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Vous recherchiez le terme suivant :carrière


Page 11 - 15 sur un total de 23 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


11. 🏭 Industrie Quel devenir pour Les Forges ?

...de grosses ancres". mais ce n'est qu'après 1720-1722 qu'il commença à produire à une cadence soutenue. car la peste était passée par là et le sieur le ... de chassenay, arrivé dans la journée du 8 avril 1721, déjà malade, mourut le soir même. il venait des forges et ateliers du revest. en 1724, cette exploitation était en pleine activité. des différends surgirent cependant entre les consuls de toulon et m. beauvais-thomas, qui descend des de thomas de dardennes, l'intendant de la ... , monsieur de maurepas, ministre, s'occupent de cette affaire et établissent mémoires sur mémoires. la querelle du vin c'est toujours la querelle des eaux qui est soulevée. m. de beauvais-thomas demande aux consuls de toulon d'élever les eaux du canal de "quatre pouces au-dessus de ... d'eau, au lieu qu'il avait droit auparavant de prendre des arrosages ... fond du canal et il permit aux consuls pour faire cette réparation de prendre des pierres de taille et du sable dans ses carrières sans en rien exiger". on se mit d'accord, puis chacune des parties contesta avoir accepté. il y eut d'autres querelles mêlées à cette affaire. la "querelle du vin" semble en avoir terminé et avoir permis un accord ... may 1725, comme en témoigne une lettre de m. mehlon, intendant à m. de maurepas, ministre. le succès de cette fabrique fut attaché aux découvertes de m. théodore lefe ... qui trouva le secret de la fabrication des ancres avec plusieurs ... de fer battues ensemble. l'ancre battue ainsi ne se casse pas. de 1709 à 1712, signalons que fut frappée ici la monnaie de six deniers de france, dite "la dardenne". "l'usine de dardennes", comme on disait volontiers au xviiie siècle, comprenait une affinerie, un grand martinet à deux foyers, un petit martinet à un seul feu; seize petites forges à bras, quatre petites forges de chantier également à bras. une affaire qui tournait bien lorsque les forges marchaient normalement, elles employaient trente ouvrie...


12. 🚶 Balader au Revest Les grottes de sable de Tourris

...🚶 balader au revest les grottes de sable de tourris parcours à travers bois jalonné de traces d'habitations, puits, carrières de pierre et de sable, vestiges d'exploitation, à proximité du hameau abandonné des olivières nota : cette balade est également décrite dans notre album photo en ligne : http://photos.revestou.fr/index.php?/category/33et a fait l'objet d'une fiche sur le site visorando : https://www.visorando.com/randonnee-/455737 la fiche, l'itinéraire et le descriptif ont été réalisés par notre guide bénévole marie-hélène taillard. le 15 janvier 2017, notre troupe de 32 personnes (30 adultes et 2 enfants) s'est lancée à la découverte des grottes de sable de tourris. moins de revestois que d'habitude, moins bien informés depuis la disparition de notre office de tourisme. l'annonce efficace et réitérée dans var-matin a quand même attiré des visiteurs de toulon, la seyne, la valette et le castellet, malgré le froid vif de ce dimanche ensoleillé. une richesse naturelle exploitée par l'industrie locale du verre le grand bâtiment en ruine de l'autre côté de la route, face au à l'entrée du terrain militaire était une verrerie. elle exploitait le sable des carrières toutes proches et le bois de la forêt alentours. voir notre article là : http://revestou.fr/pages/053-industrie-la-verrerie-de-tourris-fr.php description de la randonnée (d/a)départ de la zone de parking à l'entrée du terrain militaire, auprès de l'ancienne auberge baudissaire. prendre le petit chemin qui part de la bâtisse, bordé, de murs et de très vieux mûriers (élevage de vers à soie) (1)au goudron (fabrication d'huile de cade et d'une poix à base de résine de pin pour le calfatage des bateaux), traverser la route, prendre le chemin vers la droite, parallèle à celle-ci au bout de 200m, prendre à droite une petite draille poursuivre dans la même direction jusqu'à retrouver une piste, puis sur la droite la carr...


