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11. ♊ Un musée virtuel La Dardenne

...rie défectueuses, hors d'usage et inutiles", les arsenaux désignés furent ceux de toulon et de rochefort, et les "moulins" où devait se faire la préparation des flans , et éventuellement la frappe des monnaies, furent installés à gond, près de l'arsenal de rochefort et à dardennes, à 250 mètres du château, dans ce qui était à l'époque le martinet à poudre de val d'ardène (voir l'ouvrage de m. trofimoff : le revest-les-eaux, tourris et val d'ardène). la responsabilité de l'émission fut confiée aux officiers des hôtels monétaires les plus proches du lieu où était fournie la matière première et préparés les flans. les ateliers désignés furent ceux d'aix-en-provence, de montpellier et de 1a rochelle. il avait été prévu également de faire la monnaie par les ateliers de perpignan, nantes et bordeaux, mais il ne fut pas donné suite à ce projet. la fabrication commença en janvier 1710 et dura jusqu'au 30 avril 1712. compte-tenu des moyens de transport de l'époque , il était difficile et onéreux de véhiculer une matière première brute se présentant sous la forme de lourdes pièces métalliques (canons ...) sur de longues distances. la route de toulon à aix était longue, et loin d'être commode. c'est pour cette raison qu'il fut décidé de préparer les flans à proximité des arsenaux fournissant le métal. il était ensuite plus facile de faire transporter les sacs contenant ces derniers par des voituriers jusqu'à l'hôtel des monnaies pour la frappe. nous avons retrouvé également dans des documents d'archives le nom du voiturier chargé d'effectuer le transport des flans de dardennes à aix. il s'agit d'un certain hermitte qu'il serait intéressant de situer exactement dans une généalogie locale. nous avons retrouvé également un document intéressant relatif au transport d'une presse de balancier de toulon à aix :-"j'ây receu de mr dupignet, conseiller du roy, directeur et trésorier de la monnoye...


12. ⌘ Le château de Dardennes La bastide de Dardennes

...fièrent en 1648. françois de thomas était alors seigneur de la bastide. dans la façade de l’aile ouest du château des portes permettent d’accéder aux anciennes écuries dont le sol est grossièrement caladé. nous voilà devant la façade nord de la demeure. un beau portique donne sur une cour n°2 intérieure au centre de laquelle s’élève un imposant platane. jadis sous le porche précédant cette cour, une porte s’ouvrait sur un escalier qui permettait d’accéder au premier étage du château, rejoignant un long couloir occupant l’aile nord sur toute sa longueur, reliant l’aile ouest à l’aile est de la demeure. cet escalier fut supprimé après 1795. À droite de cette cour n°2, deux portes pratiquées dans l’aile ouest communiquent, elles aussi, avec les écuries. sur le seuil de l’une des portes, gravée dans la marche la date 1644. dans l’angle sud-ouest de la cour une dalle récente en béton. depuis la terrasse nord transportons-nous à la terrasse méridionale. pour accéder à la cour n°1, nous devons gravir une quinzaine de marches. nous voici devant la façade sud du château. une belle porte en bois, ceinte de pierres taillées, constitue l’entrée principale de l’édifice. franchissons le seuil du rez- de-chaussée. une vaste salle formant vestibule est limitée au nord par un mur dont les fenêtres ouvrent sur la cour intérieure n°2. À droite, adossée contre le mur de la tour est, il existait une ouverture dans laquelle un escalier accédait à l’entresol. cette excavation n’existe plus, elle a été comblée au ras du plancher. nous ne saurons jamais ce que recelait cette partie de l’entresol de la bâtisse. ce chaînon manquant donnera libre cours à notre imagination. il semble probable qu’une liaison souterraine reliait les ailes est et ouest. ces modifications ont été réalisées après 1795 c’est-à-dire au cours du xixe siècle. il est fort dommage que ...


13. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

...carré parfait, la base de ce repaire est de 8,10 mètres de côté et bâtie à même le rocher : sa hauteur est de 12 mètres et l'épaisseur de ses murs est de 2 mètres. sa construction est faite de moellons calcaires conchyliens de moyen et petit appareil, posés par bandes régulières. composée d'un magasin voûté, d'un premier étage et d'une plate-forme, elle subit, en 1865, différentes transformations nécessitées par la pose d'une horloge sur la plate-forme. ces travaux amenèrent la municipalité de l'époque à ouvrir une porte sur la façade est, et la destruction presque complète de la voûte du magasin, pour laisser descendre les poids de l'horloge. on découvrit un important dépôt d'armes, composé de flèches d'arcs, de fers de lances et de nombreux boucliers ronds. très sûr et très bien gardé, ce magasin était le « coffre-fort » des habitants, qui y mettaient à l'abri les produits métalliques et autres avant de les vendre ou de pouvoir les transporter jusqu'à la tour du rega à sanary. de là, ils étaient acheminés par barques sur les lieux où ils étaient transformés. litiges entre toulon et le revest dès le 13ème siècle, le revest est l'enjeu des aspirations de geoffroy iv, seigneur de toulon, et de guillaume, seigneur d'ollioules. geoffroy l'emporte après le verdict rendu par monseigneur g. rostang, évêque de toulon. dès cette époque, le revest et d'autres quartiers limitrophes font partie du territoire de toulon. morte en 1261, sibille, dernière descendante des seigneurs de toulon, donna toulon à charles 1er qui la fit passer dans le domaine comtal. elle devint chef-lieu d'un baillage dont le revest faisait partie tout en étant la propriété des chartreux de montrieux, à qui sibille en avait fait don par testament, y compris « la seigneurie, ainsi que tous les droits qu'elle peut avoir ou qu'elle a sur ce château et seigneurie ». beaucoup plus important qu'il n'apparaît aujou...


14. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

...ses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 juin 1721 pour 162 livres 10 sols de moutons et brebis distribués aux pauvres et malades. thomas gauthier, trésorier de la confrérie, fit le certificat autorisant le remboursement de cette somme à christophe barbaroux. c'est dans « l'enclos », dit « la fouilloy » (dépendant du domaine de la tourravelle), appartenant à m. chaussegros, que les autorités de la province autorisèrent l'ensevelissement des victimes de l'épidémie. les membres de la confrérie assistèrent et transportèrent les morts. la confrérie de la miséricorde possédait aussi un établissement hospitalier au revest. de très nombreux malades y furent hébergés et soignés. cet établissement peut être situé sur l'actuelle propriété du docteur mouttet, dont un bâtiment est depuis toujours désigné sous le nom de « la maladrerie » ou « la léproserie ». l'œuvre de la confrérie se poursuivit aux 18e et 19e siècles. de très nombreux dons continuèrent d'être versés, apportant, par leur judicieuse répartition, le réconfort espéré. dès le milieu du 19e siècle, cette fondation devint le bureau d...


15. 🚒 Incendies L’incendie du Revest-La Valette-La Farlède en 1964

...rtout. la rumeur accuse les fils électriques du transformateur de la carrière de bonnevialle qui auraient fait des étincelles en se touchant à cause des rafales de vent. a l’époque, les fils électriques sur les poteaux edf étaient en cuivre dénudé. la rumeur désigne aussi un autre coupable : un pot d’échappement qui aurait mis le feu à une touffe d’herbe sèche. peu importe, nous devons soigner nos plaies : nous avons tout perdu … sauf la vie. attestation d’un pompier volontaire revestois pour la défense des forêts contre les incendies : torrès antonio (1949) dans la journée du samedi 11 juillet 1964, nous apprenons qu’un habitant d’une maisonnette du quartier de la tourrevelle a été gravement brûlé : montaperto giacomo. il était en short avec une chemise en nylon. il a cherché dans le feu sa femme philippa qui a fui devant le brasier. pour la retrouver, il a traversé le brasier. le vendredi 10 juillet, un ami de la famille transporte montaperto giacomo au centre hospitalier de brunet. il est immédiatement transféré à l’hôpital saint anne car il est brûlé au 3ème degré, son état est extrêmement grave. montaperto demande des nouvelles de sa femme qui a disparu. pendant 3 jours, leur fils salvador, alors âgé de 19 ans, cherche sa mère jusqu’au château de la ripelle. le dimanche 12 juillet, il la trouve à 200 mètres de la maisonnette. elle est morte asphyxiée, puis a été brûlée. son chien est à ses côtés, il a subi le même sort. elle a voulu rejoindre la maison de son voisin en longeant des restanques, le feu l’a rattrapée. la maisonnette, elle, est intacte. 15 jours après cet incendie, montaperto giacomo décède des suites de ses blessures. vue aérienne du château de la ripelle (vers 1970) l’incendie de 1964 a fait le tour du château, le rucher qui se trouvait quelques mètres au-dessus du grand bassin a été détruit. les 10 et 11 juillet 1964, plusieurs...