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11. 🐦 Le Pigeonnier Présentation du pigeonnier du Revest

... n°40 de mars 2005 de la société des amis du vieux revest et du val d'ardène - voir crédits complémentaires en bas de page. c'est une tour ruinée, qui se dresse, imposante, au bord d'une falaise de grès, dont une carrière a dégagé le pied, carrière qui servit au repos des troupeaux en transhumance. la tour est isolée, éloignée de quelques centaines de mètres du village dont elle domine les abords l'accès n'en est pas facile ; la "montée du pigeonnier" permet de s'en approcher mais c'est un cul-de-sac dont on sort par quelques pas d'escalade dans la masse gréseuse pour pénétrer dans le maquis. un autre sentier, plus aisé, y mène à partir de la carraire du caume ; il serpente dans ce qui fut naguère le sentier botanique. on arrive dans le dos du pigeonnier, isolé sur sa base rocheuse en faire le tour pour atteindre la porte d'entrée est très délicat, le passage étant très étroit, pentu, glissant et proche de l'à-pic. c'est un beau sujet pour peintres et photographes. pigeonnier ou colombier ? il existe au revest deux voies qui s'intitulent respectivement "montée du pigeonnier" et "route du colombier", cette dernière reliant le cœur du village au barrage. pigeonnier et colombier sont synonymes pour désigner l'édifice destiné à l'élevage des pigeons. avant la construction du barrage (1910 - 1912), s'élevaient sur la rive droite du las un colombier et un moulin dit "colombier", d'où l'appellation donnée à la voie. pigeon, colombe, deux mots pour désigner le même oiseau. le mot "colombe" est plus poétique, et désigne en général le pigeon blanc qui semble si doux et délicat, symbole de la paix avec le rameau d'olivier dans le bec, celui qui aide le prestidigitateur dans ses manipulations le mot "pigeon" est, lui, d'usage plus courant : pigeon d'élevage, de compagnie, voyageur, pigeon biset. ces deux appellations viennent du latin. colombe dérive de columba (columbus employé plus spécialement ...


12. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...escriptions des commentaires personnels sur la beauté des fleurs, sur la poésie qu’elles lui inspirent, en mélangeant toujours noms latins, noms français ou noms vernaculaires : il y aura toujours chez elle ambivalence entre botanique et poésie, états d’âme, voire symbolique des fleurs. « sur les sommets de l’auvergne, il y a des gentianes et de statices d’une beauté inouïe et d’un parfum exquis », « je rapporte l’ophrys lutea, superbe, et que je ne donnerai pas cent sous »,… « trouvé 7 ou 8 epipactis blancs dans les bois, les uns avec une longue bractée à la fleur inf de l’épi, les autres sans bractée, tous rabougris par le vent et la sécheresse »… elle élève ses réflexions bien au-delà de la botanique : elle étudie en effet de façon approfondie la structure et l’architecture des plantes et des fleurs. elle l’explore avec passion et attention pour saisir « l’âme de la fleur ». elle a fait, peut-être sous l’influence du peintre delacroix, des études de fleurs, des portraits de fleurs à l’aquarelle rehaussée de gouache. Étude de fleur (coll. christiane sand) avec tamaris et le voyage dit du midi couverture de l’agenda-journal le voyage dit du midi a l’origine du séjour de george sand dans notre quartier (de tamaris ndlr), il faut rappeler que, le 27 octobre 1860, notre romancière fut terrassée par une affection typhoïdique. après 5 jours, elle « revient des portes de l’autre monde » et son médecin, vergne, lui prescrit une longue convalescence dans le midi de la france, une suggestion qu’elle accepte avec enthousiasme, non pas pour connaître le midi archéologique ou économique, mais « pour découvrir la flore de cette région » qui lui est inconnue, ne l’ayant traversée que trop rapidement, une fois avec musset lors de leur voyage en italie et une fois au chevet de frédéric chopin. elle repousse le projet de voyager en plein hiver, sa santé é...


