Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :lettre


Page 16 - 20 sur un total de 36 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


16. 🎭 La maison des Comoni Chronologie de la Maison des Comoni

...) pour financer en partie la construction de la salle. sept 1988 : une réunion fixe le début des travaux en janvier 1989 le conseil municipal prend un accord de principe pour l’achat de la collection des monnaies d’armand lacroix 27 janvier 1989 : ouverture des plis pour l’adjudication de la salle polyvalente 9 mars 1989 pose de la 1ère pierre de la salle dicours d'armand lacroix lors de la cession de la collection de monnaies mandat municipal : 1989-1995 Élections du 12 mars 1989 : la liste de charles vidal arrive en tête 18 mars : élection du maire et des adjoints alphonse sauvaire obtient les délégations aux projets d’investissement et janine fenassile celles du budget et la culture sept-octobre 1989 : achat par la commune de la collection des monnaies mars-avril 1990 : dénomination de la salle qui devient « maison des comoni » 16 juin 1990 : inauguration de la « maison des comoni » 30 juin : 1er spectacle salle pétrarque : « lettres d’une mère à son fils » marcel maréchal décembre 1990 : bilan sur les 6 premiers mois ; 8 spectacles, 8 expositions, 5 concerts et plus de 8000 spectateurs janvier 1991 : création du conseil d’administration de la maison jc. grosse est chargé d’animer le pôle théâtre, musique, arts plastiques et multi médias et c.demai les autres manifestations. février 1991 : signature d’un contrat de 3 ans avec l’etat, le conseil général et l’association « les 4 saisons du revest » pour l’animation culturelle de la maison des comoni mandat municipal 1995-2001 elections en mars 1995 : la liste de charles vidal gagne les élections mais il meurt en décembre 1995. janine fenassile devient maire. elle demande une programmation tenant compte de tous les publics. j.loup grandchamp gère la partie plus populaire de la programmation a partir de 1995 : les subventions de la commune à l’association « les 4 saisons du revest » diminuent 1997 : ...


17. 🎭 La maison des Comoni La Culture au cœur du projet

... le jeudi 23 avril 2015 parle de jean-claude grosse en ces termes : en 83 jc.grosse est entré au conseil, on a vu débarquer un ovni qui nous a parlé de théâtre comme personne. il bousculait tous les codes établis en terme de théâtre, et réussit à convaincre le conseil municipal de passer du théâtre de commande, que j'assimile à du prêt-à-porter culturel, à un théâtre de création qui embrassait toute la chaîne, de l'écriture de la pièce en passant par la mise en scène, la production et les représentations. il a donc fallu convaincre le conseil municipal qui était hostile à la construction d’une salle de spectacle, ainsi que le village. mais le conseil municipal de l'époque devait se rendre à l'évidence, jean-claude obtenait pour son action culturelle des subventions croisées, département, région, État, drac, ce qui représentait des retombées énormes en terme d'image pour le revest. les gens acceptaient la peinture qui avait déjà acquis ses lettres de noblesse, mais le théâtre n’était pas compris. c’était un projet surdimensionné pour la commune. déjà les spectacles qu’il avait donnés au revest comme clepsydre, marie des brumes… le revest était devenu le pôle culturel de l’agglomération. il jouait au château de dardennes, au pied de la tour, au stade de la colline, dans les oliviers, dans les rues du village. il nous fallait une salle! » jc. grosse explique aussi : « lors du mandat municipal de 83/89 a été évoquée la possibilité de créer une salle polyvalente. c’était la mode à l’époque comme la salle gérard philippe de la garde où on faisait un peu de tout, des expositions mais pas de théâtre ». le festival du revest avait déjà 5 ans. jc. grosse explique les débuts de l’association « les 4 saisons du revest » dans un livre « de l’impasse à la traverse, un parcours artistique vivant, les 20 ans des 4 saisons du revest », publié en 2003 par les cahiers de l’egaré. ...


18. 🎭 La maison des Comoni Ce bon Docteur Godart !