13. 🚌 Autobus, cars & Co Travaux étudiés dans la vallée de Dardennes en 1884

...épense de 100,000 fr. qui sera à la charge des communes traversées, le revest, toulon, la valette et la garde. je vous prie de bien vouloir statuer sur cet avant-projet. chemin de grande communication n°46 de toulon à la garde reconstruction d’un pont sur la rivière de dardennes projet le chemin de grande communication n°46, entre toulon et le revest, traverse la rivière de dardennes au droit de 2e moulin sur un pont de 8 mètres d’ouverture. ce pont de 3 m 50 de largeur entre parapets, forme avec le chemin du côté de toulon un angle de 120 degrés, et du côté du revest un angle opposé de 140 degrés. cette disposition vicieuse présente un danger très sérieux pour la circulation qui est très importante en ce point, attendu qu’un service omnibus dessert toutes les heures les quartiers des moulins et de dardennes et qu’il y passe des voitures de plusieurs colliers employées pour l’exportation des carrières du revest et des usines de la vallée de dardennes. ce chemin est en outre la ligne directe entre toulon et le revest, depuis la construction de l’annexe de la ligne de grande communication n°46 qui aboutit au revest. le pont du 2e moulin a donné lieu à plusieurs accidents et le 27 mars 1883, une charrette à deux colliers a encore versé dans la rivière, entraînant les chevaux avec elle. a cette situation déplorable s’ajoute aujourd’hui la nécessité de faire des réparations urgentes au pont dont la voûte ne présente plus la solidité désirable et dont les parapets doivent être reconstruits presque en entier. pour remédier à cet état de choses, mm. les ingénieurs ont dressé un projet de reconstruction du pont que j’aurai l’honneur de vous soumettre. la dépense s’élè...


14. 🏡 Le hameau des Olivières Tourris et les Olivières en 1850

...illeurs, on écorchait la rusque (l'écorce) des chênes verts au moment de la sève montante (entre mars et mai). la rusque était vendue dans les tanneries du gapeau pour la confection de l'indispensable tanin. le bois restant après cette opération allait au chauffage des fours de la verrerie. la verrerie de m. de gasquethistoriquement, la noblesse se réservait le métier de verrier afin de concurrencer les verres de bohème. est-ce pour cela que m. de gasquet avait sa verrerie ? l'immense et haute bâtisse (en ruine) qui est à gauche de l'entrée de l'actuel terrain militaire est cette ancienne verrerie. le sable était extrait de sablières situées sur le versant nord de l'éperon des bouisses. ce sable, mélangé à la chaux fabriquée dans les innombrables fours, permettait de faire le verre de tourris. ce sont des jeunes gens qui étaient employés comme souffleurs de verre et qui fabriquaient essentiellement des bonbonnes et des bouteilles. les carrières de marbre blanc et de pierres ces carrières sont au nord des olivières. elles faisaient travailler de nombreux habitants du secteur. elles se trouvaient sur une parcelle de 500 hectares qui appartenait aussi à m. de gasquet. la chassela chasse dans le coin, c'était surtout la chasse aux grives, aux pigeons ramiers, aux lapins, aux lièvres et aux sangliers. le gibier était partagé et consommé immédiatement après la chasse. les joioil y avait le travail quotidien très rude et parfois la fête. on dansait au château, l'allée des mûriers recevait le soir la visite des renards qui venaient manger les mûres mais aussi servait pour les concours de boules et les courses à pied. c'est là que l'histoire du pays place l'anecdote du coureur aixois renommé et vaincu par un berger de tourris. le coureur d'aix avait une culotte avec des grelots, chaque _ grelot représentant une_victoire. lorsqu'il fut battu par le berger, il lui donna sa culotte en lui disant ...


15. 🏡 Le hameau des Olivières L'artillerie française bombarda les Olivières

...direction des olivières. cette étude est réalisée par une commission qui se réunit le 9 fevrier 1925 ; elle est composée de m. paquette (chef du bataillon et président de cette commission), de m. pantalacci (chef d'escadron) et de m. le gros (chef d'escadron du 38"'" r.a.c.). elle arrête son choix pour ce champ de tir d'une longueur maximale de 5500 mètres et d'une largeur de 1500 mètres, dans un vallonnement fortement encaissé dans toute son étendue, limité au nord par les pentes du grand cap, au sud par les pentes abruptes du coudon, des bouisses et du mont combe. les cibles seront près du village des olivières sur un terrain rocailleux impropre à toute culture et où un incendie a détruit quelque temps auparavant des pins isolés: "on trouve encore quelques pinèdes à la limite sud du champ de tir et quelques vignobles et olivettes vers la limite est de la zone. les seules exploitations sont constituées par quelques coupes de bois et pur une petite carrière appartenant au principal propriétaire, monsieur de gasquet." l'armée y effectuera des tirs destinés à l'instruction technique de ses cadres, instruction abandonnée depuis 1914. la commission se veut rassurante en expliquant : - comment les tirs vont éviter la ligne de transport d'énergie électrique qui traverse la plaine des selves, - comment les tirs seront suffisamment excentriques au hameau des olivières "qui, bien que partiellement en ruine, sert encore de refuge aux bûcherons et carriers", - comment limiter à 4 km la longueur des tirs car le terrain proche du barrage est tout en pente et ne se prête pas à une bonne exécution de ce type de tirs. les artilleurs utiliseraient des canons de 75 de campagne et de 65 de montagne. ces canons emploieraient exclusivement des obus à balle. la commission prévoit d'indemniser m. de gasquet pour l'interruption de travail des carriers et des bûcherons. conférence du 30 avril 1925 elle se tient au ...