13. ✍ Écrivains et artistes Le Revest créa l'artiste

...ène - discours du 19 août 1989 de charles aude, conseiller municipal du revest-les-eaux tous mes collègues de la commission culture et du conseil municipal sont heureux de présenter avec moi ce soir l’exposition dufresne et dionisi, intitulée : « le revest créa l’artiste ». ne voyez pas dans ce titre un signe de prétention ou de vanité, mais plutôt une façon pour nous, jeunes et anciens élus, qui avons à définir et à conduire une politique culturelle pour le revest, de faire le point et de poser des jalons pour l’avenir. pourquoi « le revest créa l’artiste » ? selon ce que veulent bien signaler les médias lorsqu’ils parlent de notre village, il y a une faille ou plutôt une « draille » à suivre pour comprendre ce titre. les étapes en sont connues. cela a commencé, il y a trente ans, par le travail et la présence magique de certains. depuis le revest est parfois appelé « le village des peintres ». mais au revest, il n’y a pas que des peintres comme artistes : giacobazzi (encore toulonnais), trofimoff, dufresne, arride, sardi, baboulène, auxquels il faut ajouter « le cyprès » de nervat et dionisi, le « saraillon » de decaris et bien sûr la « mastaba » de marius echevin. est-ce cette lumière particulière ? est-ce ces couleurs et ce paysage attirants ? est-ce le travail entrepris depuis trente ans par pierre trofimoff, alphonse sauvaire et michel dufresne justement ? tout cela ne suffit pas pour comprendre. et que signifie « être le village des peintres » aujourd’hui ? quel doit être notre rôle par rapport au marché de l’art, au travail de recherche et de découverte des artistes ? « le revest créa l’artiste », et cela aurait pu être le titre générique de toutes les expositions de l’été, particulièrement de la biennale honorée par baboulène. ce sont donc toutes nos interroga...


14. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Bibliographie

...hard. — description historique, géographique... livre d'or de l'academie du var (1900). e. garcin. — dictionnaire historique et topographique de provence. bulletin de l'academie du var. — 1897 - tome 20. o. teissier. — histoire de toulon. docteur g. lambert. — essai sur le régime municipal en provence au moyen âge. henseling. — zig-zag dans le var - 6e série - 1935. louvet. — les troubles de provence. docteur raoulx. — le siège de toulon en 1707. docteur g. lambert. — histoire de la peste de toulon. d'antrechaux. — relation de la peste dont fut victime la ville de toulon en 1721. les cahiers de p. letuaire (1796 - 1884). — « recherches sur l'origine de toulon », par z. pons. bulletins de l'academie du var : années 1897, tome 20 ; 1898, tome 21. — « histoire de toulon sous nos rois », par c. nostradamus. ch. ginoux. — peintres, sculpteurs, architectes nés à toulon ou y ayant vécu. g. lambert. — consuls de toulon et commandants militaires. extraits des minutes du greffe de la cour d'appel d'aix-en-provence : folio 7 - case 5. l. lancelain. — terreur blanche et terreur rouge. archives communales du revest-les-eaux. archives communales de toulon. — série bb 42 - folio 11 ; bb 56 -folio 359 ; cc 561. archives departementales des bouches-du-rhone. — série c 374, 391, 403, 406, 409, 2.200, folio 289 ; 2.207, folio 26 - série b 803, 797 - série c 1.247, 310, 2.250, folio 11 ; 1.252, 2.250, d° 5 à 10. archives departementales des bouches-du-rhone. —vol. b 758, f° 2 ; 762-68, f° 104-54-65 ; 769 bis, f° 63 ; 792, f° 233-182 ; 796, f° 26-103-106 ; 793, f° 231-132-258 ; 797, f° 26 (172-2) 202 ; 760-1, f° 58 ; 773-4, f° 58 ; 796, f° 98 ; 797, f° 66-151 ; 783, f° 160 ; 104, ...


15. 🚒 Incendies Le terrible incendie d’août 1906 au mont Caume

...cendie a diminué d’intensité vers 9 heures du soir et à l’heure où paraîtront ces lignes, le feu sera certainement éteint. » l’incendie du mont caumetrois soldats morts dans les flammes « dans notre numéro d’hier nous avons annoncé que le feu avait éclaté sur les pentes du mont caume /…/nous croyions, avec tout le monde, qu’il suffirait d’une nuit d’effort et de bonne volonté pour qu’on se rendit tout à fait maître du feu. nos prévisions optimistes ne se sont pas réalisées, le feu redouble d’ardeur, ravage pins, chênes et broussailles. tout cela ne serait rien si nous n’avions à déplorer la mort de trois malheureux soldats du iiième de ligne /…/ » 1ère journée :les causes de l’incendie « mercredi 22 août 1906des ouvriers peintres gravissent la route tortueuse et montante qui aboutit au fort du mont caume. ils causaient, riaient et fumaient. il était à peu prés midi trente, le garde d’artillerie du fort avec sa jumelle suivait la marche des ouvriers. tout à coup, derrière eux, il vit une épaisse fumée qui montait vers le ciel puis des flammes. dés que les ouvriers arrivèrent au fort, le garde leur reprocha de ne pas s’être retournés pour s’occuper du feu qui probablement venait d’être communiqué aux broussailles par les étincelles d’une cigarette. les peintres protestèrent et une discussion assez orageuse s’ensuivit entre temps, le garde forestier perrin, 1er garde des bois d’orvès appartenant à m. d’estienne, m. giraud et les fermiers de la propriété tardy donnèrent l’alarme. de dévoués citoyens du reve...