...🎭 la maison des comoni ce bon docteur godart ! ceux qui ont décidé de la construction et de la destination de la maison des comoni, interrogés aujourd’hui, se défendent toujours du fait que la construction n’ait pratiquement rien coûté aux revestois. comme pour s’en défendre encore et ne pas ajouter un reproche de plus à l’encontre de cette salle dont l’objet même, un lieu hautement culturel, divisait tant les élus de l’époque et les villageois. dans sa lettre ouverte du 1er novembre 2004, jc. grosse donne des chiffres sur le coût de l’investissement : « la maison des comoni combien a-t-elle coûté ? 10mfle bâtiment : 7,50mf : dont 5mf de la mairie du revest (3mf de legs du docteur belge godart plus 2mf par vente de 2 terrains communaux. donc rien, à partir des impôts des revestois dont 2,50mf par emprunt auprès du conseil général du var, déjà remboursé.l’équipement : gradins, pont technique, son, lumière, plateau, tapis, rideaux… : 2,50mf dont 2,40mf de la région et de la drac 0,10mf de la mairie du revest » j. fenassile ne contredit pas ces chiffres :« la construction dépendait de la mairie et des subventions obtenues auprès du conseil général et de l’État. l’équipement n’a rien coûté aux revestois. l’État, le conseil général et le conseil régional sont intervenus. les revestois ne peuvent pas me reprocher le coût de l’équipement. et puis j’ai joué le mauvais rôle car j’avais toujours un œil sur les finances. par la suite on a négocié une convention avec le conseil général, le conseil régional et l’État pour le fonctionnement. moi, j’étais là pour faire rentrer nos moyens dans le budget, et la carrière nous rapportait moins. 600.000f tous les ans mais ça n’a pas pesé sur les impôts des revestois. »pour les détails des dépenses d’investissement, les bulletins d’information communale nous donnent quelques repères. le premier devis estimatif des ...


19. ❂ Balades historiques Le Pas-de-la-Masque au Mont-Faron

...e peuvent pas conserver la place car les sardes et les anglais contre-attaquent par saint antoine, les napolitains, les piémontais, les espagnols et les royalistes contre-attaquent par le ravin de val-bourdin. de nombreux républicains essaient de se sauver en sautant des barres rocheuses du faron, beaucoup se tuent ou se blessent : la poype échoue. buonaparte connaît bien la région puisqu’il a habité la valette quelques mois auparavant avec sa mère et ses sœurs lorsqu’il a été chassé de corse après des élections perdues. il sait l’importance du faron, du coudon et du revest : d’ailleurs l’armée républicaine stationnera pendant cette période aux bouisses, au château et à la verrerie de tourris. il sait qu’il va falloir reprendre le mont caire et le pas de la masque. le 7 novembre 1793, carteaux doit obéir à une lettre ministérielle qui lui enlève le commandement. il est remplacé par le général doppet qui ne vaut pas mieux. puis le comité de salut public attribue le commandement à jean françois coquille du gommier, dit « dugommier »: ce choix est excellent. lettre de buonaparte (source : histoire de toulon, par paul maurel) lors d’une contre-offensive, dugommier, à la tête de 3 bataillons, reprend la batterie de la convention et ses hommes capturent le général anglais o’harra. buonaparte s’est battu avec ses fantassins : il est promu colonel. une pluie torrentielle tombe dans la nuit du 17 décembre 1793. buonaparte conseille à dugommier l’attaque du fort mulgrave. dugommier décide de donner l’assaut. une poignée de grenadiers parvient à se glisser dans le fort : après un corps à corps, les grenadiers sont repouss&eac...


20. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

...📖 le revest de p. trofimoff la confrérie de la miséricorde source : le revest, tourris, val d'ardène, texte de pierre trofimoff en 1963 À l'instar de ce qui existait dans des villes et des villages plus importants, naquit une société de charité pour soutenir les désespérés, soigner les malades, aider les pauvres. l'action de cette association, dite « confrérie de la miséricorde », débuta au 17e siècle au revest. cette œuvre était en étroite liaison avec son homonyme de la grande cité voisine. l'apostolat de ces deux communautés fut parfaitement profitable aux malheureux. il suffit de compulser, aux archives communales, le dossier de « l'hôpital de la miséricorde » pour constater la générosité de tous les donateurs. dans une lettre du 29 novembre 1742, m. le curé du revest, l'abbé teissère, écrivait à m. artigue, secrétaire de la confrérie de la miséricorde à toulon, et lui accusait réception de 34 livres 16 sols, en le remerciant de la prochaine fourniture de 12 cannes de drap. en feuilletant les pages qui relatent l'histoire de cette fondation, nous constatons les besoins des « pauvres honteux » : médicaments, habits, nourriture. nous pouvons aussi lire les noms des différents recteurs et trésoriers du bureau de la confrérie. penchée sur les douleurs quotidiennes, la confrérie de la miséricorde sut se montrer efficace pendant la terrible épidémie de 1720. la peste sévissait avec, à son actif, les plus désastreuses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 j...