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11. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La chapelle Saint-André

...📖 le revest de p. trofimoff la chapelle saint-andré la chapelle st. andré et les consuls de toulon, seigneurs du val d’ardène bien avant 1640, la communauté de toulon avait pris des dispositions pour acheter les moulins de la ville appartenant à des particuliers. différents béals et canaux alimentaient la ville et les proches environs. leurs eaux étaient utilisées pour actionner les diverses machines des moulins. il y a, en 1430, « le béal qui vient des moulins de la vaudas (valdas, l'as, le las) ». en 1604, on décide de « continuer les travaux du béal de bonnefoi ». en 1634, on met aux enchères « les eaux du béal pour l'arrosage ». vingt ans avant l'achat au marquis de thomas d'une partie de la seigneurie et des moulins et engins de la val d'ardène, les consuls de toulon avaient des droits de visite sur la source et les eaux de la foux. cette visite était - ce deviendra une tradition - précédée d'une messe est suivie d'un repas. le coût de ce banquet se retrouve dans les archives de toulon. c'est ainsi qu'il fut de 44 livres 14 sous pour l'année 1620. c'est à partir de l'année 1639 que la communauté de toulon s'intéresse aux « moulins et engins du sieur de la val d'ardène ». une commission fut nommée cette année-là pour aller traiter avec m. de thomas. les entretiens ayant été concluants, le 28 mai 1640, l'assemblée consulaire ratifiait l'acte d'achat, au prix de 50.000 livres, des moulins, partie de la seigneurie avec huit jours de juridiction, haute, moyenne et basse sur le fief. tous les actes concernant cet achat furent remis aux archives de la ville le 15 février 1644. dès 1643, les consuls de toulon prirent le titre de seigneurs de val d'ardène, rendant...


12. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Les forges

...📖 le revest de p. trofimoff les forges le martinet à poudre et les forges du val d’ardène dès 1631, les consuls de toulon envisageaient la construction d'un martinet à poudre au val d'ardène. en 1648, les consuls de toulon réglaient à m. puget les frais qu'il avait engagés pour la surveillance des travaux de construction de la poudrerie établie à val d'ardène. le 9 novembre 1654, la communauté de toulon approuvait et ratifiait l'acte concernant « le moulin à poudre » que venait de construire à saint-antoine le sieur cristol revest, de brignoles. c'est par délibération du 7 novembre 1671 que la communauté de toulon décidait la construction d'un martinet à poudre « au-dessous du château de val d'ardène » ; par une nouvelle délibération du 9 décembre, les consuls étaient autorisés à acheter à m. de thomas, seigneur de val d'ardène, une parcelle de terrain nécessaire aux installations du martinet que la communauté se chargeait de faire construire. le contrat de ce « moulin à poudre » fut passé à marseille, en présence de m. le consul bonnegrace ; mm. de chabert et serry, conseillers, ainsi que m. gavoty, trésorier, assistaient à l'enregistrement des actes. la construction de ce nouvel ensemble rendait inutile l'exploitation de l'établissement similaire qui existait à rodeilhac (il s'agit sans aucun doute du martinet construit en 1654). par délibération du 6 février 1673, la communauté fut autorisée à vendre l'ancienne exploitation. nous pouvons, sans difficulté, situer les diverses constructions du martinet à poudre de val d'ardène, au pied du château. celles-ci s'élevaient entre l'actuel garage du neuvième moulin et les terrasses qui servirent à l'exploitation des septième et huitième moulins. la manipulation et le stockage des tonneaux de poudres et salpêtres présentaient des dangers. le « moulin à poudre » explosa en 1684, occasionnant de très gros dégâts aux bâtiments et moulins environnant...


13. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Seigneurs et propriétaires du Val d’Ardène

...📖 le revest de p. trofimoff seigneurs et propriétaires du val d’ardène pendant tout le moyen-Âge, la famille de vintimille, des vicomtes de marseille, a possédé plus de quatre-vingts fiefs et châteaux en provence. parmi ceux-ci, le revest et val d'ardène. les seigneurs de val d'ardène sont issus de la famille de vintimille et des familles provençales de thomas, de ripert, de raisson, de noble, du revest. aux xve et xvie siècles, la famille de vintimille était en coseigneurie avec les de thomas et les de ripert. au xviie siècle, ces deux familles se partageaient les terres du fief avec les de noble et les consuls de toulon. dernière descendante des seigneurs de toulon (vicomtes de marseille), sibille, dame de castellanne et de trets, fille de geoffroy iii, fut mariée deux fois. une première fois à gilbert de baux : une seconde fois à boniface de castellanne. par ses premières volontés testamentaires, sibille laissait le revest et val d'ardène aux chartreux de montrieux. revenant sur son testament le 16 août 1261, elle révoqua ses premiers écrits et transforma ses premières décisions. d'importants changements et additifs furent apportés au testament du 14 août 1261. tous ses legs furent réduits de moitié, exception faite des legs pieux. par acte du 29 novembre 1262, on apprend que le comte de provence échange la part de seigneurie qu'il possédait au revest. et qu'il tenait de sibille contre une part de la seigneurie de toulon, que détenaient de proches cousins de la testatrice. cet échange et les différentes clauses ajoutées au testament de sibille sont généralement mal interprétés et ont donné lieu à résumés incorrects. en août 1388, un bail emphytéotique fut passé entre raymond de montauban, seigneur de « dardenne » et pierre textoris, du revest. val d'ardène, à l'époque, dépendait du domaine de toulon. nous ne nous étendrons pas ici sur les longues et fastidieuses généalogies des famille...


