Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :archives


Page 21 - 25 sur un total de 58 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


21. ⌘ Le château de Dardennes Dardennes : bastide ou château ?

...⌘ le château de dardennes dardennes : bastide ou château ? l’utilisation de ces deux termes pour désigner la résidence des seigneurs de dardennes a donné lieu à de nombreuses controverses. d’après les interprétations proposées, il découle qu’il y eut tout d’abord une bastide jusqu’au xvie siècle, puis postérieurement un château dès le siècle suivant. a partir des archives de la ville de toulon qui nous apportent des réponses concrètes, je citerai deux documents officiels sur lesquels j’appuie ma réflexion... le premier est le procès intenté par la ville de toulon le 28 avril 1406 à dame isabelle de simiane, épouse de raymond de montauban, seigneur de la bastille de dardennes. les attendus du jugement précisent : « fait au château de la bastide dans l’appartement inférieur du dit lieu ... » nous remarquons donc qu’il est fait une distinction entre le château et la bastide. le deuxième document date du 7 mars 1640. c’est un rapport d’estime générale de la terre de dardennes, rédigé par le greffe du sénéchal de la ville de toulon : « biens nobles du château ou maison seigneuriale : une fontaine au parc, une petite chapelle par dehors joignant cette maison ... » dans ces documents archivés, la bastide prend le sens de domaine du seigneur et le château désigne le lieu d’habitation de celui-ci. l’excellent article de joséphine moretti sur les bastides seynoises (paru dans le bulletin regard n°8) vient confirmer cette différentiation : « si on fait référence aux; différents registres cadastraux, le terme bastide définit une construction rurale. mais les actes notari&eac...


22. 🎭 La maison des Comoni L'histoire n'est pas finie

...🎭 la maison des comoni l'histoire n'est pas finie en guise de conclusion provisoire : de nombreux documents sont encore à exploiter. pour tout ce qui concerne le cabinet des monnaies et la collection des monnaies achetée par la mairie à armand lacroix voir le n° 25 de mai 1999 sur : https://photos.revestou.fr/picture?/bulletin25/category/103-bulletins_amis_du_vieux_revest « donjon soleil », pour les 10 ans des » 4 saisons du revest » images d’elian bachini. éd. les cahiers de l’egaré. extrait : fouiller les archives pour raconter cette aventure, c’est raviver les souvenirs. les 2400 m de planches données par les chantiers de la seyne pour construire le labyrinthe aux sept portes de clepsydre en 1984 ; la caravane délabrée de feu en 1988 découverte en sillonnant les petites routes du var ; la centaine de camions de sable de la carrière de fierraquet nécessaires pour fabriquer les dunes de paroles du silence rouge en 1990 ; les palmiers déplantés vers 5h du matin au château de la ripelle pour libérer l’aire de jeu de médéa en 1989 ; le décor d’a la recherche d’omar khayyam menacé par le mistral en 1991… » « de l’impasse à la traverse, un parcours artistique vivant, les 20 ans des 4 saisons du revest» éd. les cahiers de l’egaré, juin 2003. des manifestations sont prévues les 13 et 14 juin 2015 pour fêter les 25 ans de la maison des comoni. jc. grosse, le pôle jeune public et la mairie du revest se sont rencontrés et ont travaillé ensemble. une histoire qui finit bie...


23. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Il faut rendre à César ...

...📖 le revest de p. trofimoff il faut rendre à césar ... note rectificative publiée par pierre troffimoff dans le bulletin municipal de septembre 1991. faire l'histoire du revest avec peu d'archives anciennes était une gageure. tant bien que mal on y est arrivé et les découvertes intéressantes continuent de se produire. mais il y a eu quelques erreurs que d'autres chercheurs nous permettent de rectifier. dans un article récent (14 juin 1991) dans “semaine provence", madame m. d. raymond nous a brossé une courte généalogie des d'arcussla, titulaires du fief du revest prés d'esparron, et auteurs de “la fauconnerie de charles d'arcussia", plusieurs fois rééditée en france et à l'étranger. en nous appuyant sur des écrits d'auteurs très qualifiés et sur des archives qui reprenaient cette erreur, nous nous sommes fait “complice” de cette appropriation indue. il nous faut faire marche arrière, les d'arcussia n'intéressent pas notre commune. tout permettait de le croire, le soi disant pigeonnier du roi rené, qui n'est rien dautre, croyons les spécialistes (monsieur homet) qu'un fut de moulin à vent ; les éperviers sculptés, aussi, à la base des tours en poivrière du château, dont les têtes tombèrent àla révolution sous les coups de quelques "excités", pour reprendre un terme utilisé à l'époque. pendant la dernière guerre nous avons eu la chance de consulter un lot d'archives de la famille reymonenq-bourgarel, etc, une liste chronologique des seigneurs et propriétaires du château et des terres seigneuriales mentionnait les d'arcussia ;on prétendait même que c'était à partir de la venue au revest de cette famille que le fief de dardennes fut détaché du revest. ll faut donc désormais savoir que charles d'arcussia n'a jamais été seigneur du revest (le nôtre), mais bien du revest d'esparron et que son traité de la fauconnerie, si richement illustré dans certaines éditions, a peut être intéressé des chasseurs du...


24. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

...📖 le revest de p. trofimoff la confrérie de la miséricorde source : le revest, tourris, val d'ardène, texte de pierre trofimoff en 1963 À l'instar de ce qui existait dans des villes et des villages plus importants, naquit une société de charité pour soutenir les désespérés, soigner les malades, aider les pauvres. l'action de cette association, dite « confrérie de la miséricorde », débuta au 17e siècle au revest. cette œuvre était en étroite liaison avec son homonyme de la grande cité voisine. l'apostolat de ces deux communautés fut parfaitement profitable aux malheureux. il suffit de compulser, aux archives communales, le dossier de « l'hôpital de la miséricorde » pour constater la générosité de tous les donateurs. dans une lettre du 29 novembre 1742, m. le curé du revest, l'abbé teissère, écrivait à m. artigue, secrétaire de la confrérie de la miséricorde à toulon, et lui accusait réception de 34 livres 16 sols, en le remerciant de la prochaine fourniture de 12 cannes de drap. en feuilletant les pages qui relatent l'histoire de cette fondation, nous constatons les besoins des « pauvres honteux » : médicaments, habits, nourriture. nous pouvons aussi lire les noms des différents recteurs et trésoriers du bureau de la confrérie. penchée sur les douleurs quotidiennes, la confrérie de la miséricorde sut se montrer efficace pendant la terrible épidémie de 1720. la peste sévissait avec, à son actif, les plus désastreuses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 j...


25. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Histoire religieuse

...ranches fleurdelisées. l'église possède de très nombreuses statues bustes-reliquaires magnifiquement dorées. deux ou trois ex-voto naïfs ornent la chapelle de la très-sainte vierge. À la révolution, la première délibération communale concerne le culte et consiste en la publication officielle du décret ordonnant l'emploi de l’écharpe tricolore dans les cérémonies religieuses. le 5 décembre 1790, le curé gastinel prêta serment dans l'église, face aux autels, sous les drapeaux de la garde nationale. ce fut le 16 janvier 1791 que le vicaire vint, après la grande-messe, prêter serment. le 22 juillet 1792, on s'en prit à la petite cloche de la chapelle saint-jacques qui fut dirigée sur la monnaie de marseille. le 13 janvier 1893, on vota un crédit de 98 livres pour réparer le toit de l'église actuelle. sur ordre du district du beausset, l'église servit de temple au culte de la raison. si la période antérieure à la révolution est peu riche en archives religieuses, la lecture des actes paroissiaux et les registres des délibérations du conseil de fabrique nous donnent de nombreux documents pour la période contemporaine. les chaises de la paroisse furent mises en adjudication le 25 septembre 1836. la chaisière intéressée ne fit aucune redevance à l'église. elle fut poursuivie en justice. le conseil de fabrique eut gain de cause le 22 mars 1838. en 1846, on délibéra et on vota au conseil de fabrique les fonds nécessaires à la refonte de la vieille cloche. par souscription, on remit la somme de 654 francs. c'est m. toussaint sabatier, fondeur, rue bonne­tière, à toulon, qui se chargea de « prendre la matière de la vieille cloche au prix de 2 francs le kilo, de fondre cette matière et de confectionner une nouvelle cloche de même poids, moyennant le prix de 3 francs 25 le kilo ». le conseil de fabrique s'engageait à fournir le bois nécessaire pour la fonte, les briques, chaux et sable, le charbon et la main-d...