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6. ☥ Cultes et religions Paroisse et Pénitents au Revest-les-Eaux

...isseire vitaliset moy notaire royal soubsigné jean hermitte. » 25 mars 1677obligation des consuls, de charles de noble et du vicaire pour le paiement de ce qui est encore dû à pierre ripert et jean fauchier, maçons de toulon, pour les tra - vaux de la nouvelles église et des « augmentations au moyen de deux chapelles ». ils ont emprunté 315 livres à melchior guibert, aussi maçon de toulon.a.d. var, 3 e 54/39 (m e jean hermitte), f° 2001. 27 mai 1681prix-fait du tabernacle par andré peillon.a.d. var, 3 e 54/39 (m e jean hermitte), f° 3058-3059.« l’an mil six cens quatre-vingt-un et le vingt septiesme du mois de may, après midy, par devant moy notaire royal et tesmoins, estably en personne andré peillon, sculpteur, habitant en la ville de toulon, lequel de son gré a promis et de ce il s’oblige à honnoré gautier, tisseur de toille, et ciprien artigue, en quallité de marguilliers modernes de la luminaire nostre seigneur érigée en l’église parrochialle du présent lieu du revest, et du voulloir et consentement tant de mess. andré artigue, prêtre et vicaire perpétuel, que de jacques teisseire, l’un des consuls, pour et au nom de la communauté, dudit lieu, sy présant et stipulant, de faire bien et deuement un taber - nacle bois noyer, propre et bien préparé pour lad. église qui soit de neuf pans et demy d’auteur, comprins la figure du plus haut qui sera un jésus en assonstion, et neuf de large, orné de quatre collonnes à torsse à deux thiers feuillées et l’autre thiers ornées de feuilles de laurier à chascun costé, à la porte duquel led. peillon fera ecce homme en bosse et aux deux costés st pierre et st paul, pareillement en bosse, placés dans...


7. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

.... pour finir et achever ces ouvrages, on sommera le lieutenant du bailli d'écrire aux syndics du revest qu'ils auront à fournir cinquante pieux pour « la finition de la palissade » (1443). en 1447, les choses ne sont pas encore arrangées définitivement entre les deux communautés et, au conseil de ville de toulon, on reparle du litige entre toulon et le revest. lors du recensement général des lieux, villages et châteaux inhabités, ordonné en 1540, en vertu d'un arrêté du parlement de provence, le sieur louis burle, membre de la cour des comptes, désigné pour visiter notre région, présenta le rapport suivant à la cour : « le jeudi vingt-deuxième jour du mois de juillet de l’an 1540, je me suis fait transporter au lieu de tourris, auquel lieu je n'y ai trouvé personne, preuve qu'il n'est pas habité, et me suis retiré au revest qui proche dudit lieu et la, dans la maison d'un particulier dudit lieu, ai fait appeler hugues vidal, syndic dudit revest ; jehan dartigue, hugues hermitte et pierre vidal, lesquels, interrogés par moi pour savoir dans quel lieu se trouvait le château de tourris et quelles maisons y a et quelles charges ont, ont dit que le terroir de tourris est possédé tant par les hommes du revest que par ceux de la valette ; qu'au dit lieu, il n'y a ni maisons ni châteaux, car tout est détruit ; qu'il y a des bastidons pour la remise des hommes quand ils vont travailler. quant aux charges, ils payent la basque (droit sur les fruits et légumes) au seigneur de tourris et un onzième sur les blés et autres, et une dîme d'un treizième au chapitre de toulon ; ils n'ont pas d'autres charges. quant aux commodités, ils ont dit que le terroir est bon, qu'il y a des pasturages, auxquels les hommes de revest, de la valette, de la garde et de toulon ont droit. quant au revest, ont dit qu'il y a 46 maisons habitées et qu'ils font à leur seigneur semblables tasques et censés qu'au seigneur de tourris pour le terroir dudit tourris ...


8. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

...📖 le revest de p. trofimoff la confrérie de la miséricorde source : le revest, tourris, val d'ardène, texte de pierre trofimoff en 1963 À l'instar de ce qui existait dans des villes et des villages plus importants, naquit une société de charité pour soutenir les désespérés, soigner les malades, aider les pauvres. l'action de cette association, dite « confrérie de la miséricorde », débuta au 17e siècle au revest. cette œuvre était en étroite liaison avec son homonyme de la grande cité voisine. l'apostolat de ces deux communautés fut parfaitement profitable aux malheureux. il suffit de compulser, aux archives communales, le dossier de « l'hôpital de la miséricorde » pour constater la générosité de tous les donateurs. dans une lettre du 29 novembre 1742, m. le curé du revest, l'abbé teissère, écrivait à m. artigue, secrétaire de la confrérie de la miséricorde à toulon, et lui accusait réception de 34 livres 16 sols, en le remerciant de la prochaine fourniture de 12 cannes de drap. en feuilletant les pages qui relatent l'histoire de cette fondation, nous constatons les besoins des « pauvres honteux » : médicaments, habits, nourriture. nous pouvons aussi lire les noms des différents recteurs et trésoriers du bureau de la confrérie. penchée sur les douleurs quotidiennes, la confrérie de la miséricorde sut se montrer efficace pendant la terrible épidémie de 1720. la peste sévissait avec, à son actif, les plus désastreuses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 j...


9. 🚒 Incendies Le terrible incendie d’août 1906 au mont Caume

...sition à l’unanimité et décide d’ouvrir des listes de souscription. inauguration du monument élevé sur la place du mt. caume à la mémoire des soldats morts dans l’incendie du mont-caume du 23 août 1906l’an 1907, le 25 août à deux heures du soir, a eu lieu au revest l’inauguration du monument élevé par souscriptions publiques, à la mémoire des soldats du 111ème régiment de ligne rougon, davayat et gabriel, mort dans l’incendie du mt. caume du 23 août 1906. inauguration du monument aux morts en 1907 assistaient à la cérémonie :le conseil municipal du revest, au complet,le comité d’érection composé de m.m. meiffret pierre-marie, président d’honneur, hermitte séverin, conseiller municipal, président, chaix eugène, ouvrier du port, trésorier, artigue antoine, cultivateur, secrétaire ; fillol secrétaire de la mairie, meiffret françois, garde champêtre, isnard cyrille, appariteur.un piquet du 111ème de ligne, sous les ordres du commandant fabre ;m. ferrero, député de la première circonscription de toulon.m. m. charlois, conseiller général et mounin, conseiller d’arrondissement du 4ème canton de toulon. m. segon, maire de la valette et son adjoint.m. champagne, délégué de la municipalité de toulon.m. fabre, délégué de la seyne.m. hermitte, adjoint spécial du broussan, commune d’evenos.les représentants de la presse locale, etc …le cortège formé à 2 heures à la mairie s’est rendu sur la place où s’élève le monument et dans laquelle une foule considérable s’était massée.au milieu du plus pr...


10. 🏭 Industrie Les dix moulins de la vallée de Dardennes

...its de bois pour faire descendre et conduire les grains depuis le sommet de la bâtisse, où ces grains montaient par des poulies jusqu’aux meules où se retiraient les farines. pendant la guerre, il servit d’entrepôts aux archives de la dcan. il reste le moulin dit « du colombier », aujourd’hui englouti dans le barrage lors de sa construction. mais nous savons beaucoup de choses à son sujet grâce à maurice et george sand. les dessins de m. sand nous donnent de nombreux renseignements sur les moulins, les notes de sa mère aussi. contrairement à ce que l’on pense généralement, ce n’était pas un moulin à farine, mais un moulin à huile. sa construction fut autorisée par délibération de la commune de toulon le 15 septembre 1792. cette autorisation fut accordée à antoine hubac, barthélémy artigues, vincent et blaise artigues, tous beaux-frères, habitant le terroir de toulon. le terrain, où allait être construit le moulin, appartenait à louis artigues et était attenant au canal qui alimentait les moulins à farine de cette commune, distante d’un quart de lieue des moulins de dardennes. il ne pouvait donc pas nuire au bon fonctionnement des moulins à farine, car les moulins à huile ne travaillaient qu’une partie de l’année. l’autorisation était accordée sous certaines conditions quant à l’utilisation des eaux bourbeuses après installation des « coulisses écluses ». toute ces bâtisses chargées du travail des hommes, chacun d’eux portait plusieurs fois par jour des sacs de farine pesant 80 kilos, sont encore debout, défiant le temps, certaines ont été au milieu du 1 9ème siècle transform&e...