord du faron, couloir emprunté par les diverses troupes pour cerner toulon. du grand port du levant, au sud, arrivait le chemin royal par la vallée du las et le hameau de dardennes. enfin, vers l'ouest, court le chemin qui mène à Évenos....


18. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...ore : « la sècheresse est effrayante. je doute beaucoup qu’il y ait de la vraie fraîcheur et de la vraie végétation en provence. je crois que les gens du pays ne savent même pas ce que c’est ». « les pins d’ici sont tristes à faire peur ». quant aux bords du gapeau : « il y a là une zone de fraîcheur qui repose de la provence sèche et poudreuse. mais ça n’enfonce pas les bords de l’indre. Ça n’approche pas ceux de la gargilesse ». « nous y voyons avec plaisir des ormeaux, des peupliers, des aulnes, des chênes, ce que l’on appelle de vrais arbres, car tous ces arbres à feuilles persistantes ont l’air d’être artificiels ». « c’est très joli les bords du gapeau, mais les collines à terrasses, c’est pauvre et triste. tout cela ne vaut pas cher, et l’indre est plus jolie aux carclets ». champ d’oliviers en provence quant aux oliviers ! « À dardenne, ce qui domine, ce sont les oliviers rachitiques, ramassés et poudreux. au faron et au coudon, paysage assommant de monotonie, toujours des oliviers malingres… À hyères, on rentre dans les oliviers, si tant est qu’on les ait quittés… des oliviers rabougris qu’ont envahi des smilax enragés… À montrieux, (…) des assommants oliviers… n’y a-t-il pas assez d’oliviers en provence ? c’est odieux, il y en a partout, dans les jardins, dans les chambres, dans les lits, il y en a presque autant que de puces… ». quelques réflexions d’ordre plus général comme elle l’avait fait à propos de majorque, george sand émet de sévères critiques sur les procédés de l’agriculture provençale. ainsi, à propos de la culture du blé : « le blé qui dans les meilleurs endroits pousse en épis si grêles, en quoi serait-il préférable aux tapis de fleurs sauvages et aux prairies naturelles ? on s’obstine ici aux céréales, on ne sait pas les cultiver, on n’a pas d’engrais et elles ne nourrissent pas la population et ne paient pa...


19. ❂ Balades historiques La vallée du Las, voie de pénétration régionale

...ait inconcevable que cette longue voie naturelle, destinée à mettre en contact les occupants de la zone littorale et ceux du haut-pays, n’ait pas été utilisée par eux avant les temps romains… le géographe le las, qui creusa cette vallée, était aux ages préhistoriques une véritable rivière dont le lit roulait des eaux toute l’année durant. la sécheresse qui augmente de siècle en siècle, puis aux temps modernes, le captage du ragas, la dérivation de la rivière neuve, le pompage de saint-antoine, ont transformé son régime en celui de simple déversoir d’eau de pluie. il prenait naissance à la source du ragas qui jaillit au pied de falaises de calcaire urgonien, au fond d’une dépression que dominent les derniers contreforts du grand cap et la hauteur du revest. il descendait sur dardennes, contournant le faron) à l’ouest et se dirigeait vers la mer. avant la déviation ordonnée par vauban, il se jetait dans une anse de la petite rade colmatée partiellement par ses alluvions, et qui s’ouvrait entre le faubourg du pont du las et castigneau. sa longueur ne dépasse pas 7 kilomètres, mais ses affluents, jadis d’une certaine importance, ont largement étendu la superficie de son bassin. c’étaient, sur la rive gauche, un long torrent qui, entre le faron) et le mont combe, lui amenait les eaux de la vieille valette et de la ripelle et dont le lit, aujourd’hui presque complètement à sec, est meublé de cailloux roulés, témoignages d’un service plus actif au cours des siècles écoulés, et plus loin les petits torrents des pentes du faron) et la source saint-antoine. le long de la rive droite, on rencontre le torrent de saint-pierre, celui plus important des p...


20. ❂ Balades historiques Origines de Toulon par Rémy Vidal

...ours, et, si de l'ensemble de tous ces faits, pour ainsi dire matériels, il n'en sort pas un peu de lumière, nous aurons au moins le mérite d'avoir fait tous nos efforts pour trouver la vérité. d'après strabon, il est certain que 600 ans avant j.-c, les saliens habitaient la côte de marseille, jusqu'à l'embouchure du var, comme un antique patrimoine (1). tite-live, contemporain de strabon, confirme cette donnée (2), et le langage de pline répond à celui de tite-live quand il désigne les salluviens, les oxibiens et les décéates comme les ligures les plus célèbres de ce côté des alpes. walckenaer, rapprochant les textes de strabon et de pomponius mela, nous dit qu'il existait sur les côtes de provence un lieu nommé louerion ou laurion et qu'il faut placer cette ville dans les environs de toulon, en un lieu nommé lauron entre les montagnes de faron et de caoumi.(3) m. le dr g. lambert a trouvé l'emplacement de l'antique laurion, un peu à l'ouest du revest, au quartier du lauron, sur le flanc de caoumi, mais « le sol celtique a disparu sous une épaisse couche de terre arable descendue, par suite du déboisement de la montagne, des pentes rapides de caoumi aujourd'hui arides et dénudées » (4). les habitants de la tribu du revest, comme leurs voisins des tribus de tourris et d'ollioules, descendaient au bord de la mer pour échanger leurs produits et chercher leur nourriture, car nous avons la preuve que ces peuplades primitives faisaient une grande consommation de coquillages, que la mer, dans ces temps reculés, comme aujourd'hui, produisait avec abondance. a trois kilomètres de distance, à l'est du village actuel du revest, on voit sur la crête d'un contrefort du coudon, taillé à pic, les ruines de l'ancienne tourris (vieille ...