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6. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

.... » pendant la ligue, en 1585, le seigneur du revest était sous les ordres du seigneur de vins, hubert de garde. en 1592, la tour du revest vit les forces du capitaine belloc la menacer ; elle fut sérieusement défendue et les assiégés obligèrent les assaillants à se retirer. un autre groupe d'ennemis, sous le commandement du duc d'eperon, mettait le siège devant le château de val d'ardène. le château du roi rené séjour d'été et rendez-vous de chasse du roi rené, le château du revest est flanqué deux tours en poivrière reposant sur des culs de pierre, ornés d'éperviers sculptés, en façade sud. une troisième tour cylindrique arrondit l'angle nord-est. c'est en 1472 que le roi rené vendit, sans clause de retour ni aucune réserve de rachat, la seigneurie du revest à m. d'arcussia de palières, seigneur d'esparron, pour la somme de 100 écus soleil d'or. en 1866, une partie du château fut transformée en moulin à huile et tous les accessoires que la fabrication du produit exigeait y furent installés. le 26 mars 1666, le sieur gubert prêtait à la commune la somme de 522 lires pour participer au rachat de balthazar vidal, détenu comme esclave dans tunis. c'est le 9 juillet 1687 que l'intendant de provence ordonnait aux consuls du revest de régler rapidement aux sieurs martinenq joseph, visiteur des gabelles de provence, et jean martinenq, bourgeois de toulon, les sommes que leur devait la communauté. par la même ordonnance, les consuls étaient autorisés à se pourvoir contre les « délibérants » qui ont, par leur mauvaise administration, donné lieu à la condamnation de la communauté. pendant le siège de toulon, en 1707, les troupes du prince eugène de savoie se montrèrent si odieuses envers les habitants du revest que les consuls et la population demandèrent au prince de les défendre et consentirent à assurer l'ordinaire des militaires. le prince logeait au château de la val-d'ardène. les désirs de la popul...


7. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Les forges

... comprendre avec quelle facilité cette erreur a pu être commise. la reconstruction des installations semble avoir traîné en longueur, et la décision prise en 1690 d'y fabriquer « de grosses ancres » ne semble pas avoir été effective avant 1721-1722. une entrave supplémentaire à la bonne marche de rétablissement sursit : la peste. toulon et l'arrière-pays eurent, on le sait, à souffrir durement de l'épidémie. la quarantaine imposée par les autorités avait conduit au val d'ardène le sieur le fébure, de chassenay. celui-ci arriva dans la journée du 8 avril 1721. déjà atteint par le mal, il mourut le soir même. sur ordre de m. hocquart, un inventaire des effets et biens de m. le fébure fut effectué par le sieur renou, dont le frère qui se trouvait alors à nevers était l'associé du disparu. dans l'attente du retour de son frère (qui devait passer par paris pour faire de nouvelles propositions pour l'exploitation de cette entreprise et sur celle de la fabrication des ancres qu'il assurait être en état de remplir à la satisfaction du conseil), le sieur renou fut chargé par m. hocquart « du travail ordinaire des forges ». en 1724, « la fabrique aux ancres » est en pleine activité. le directeur, m. beauvais-thomas, aide-major de la marine, s'emploie avec beaucoup d'intelligence à développer l'affaire. aussitôt, des procès surgissent, on sollicite l'intervention de mgr le marquis de la vrillère. on plaidera une année durant. cet atelier commence à travailler pour la marine avec régularité vers 1746. ordonnée par un édit du 29 octobre 1709, la frappe de la « dardenne » allait éviter les inquiétants désordres que le mauvais état des finances du pays n'aurait pas manqué de faire naître. dès 1709, les troupes s'impatientaient du retard apporté au règlement des soldes. c'est donc faute de numéraire que le roi prescrit la frappe de ces « pièces de six deniers ou deux liards, dites d'ardenne ou dardenne, du...