14. ♖ La Ripelle Le domaine de la Ripelle depuis 1700

...des habitants», cadastre 1700). il n’y a aucun nom de personne s’apparentant à ce lieu, à la différence d’autres quartiers confrontant la ripelle, pour ne citer que : la cordière, la massillonne, la danillonne, dont les familles cordier, massillon, denillon y possédaient des biens. dans le livre terrier 1612/1700, on trouve le nom de genselme ripert qui possède deux bastides et une « piesse » de terre dite « ripelle » (1697). en vieux français, ripe ou riepe signifie taillis. si on ajoute le suffixe diminutif « elle », nous retrouvons ripelle ou petit taillis. nous adopterons cette hypothèse en attente d’autres informations.dans le cadastre de 1700, nous relevons les noms de quelques occupants de ce lieu : madame de beaussier, veuve de sieur ripert, possède terres et bastide au quartier de la ripelle (fo.101) ; elle épouse en secondes noces m. de thomas de la valette (1714). les dames de bertrand de saint tropès, ou sieur granet, possèdent terres incultes et oliviers au quartier de la ripelle, confrontant de midy le chemin (il s’agit du chemin allant du revest à la valette) et le restant de la dite terre au terroir de toulon. ces biens confrontent de sèptentrion la dame de beaussier (fo. 104). sieur martinenq possède terres et bastide au quartier de la ripelle, confrontant levant le sieur de quarqueiranne (fo. 120). autre cadastre des biens des habitants 1691/1727 : m. de thomas de la valette, capitaine de vaisseau du roy, possède bastide, terres et oliviers, câpriers, vignes, arbres fruitiers au quartier de la ripelle (fo.50). et pour terminer cette énumération, extraits du cadastre de 1768 : m. isnard, avocat de la cour, possède bastide, four, régale, colombier, aire et loge à cochons au quartier de la ripelle, confrontant de levant le t...


15. ♖ La Ripelle Compléments historiques

...♖ la ripelle compléments historiques la ripelle : complément d’informations sur l’historique du domaine par jean gabiot le terroir de la ripelle fait partie de l’ancien fief de tourris. sous cette dénomination étaient réunis les quartiers que l’on trouve sur le cadastre du revest de 1828 : la ripelle au centre, la danillone, la cordière, voire la massillonne, à l’ouest et le quartier de la moutte, à l’est, auxquels il faut ajouter la partie de la moutte figurant sur le cadastre de la valette.très tôt, les seigneurs de tourris avaient donné cette grande « pièce » à bail emphytéotique perpétuel à des particuliers qui, moyennant un cens, l’occupaient et l’exploitaient tout en restant sous la directe du seigneur.en septembre 1555, nous avons la connaissance de l’octroi d’un nouveau bail pour la propriété dite « la ripèle » à antoine augias de la valette. puis, en 1569, le bail est cédé au sieur thomas de sainte-marguerite.a partir de 1600, toutes les terres de tourris, soumises à nouveau bail, sont inscrites sur les cadastres du revest et de la valette suivant leur valeur et la proximité de l’une et l’autre commune. c’est ainsi qu’une partie de « la ripèle » s’acquitte de la taille à la valette, tandis que l’autre « paye au revest ».appelée aussi la thomasse, en raison vraisemblablement de son appartenance aux thomas de sainte-marguerite, la terre va commencer à être morcelée entre plusieurs emphytéotes, mais en 1684, l’occupant principal est noble honoré de rippert, écuyer, seigneur de carqueiranne.a partir de 1704, le mariage de gabrielle, veuve ripert de carqueiranne et l’escaillon, avec joseph thomas de la valette, fait passer la terre aux mains de cette famille qui la cédera, en même temps que tous ses biens valettois, vers 1760, à un bourgeois toulonnais, pierre-jean isnard cancelade.la révolution supprime le fief de tourris. le dernier seigneur, m. joseph aguillon, perd tous ses...