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Page 6 - 10 sur un total de 38 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. ☥ Cultes et religions Paroisse et Pénitents au Revest-les-Eaux

...quo;autre côté de la montagne, dans la zone d’influence de toulon, signale probablement un attachement à la région toulonnaise 9. ce n’est qu’en 1681 que la communauté et, encore une fois, la confrérie de notre-seigneur qui a collecté les aumônes, engagent le prix-fait pour le tabernacle et pour le cadre de la toile de pierre le roy. cette fois le seigneur est absent, et le contrat est passé chez le vicaire. on s’adresse à andré peillon, bien connu comme sculpteur à toulon. il fournit un dessin préparatoire partagé en deux projets afin de laisser le choix à ses clients. ceux-ci choisissent un projet, qu’il vont garder afin de le confronter à l’œuvre finale, et promettent 225 livres pour l’ouvrage qui doit être prêt pour les fêtes de noël. en outre, la communauté s’engage à assumer le transport depuis toulon. la sculpture est donc plus chère que la peinture. l’œuvre ayant disparu, seul le prix-fait permet de se faire une idée de ce tabernacle. fait de noyer, c’était un petit retable à colonnettes de neuf pans et demi de haut sur neuf de large (2,30 m x 2,15 m), orné de deux niches flanquées chacune de deux colonnes feuillagées, dont le tiers supérieur était garni de feuilles de laurier. un christ d’ascension surmontait l’édicule, et un ecce homo ornait la porte du tabernacle. les statuettes de saint pierre et de saint paul garnissaient les niches. les petits bustes du salvator mundi et de la vierge surmontaient les niches. andré peillon n’est donc pas un inconnu (10) . originaire de grasse, il est à toulon au début de 1663 et s’engage alors à travailler pour trois mois auprès du sculpteur jean caravaque pour les confessiona...


7. ☥ Cultes et religions La Chartreuse de Montrieux et Le Revest-les-Eaux

...héologie du diocèse de fréjus et toulon que nous devons d'avoir pu cerner avec précision le domaine de la chartreuse aux abords du revest. dans une carte du cartulaire de montrieux, ses limites suivaient une ligne qui, partant de la tête de morières, commune de solliès-toucas, longeait les hauteurs occidentales de belgentier, traversait le gapeau à pachoquin, enveloppait le plateau de planeselve, pour de là redescendre vers le gapeau par baumarand, passait au midi du quartier de saint-lazare, englobait le petit-agnis, se dirigeait à travers le territoire de signes vers pey chrestian, suivait les crêtes basaltiques de la coutillade, la piosine, dans la commune d'évenos, contournait la cuvette du broussan, franchissait le col de garde, en avant du mont-caume et rejoignait son point de départ par le grand cap dans ce vaste territoire, les moines avaient aménagé des chemins pour le transport des récoltes et pouvaient aussi surveiller les diverses cultures que leurs fermiers y pratiquaient. cet important territoire était le fait de 209 donations ou achats. ces achats ou donations ne se firent pas toujours sans difficultés entre les communes qui commençaient à s'organiser et les héritiers des donateurs qui ne voyaient jamais d'un bon oeil ces terres leur échapper. la première note rencontrée dans un cartulaire de la chartreuse et qui cite le revest, remonte à l'année 1215. elle traite d'un échange entre montrieux et hugues de solliers et ses frères, des droits que possèdait aicard, puis torna jusqu'à besson et le revest. on doit, semble-t-il, compter ces trois localités comme entourant les terres échangées et non les constituant (f° 53 - verso). en échange, la chartreuse leur cède tout l'affar qu'elle possède sur le terr...


8. ♊ Un musée virtuel La Dardenne

...rie défectueuses, hors d'usage et inutiles", les arsenaux désignés furent ceux de toulon et de rochefort, et les "moulins" où devait se faire la préparation des flans , et éventuellement la frappe des monnaies, furent installés à gond, près de l'arsenal de rochefort et à dardennes, à 250 mètres du château, dans ce qui était à l'époque le martinet à poudre de val d'ardène (voir l'ouvrage de m. trofimoff : le revest-les-eaux, tourris et val d'ardène). la responsabilité de l'émission fut confiée aux officiers des hôtels monétaires les plus proches du lieu où était fournie la matière première et préparés les flans. les ateliers désignés furent ceux d'aix-en-provence, de montpellier et de 1a rochelle. il avait été prévu également de faire la monnaie par les ateliers de perpignan, nantes et bordeaux, mais il ne fut pas donné suite à ce projet. la fabrication commença en janvier 1710 et dura jusqu'au 30 avril 1712. compte-tenu des moyens de transport de l'époque , il était difficile et onéreux de véhiculer une matière première brute se présentant sous la forme de lourdes pièces métalliques (canons ...) sur de longues distances. la route de toulon à aix était longue, et loin d'être commode. c'est pour cette raison qu'il fut décidé de préparer les flans à proximité des arsenaux fournissant le métal. il était ensuite plus facile de faire transporter les sacs contenant ces derniers par des voituriers jusqu'à l'hôtel des monnaies pour la frappe. nous avons retrouvé également dans des documents d'archives le nom du voiturier chargé d'effectuer le transport des flans de dardennes à aix. il s'agit d'un certain hermitte qu'il serait intéressant de situer exactement dans une généalogie locale. nous avons retrouvé également un document intéressant relatif au transport d'une presse de balancier de toulon à aix :-"j'ây receu de mr dupignet, conseiller du roy, directeur et trésorier de la monnoye...


