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Vous recherchiez le terme suivant :mines


Page 11 - 15 sur un total de 19 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


11. 🏭 Industrie La verrerie de Tourris

...🏭 industrie la verrerie de tourris par claude chesnaud article réalisé grâce aux recherches de rené vernet, patricia calmel-kobrin, carole castillazuelo et michel augier en 2013 vincent cordouan - musée de toulon a gauche, la verrerie de tourris. a droite l'ancienne auberge de jean baudissaire (dernier usage du bâtiment vers 1980). sous charles x, d’après le bulletin des lois de la république française, d’après les annales des mines (recueil de mémoires sur l’exploitation des mines – deuxième série – tome 1 – 1827), nous trouvons, le 5 juillet 1826, l’ordonnance du roi qui autorise le sieur tessier d’établir une verrerie à verre blanc, à tourris, dans la commune de la valette. annales des mines – page 341 selon le cadastre napoléonien du 31 mai 1827, la verrerie de tourris est signalée. elle est construite à cheval entre la commune du revest et la commune de la valette. dans « les annales de la société naturelle de toulon » (années 1930-31) n°15, selon le manuscrit laissé par joseph auzende, en page 51, on lit : « on peut arriver à la foux du revest en passant aux olivières, partie de terrain cultivable en vignes, et venant de là passer aux sablières, où l’on trouve des galeries souterraines de sablon que l’on expédie aux fabriques de verreries à gémenos, marseille, etc … ». nous sommes au 19e siècle. passer la souris sur la photopour la voir en plus grand en 1988, danièle foy publie « le verre médiéval et son artisanat en france méditerranéenne » où on lit (page 31) : « avant même d'obtenir l'autorisation de créer son atelier à la valette au q...


12. 🏭 Industrie Forges et forgerons de Dardennes

... employés au gréement et à l’approvisionnement des vaisseaux.• les fourneaux, fosses à couler, autres que ceux nécessaires aux travaux désignés dans l’article précédent seront démolis, et il ne sera réservé au port-la-montagne que les usines et ouvriers reconnus d’indispensable nécessité au travail des mêmes ouvrages.• la forge de dardennes, sise à quelque distance du port-la-montagne, sera affectée à la fabrication de boulets, bombes et obus, et de fers pour l’arsenal de construction : toutes les réparations et augmentations jugées nécessaires à l’activité de cet établissement seront exécutées sans délai, et il y sera envoyé de la fonderie de marseille les ouvriers reconnus nécessaires.• la commission des armes, poudres et exploitation des mines demeure chargée de l’exécution du présent arrêté.signé : fourcroy en 1807, l’usine prend le nom de forges impériales maritimes, sous la direction de joseph vincent (fils de françois, génération 2 des vincent) mais l’approvisionnement en combustible était problématique déjà depuis 1792, la rentabilité n’était plus là. joseph aguillon, n’avait pu obtenir réparation après le pillage de 1793, mais il faut dire qu’il figurait avec sa nombreuse famille sur la liste des émigrés toulonnais. il finit par vendre les forges par acte notarié du 3 décembre 1819 à mm. honnorat, colombeau et cie. il avait 81 ans et mourra au revest en 1824. illustration du martinet - cours de mécanique de charles delaunay, édition 1868 un projet d’affiche de 1820 donne un descriptif...


13. 🌻 La flore Revestoise A la recherche des câpres

...pêcheurs...une recherche non aboutie, mais pas moins fructueuse... jacques-christophe valmont de bomare, né en 1731 à rouen, mort en 1807 à paris, est un naturaliste. nous nous sommes plongés dans son dictionnaire raisonné, universel d'histoire naturelle...   "caprier, capparis. on le nomme en provence "caperier". c'est une plante dont on distingue deux espèces ; l'une épineuse et l'autre non épineuse, qui croit en arabie jusqu'à la hauteur d'un arbre. nous ne parlerons ici que du câprier épineux, capparis spinosa.   cette plante, qui a une racine grosse et longue, est sarmenteuse. ses branches un peu courbes sont garnies d'épines crochues ; et s'élèvent à la hauteur de quatre pieds. ses feuilles sont rondes, larges d'un demi-pouce, amères ; elles sont posées alternativement sur les branches. a l'endroit où la queue s'attache aux branches, on remarque deux petites épines crochues. ses fleurs sont blanches, en rose à quatre pétales, et contiennent plusieurs étamines ; elles sortent des aisselles des feuilles, fleurissent en juin, et forment un effet des plus agréable. aux fleurs succède un fruit de la grosseur d'une olive, et ayant la figure d'une poire.   câprier par randovar on cultive le câprier en provence, près de toulon. comme il est très sensible au froid, on le met en espalier, ayant grand soin pendant l'hiver de le couvrir d'un peu de litière : il se multiplie de semences et de marcotes. les câpres dont on fait usage sur les tables, sont les boutons des câpriers que l'on cueille avant qu'ils soient épanouis ; et que l'on fait confire dans du vinaigre : les boutons les plus petits donnent les câpres capucines ; ce sont les plus fines et les plus fermes ; les boutons les plus gros donnent des câpres molles et grosses. en provence on les cueille comme elles tombent sous la main ; et lorsqu'elles sont confites on sépare, à l'aide d'un crible, les plus fines qui sont les meilleures et les plus chères.   les câpres do...


14. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande La mine de bauxite du Revest a évité le S.T.O., par Jacques Mouttet

...e;sagréable. je suis resté ici sans bouger. je me suis contenté de faire de la « résistance très passive », c’est-à-dire que le jour où j’ai reçu mon papier qui disait « prenez votre cuillère à pot » (c’était la première fois que je voyais cette expression), avec un rendez-vous à la gare pour partir en allemagne, je me suis débrouillé pour m’inscrire à la mine au revest. le comble ! c’est un collaborateur notoire (de toulon) qui m’avait dit que je devais partir en allemagne et qui me conseilla de me camoufler. á la mine, au début, personne n’y allait. l’électro-chimie a fait œuvre de puissance de bienveillance, car je n’étais pas le seul. et puis un jour, je pense qu’il y a eu délation, monsieur bertin qui était ingénieur des mines m’a dit qu’il fallait venir. au début, je travaillais dans les bureaux. mais un lundi, ils m’ont dit : « cette fois-ci, il faut descendre parce que la gestapo est venue dimanche et j’ai été obligé de jurer que vous étiez un bon mineur, un des meilleurs ». il y avait pas mal de monde dans cette mine. les deux tiers étaient des prisonniers rapatriés, les autres des gens comme moi, des « camouflés ». quarante personnes dont la moitié en surnombre. on avait des rations spéciales comme mineurs de fond. on avait des quantités industrielles de pain, de viande, de beurre. le revest a bénéficié indirectement de cela car, avec ceux qui comme moi étaient dans cette mine pour échapper au s.t.o. en allemagne, il y avait de « vrais » mineurs de fond comme doussaint et orlovic. les professionnels étaient quatre ou cinq...


15. ⛏ Carrières et mines Route des carrières

...⛏ carrières et mines route des carrières source : roland vernet in bull. avr 34 de février 2003 au nord du revest, s'ouvre une brèche béante dans le flanc du plateau calcaire. c'est la carrière du quartier fiéraquet. vous l’atteignez en empruntant la route de signes, goudronnée jusqu'au stade de la colline, puis en suivant la route de fiéraquet, poudreuse, dépourvue de revêtement bitumeux, sauf dans les premiers cents mètres creusés de nombreux nids de poule. arrivé au point le plus haut, après les tas de granulat, vous débouchez sur une large et belle route goudronnée qui sort de la carrière, emprunte vers l'est une large et profonde tranchée que scie le chaînon calcaire puis enjambe le ravin du cierge, passe au pied de l'ancienne carrière de marbre traverse le plateau de tourris pour rejoindre la route cd 46 au col "des chênes". si la portion allant du revest à la carrière de fiéraquet connaît peu de circulation, par contre la section qui dessert la carrière de fiéraquet offre un ballet incessant de camions aux vitesses souvent surprenantes. mais avant, quel était le cheminement de la pierre extraite de cette carrière et quels problèmes se posaient alors ?. la route de tous les dangers la route de signes était l'unique voie d'accès à la carrière. entre le plateau de tourris et le quartier de fiéraquet, existe le profond ravin du cierge, si facile à franchir maintenant qu'on ne sait plus qu'il existe si l'on n'est pas à pied. une route empierrée reliait fiéraquet et les deux petites carrières (dont une de marbre) de la rive droite du ravin. on peut encore accéder à ces carrières à partir du chemin des turcos. la route s'arrêtait là. sur l'autre ri...