8. 🏭 Industrie La verrerie de Tourris

...de tourris. il sait qu’il va falloir reprendre le mont caire et le pas de la masque. sur le blog chemin2traverses de michel augier (4 mai 2008) nous vous présentons ce jour une association surprenante comme on en trouve lors des recherches.ce fut le cas lors des investigations conduites pour le site industriel de la verrerie de tourris. cet établissement, qui prenait sa matière première sur le site voisin des actuelles carrières, la carrière testoulet, a cessé son activité et demeure sur les limites de notre zone d'intervention. seuls des résidus de transformation et autres tessons jonchent encore les alentours et justifient de l'activité industrielle déployée jusqu'au milieu du siècle dernier.mais revenons à nos croisements de données.la confection de verres, de verres industriels ou domestiques, passe par la confection de récipients destinés à la fabrication du vin maison. ainsi sont réalisées les fragiles bonbonnes que l'on va s'empresser ensuite de protéger par de la paille et d'un suremballage en paille tressée, en lattes ou en plastique selon les époques. figurez-vous que certaines de ces bobonnes, non protégées car plus résistantes, se nomment tourris. une petite annonce en propose même depuis mi-avril pour la plus récente. dommage pour nous et pour alimenter notre musée, elles sont au québec ! problèmes forestiers en provence au xviiie siècle : http://provence-historique.mmsh.univ-aix.fr/pdf/ph-1966-16-063_02.pdf les verreries, comme les autres fabriques, sont astreintes à autorisation préalable pour couper les arbres. et le verrier, grand consommateur de bois pour le feu, est considéré à l'époque comme le grand ennemi des forêts. ce métier est souvent exercé par des g...


9. 🏭 Industrie Quel devenir pour Les Forges ?

...s, qui descend des de thomas de dardennes, l'intendant de la ... , monsieur de maurepas, ministre, s'occupent de cette affaire et établissent mémoires sur mémoires. la querelle du vin c'est toujours la querelle des eaux qui est soulevée. m. de beauvais-thomas demande aux consuls de toulon d'élever les eaux du canal de "quatre pouces au-dessus de ... d'eau, au lieu qu'il avait droit auparavant de prendre des arrosages ... fond du canal et il permit aux consuls pour faire cette réparation de prendre des pierres de taille et du sable dans ses carrières sans en rien exiger". on se mit d'accord, puis chacune des parties contesta avoir accepté. il y eut d'autres querelles mêlées à cette affaire. la "querelle du vin" semble en avoir terminé et avoir permis un accord ... may 1725, comme en témoigne une lettre de m. mehlon, intendant à m. de maurepas, ministre. le succès de cette fabrique fut attaché aux découvertes de m. théodore lefe ... qui trouva le secret de la fabrication des ancres avec plusieurs ... de fer battues ensemble. l'ancre battue ainsi ne se casse pas. de 1709 à 1712, signalons que fut frappée ici la monnaie de six deniers de france, dite "la dardenne". "l'usine de dardennes", comme on disait volontiers au xviiie siècle, comprenait une affinerie, un grand martinet à deux foyers, un petit martinet à un seul feu; seize petites forges à bras, quatre petites forges de chantier également à bras. une affaire qui tournait bien lorsque les forges marchaient normalement, elles employaient trente ouvriers. en pleine activité, "l'usine" pouvait fournir de 1200 à 1500 quintaux de fer, destinés en partie à la marine royale, en partie aux industries privées. a lui seul, le grand martinet pouvait fournir 200 quintaux d'ancres, d'essieux de charrettes, de plaques pour la papeterie. le combustible utilisé, principalement du charbon de bois, provenait surtout des forêts avoisinant toulon. une certaine quantité de houille, de 4 à 5...


10. 🏭 Industrie Forges et forgerons de Dardennes

...omas seigneur de dardennes détache du fief en 1671 une parcelle de terre qu’il vend à la ville de toulon. cette acquisition s’opère dans le cadre plus général de la mainmise de la grande cité sur les ressources hydrauliques de son petit voisin : les sources du revest et les activités industrielles qui y sont associées, comme les moulins à farine ou à huile de la vallée qui font partie de la transaction. la communauté de toulon construit là un martinet à poudre ou moulin à poudre, que l’on connaîtra encore sous le nom de poudrière de dardennes. 1671, c’est l’année où colbert demande à vauban de transformer le port militaire de toulon et d’agrandir l’arsenal. a dardennes, on implantera une poudrière à l’usage de la marine royale. il s’agira de broyage de salpêtre et de fabrication de la poudre. les travaux s’étalent de 1671 à 1673. l’explosion accidentelle de la poudrière le 17 octobre 1684 remet en question la destination de l’établissement. cadastre napoléonien - légendes d'igor fédoroff selon le livre avr seigneurs de dardennes du moyen-age à la révolution la fabrique aux ancres de 1690 après plus de 5 années d’expertises et d’études, il est décidé que ce sont de grosses ancres que l’on construira à dardennes. les forges de dardennes prennent du temps pour atteindre leur vitesse de croisière. l’activité navale militaire connaît une période de déclin en méditerranée pendant un demi-siècle. le port de toulon ne retrouvera qu’à partir de 1738 son statut de port militaire d’envergure. on parle alors de fabrique aux ancres, avec un ...