9. ⌘ Le château de Dardennes La bastide de Dardennes

...fièrent en 1648. françois de thomas était alors seigneur de la bastide. dans la façade de l’aile ouest du château des portes permettent d’accéder aux anciennes écuries dont le sol est grossièrement caladé. nous voilà devant la façade nord de la demeure. un beau portique donne sur une cour n°2 intérieure au centre de laquelle s’élève un imposant platane. jadis sous le porche précédant cette cour, une porte s’ouvrait sur un escalier qui permettait d’accéder au premier étage du château, rejoignant un long couloir occupant l’aile nord sur toute sa longueur, reliant l’aile ouest à l’aile est de la demeure. cet escalier fut supprimé après 1795. À droite de cette cour n°2, deux portes pratiquées dans l’aile ouest communiquent, elles aussi, avec les écuries. sur le seuil de l’une des portes, gravée dans la marche la date 1644. dans l’angle sud-ouest de la cour une dalle récente en béton. depuis la terrasse nord transportons-nous à la terrasse méridionale. pour accéder à la cour n°1, nous devons gravir une quinzaine de marches. nous voici devant la façade sud du château. une belle porte en bois, ceinte de pierres taillées, constitue l’entrée principale de l’édifice. franchissons le seuil du rez- de-chaussée. une vaste salle formant vestibule est limitée au nord par un mur dont les fenêtres ouvrent sur la cour intérieure n°2. À droite, adossée contre le mur de la tour est, il existait une ouverture dans laquelle un escalier accédait à l’entresol. cette excavation n’existe plus, elle a été comblée au ras du plancher. nous ne saurons jamais ce que recelait cette partie de l’entresol de la bâtisse. ce chaînon manquant donnera libre cours à notre imagination. il semble probable qu’une liaison souterraine reliait les ailes est et ouest. ces modifications ont été réalisées après 1795 c’est-à-dire au cours du xixe siècle. il est fort dommage que ...


10. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

...carré parfait, la base de ce repaire est de 8,10 mètres de côté et bâtie à même le rocher : sa hauteur est de 12 mètres et l'épaisseur de ses murs est de 2 mètres. sa construction est faite de moellons calcaires conchyliens de moyen et petit appareil, posés par bandes régulières. composée d'un magasin voûté, d'un premier étage et d'une plate-forme, elle subit, en 1865, différentes transformations nécessitées par la pose d'une horloge sur la plate-forme. ces travaux amenèrent la municipalité de l'époque à ouvrir une porte sur la façade est, et la destruction presque complète de la voûte du magasin, pour laisser descendre les poids de l'horloge. on découvrit un important dépôt d'armes, composé de flèches d'arcs, de fers de lances et de nombreux boucliers ronds. très sûr et très bien gardé, ce magasin était le « coffre-fort » des habitants, qui y mettaient à l'abri les produits métalliques et autres avant de les vendre ou de pouvoir les transporter jusqu'à la tour du rega à sanary. de là, ils étaient acheminés par barques sur les lieux où ils étaient transformés. litiges entre toulon et le revest dès le 13ème siècle, le revest est l'enjeu des aspirations de geoffroy iv, seigneur de toulon, et de guillaume, seigneur d'ollioules. geoffroy l'emporte après le verdict rendu par monseigneur g. rostang, évêque de toulon. dès cette époque, le revest et d'autres quartiers limitrophes font partie du territoire de toulon. morte en 1261, sibille, dernière descendante des seigneurs de toulon, donna toulon à charles 1er qui la fit passer dans le domaine comtal. elle devint chef-lieu d'un baillage dont le revest faisait partie tout en étant la propriété des chartreux de montrieux, à qui sibille en avait fait don par testament, y compris « la seigneurie, ainsi que tous les droits qu'elle peut avoir ou qu'elle a sur ce château et seigneurie ». beaucoup plus important qu'il n'apparaît aujou...