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6. ♖ L'Amicale Laïque Les 50 ans de l'Amicale Laïque

... en 1951, m. marius aubert, instituteur eu revest-les-eaux d'octobre 1951 à octobre 1954, proposa la création d'une amicale laïque ayant pour but : de diffuser la pensée laïque et de défendre les institutions laïques existantes d'établir un lien entre les familles et l'école afin de permettre à celle-ci de remplir pleinement sa mission éducative et sociale de prolonger l’œuvre scolaire en promouvant l'éducation populaire notamment par l'organisation de loisirs culturels pour les adolescents et les adultes, et de permettre ainsi l'émancipation civique, intellectuelle, sociale, technique des habitants de la commune les statuts ont été déposés en préfecture le 11 février 1952. le premier bureau était composé de : président d'honneur et maire du revest-les-eaux : m. pascal simonetti président : m. dominique moretti vice-pré;sidents : m. marcel laure et m. alphonse sauvaire secrétaire : m. marius aubert secrétaire adjoint : m. jean violi trésorier : m. guiol trésorier adjoint : m. rené granet membres du bureau : messieurs jalama, dominique jean, féraud, rieu, moggia b., médiani marcel, louis aude, dominique graziani, jean hermitte et charles marius un panneau d'information fut fixé dans la classe de m. aubert, panneau sur lequel on pouvait lire les activités de l'amicale laïque du revest-les-eaux. la bibliothèque tout d'abord, il y eut la mise en place d'un centre de prêts de livres qui fonctionnait un soir par semaine. l'amicale recevait de toulon (ligue de l'enseignement) une caisse métallique contenant une centaine de livres. le prêt était gratuit pour chaque adhérent de l'amicale. le groupe de pipeaux m. aubert étant ami avec m. castel, professeur du conservatoire, musicie...


7. ☥ Cultes et religions L'église Saint-Christophe

...eligieux seraient célébrés dans la maisonnette municipale du petit stade (celui où a été bâtie la maison des comoni). des concitoyens apportèrent leur contribution volontaire pour soulager les finances de la commune dans cette entreprise. les deux ouvertures de la façade nord qui avaient été bouchées auront, comme à l’origine, de magnifiques vitraux ce qui donnera beaucoup de clarté à l’intérieur. dans un autre article du 15 septembre 1978, édouard fousse rapporte qu’un des ouvriers, m. daniel, employé par l’entreprise s.t.n.b. qui effectue les travaux, a eu la surprise, en démolissant une niche de maçonnerie accolée au mur ouest, de découvrir dans la muraille une bouteille à l’intérieur de laquelle se trouvaient des papiers. il fit part de sa trouvaille à notre premier adjoint, m. moretti. la bouteille fut cassée et l’on prit connaissance de ce qui était porté sur les différents papiers. le plus important, écrit à l’encre, mentionnait: « l’an 1867, sous le pontificat de pie ix, jordany, évêque de fréjus, césar martinencq, curé, émile teissier, maire, ont construit cette gloire en l’honneur de la vierge immaculée. » ce papier est signé martinencq, curé du revest et porte le tampon de la paroisse revestoise. on a trouvé aussi des cartes de visite de tous ceux qui ont travaillé à la modification, décoration de l’église à cette époque. c’est ainsi qu’on a trouvé des cartes de visite de a. charlois, peintre ; eugène apy, peintre de marseille. sur un simple papier, la signature du maire, émile teissier, ainsi que celle de pierre galaved. la carte...


8. ⌘ Le château de Dardennes Dardennes : bastide ou château ?

...acute; par la ville de toulon le 28 avril 1406 à dame isabelle de simiane, épouse de raymond de montauban, seigneur de la bastille de dardennes. les attendus du jugement précisent : « fait au château de la bastide dans l’appartement inférieur du dit lieu ... » nous remarquons donc qu’il est fait une distinction entre le château et la bastide. le deuxième document date du 7 mars 1640. c’est un rapport d’estime générale de la terre de dardennes, rédigé par le greffe du sénéchal de la ville de toulon : « biens nobles du château ou maison seigneuriale : une fontaine au parc, une petite chapelle par dehors joignant cette maison ... » dans ces documents archivés, la bastide prend le sens de domaine du seigneur et le château désigne le lieu d’habitation de celui-ci. l’excellent article de joséphine moretti sur les bastides seynoises (paru dans le bulletin regard n°8) vient confirmer cette différentiation : « si on fait référence aux; différents registres cadastraux, le terme bastide définit une construction rurale. mais les actes notariés, des documents administratifs, entendent par ce mot un domaine complet : terres agricoles, bâtiments d’exploitation et d’habitation. » source : igor fedoroff - bulletin des amis du vieux revest n° 61 de février ...


9. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Louis Camolli par Claude Chesnaud

...uo;est le contournement de toulon par puget-ville, méounes, signes. a partir de méounes, les alliés rejoignent le revest, passage obligé afin d’attaquer toulon par le nord. a partir de signes, les alliés prennent la direction de sanary/bandol afin de bloquer d’éventuels renforts allemands. dans la nuit du 19 au 20 août 1944, camolli et son groupe de f.f.i. prennent contact vers siou blanc avec le 3ème régiment de tirailleurs algériens. les f.f.i. revestois, sachant que le fort du mont caume n’est pas occupé par les allemands, guident les tirailleurs vers le revest en utilisant les chemins charretiers proches du caume. les allemands attendaient des chars alliés contournant le faron par la valette : ce sont les tirailleurs algériens qui surgissent au revest les eaux. les allemands attendaient, postés au barrage, des chars alliés sur le c46 : c’est dominique moretti qui surgit, fusil mitrailleur à la main, avec un groupe de f.f.i. revestois. le 20 août 1944, le revest est libéré. la bataille de toulon peut commencer.des combats violents se produisent dans la vallée jusqu’au 25 août 1944. le groupe des f.f.i. de camolli est le plus important : 52 hommes sur les 115 volontaires qui livrent, avec les alliés, différents combats.le 22 août 1944, la poudrière de saint pierre des moulins saute. cinq cent allemands défendent les quatre galeries. les survivants se rendent le lendemain. le fort du coudon est aussi un lieu de combat atroce. il y a peu de survivants côté allemand.le 24 août 1944, un f.f.i. revestois est tué au combat au fort d’artigues : chailloux lucien. il avait rejoint la cfl de toulon 1ère compagnie le 27 février 1944.le 27 août 1944, les troupes françaises défilent dans toulon.les pertes s...


10. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Rencontre avec le 3e RTA par René Poch

...ût. des grondements sourds et confus parviennent jusqu’à nous. pour les f.f.i., c’est veillée d’armes, nous attendons, nous prévoyons un événement ; celui-ci se présente à moi sous la forme d’une cigarette allumée sous mon nez, mais quelle cigarette ! une américaine « luki ». immédiatement je comprends, les libérateurs ne sont pas loin. « miette » menconi bat le rassemblement ; un guetteur en poste aux « 4 croix » est descendu nous alerter, les soldats français bivouaquent au cros du grand sui de morières (le chêne de mistral). nous rejoignons notre chef louis camolli au « cros de jeanne » sur la route de « fiéraquet », au nord du revest, au pied du glacis rocheux le dominant. nos armes sont cachées là, sous un petit pont ; quelles armes ! … de vieux mousquetons datant de 14/18 et quelques munitions. notre groupe est formé d’une douzaine de f.f.i. ; les autres étant restés sous les ordres de dominique moretti dit « aimé », second de louis camolli, au village, ils nous attendrons. nous sommes dans la pénombre, à tâtons, et nous nous mettons aussitôt en route, marche forcée, vers le nord en direction des « 4 croix ». les premiers kilomètres sont très pénibles, sur la draille caillouteuse qui monte, qui monte … nous ne parlons pas, conscients des événements qui nous attendent ; l’on n’entend que le halètement des poitrines et le crissement de nos pauvres semelles au contact des graviers, des cailloux et des rochers qui constituent le chemin dans un paysage lunaire. nous suons sang et eau, malgré la fraîcheur de la nuit, et notre cœur bat la chamade. enfin ! le plateau ; nous ne marchons pas, nous courons, nous volons. nous dépassons «roca troca , les 4 croix et descendons vers les morières. nous ralentissons l’allure ; nous écoutons ; nous essayons de pénétrer les ténèbres, enveloppant et adoucissant en égali...