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16. 🏭 Industrie La verrerie de Tourris

...es, et venant de là passer aux sablières, où l’on trouve des galeries souterraines de sablon que l’on expédie aux fabriques de verreries à gémenos, marseille, etc … ». nous sommes au 19e siècle. passer la souris sur la photopour la voir en plus grand en 1988, danièle foy publie « le verre médiéval et son artisanat en france méditerranéenne » où on lit (page 31) : « avant même d'obtenir l'autorisation de créer son atelier à la valette au quartier de tourris en 1825, le sieur tessier s'est assuré l'exploitation de la "grande et belle carrière (de sable) récemment ouverte à tourris". bien qu’importante, l’existence de sable immédiatement voisin de la verrerie, n’est pas la cause déterminant la fixation d’un atelier : bien des ateliers du xixe siècle font transporter leur sable sur plus de cinquante kilomètres.» wagonnet et son châssis de la carrière de sable de tourris, mis en valeur par des passionnés le 24 février 2013 (photographie : michel augier 2013). photographie d’un wagonnet ressemblant à celui de la carrière de sable de tourris. merci à la commune de condorcet (drôme) qui nous a aimablement transmis ce cliché. source : société des amis du vieux revest et du val d'ardène addendum autres mentions de la verrerie de tourris carnets de george sand (sur le présent site) enfin nous passons, nous montons toujours, toujours nous arrivons à turris ou tourris à 4h. nous avons mis cinq heures pour faire quatre lieues environ. ce que nous voyons de turris consiste dans une verrerie qui ne fonctionne pas et dans quelques maisons adjacentes. il y a un vieux château et des sablières, tout auprè...


17. 🏭 Industrie Forges et forgerons de Dardennes

...res au paiement de ces doubles liards (1). le port ne s'alimentait plus que par des ventes. on se défaisait de beaucoup de cordages, de voiles, de canons superflus, et très-souvent d'objets fort utiles. le ministre, qui donnait les ordres de ces ventes, semblait en avoir des remords, mais on lui répondait qu’il avait fallu caréner tel ou tel vaisseau privé de secours, qui allait couler.ces pièces de 2 liards reçurent du peuple le nom de dardennes. elles ne furent pas frappées à dardennes même, mais le plus gros travail s'y fit ; un entrepreneur, le sieur allain, se chargea, selon les termes de son marché, de la matière des canons, de la fondre et refondre, de la passer en lames, de la couper en flans, de la recuire et mettre en couleur, jusqu'à ce qu'elle fût en état d'être monnayée; tout cela se fit à dardennes. d'où l'entrepreneur se chargea de transporter tes flans aux monnaies voisines d'aix et de montpellier, pour recevoir l’application du coin. toulon livra à peu près un million de marcs de cuivre; chaque mate devait produire 15 sous, 3 deniers net. le sieur allain avait trois sous par marc, des flans prêts à monnayer. source : octave teissier une visite à l’arsenal de toulon, 1861, hachette, paris p99-100 l’enclos des forges de 1747 1747 est une année charnière pour les forges de dardennes. depuis 1738, la royale a repris des couleurs en méditerranée. pierre aguillon capitaine d’industrie, propose à l’intendant de l’arsenal de toulon, bourgeois de geudreville, un nouveau concept pour une forge à dardennes. il reprend la belle idée de récupération de déchets métalliques de l’arsenal, qui avait fait le succès de l’atelier des monnaies en 1710. son projet est une...


18. 🏭 Industrie Le goudron

...e, elle dégage une odeur empyreumatique c'est-à-dire âcre, désagréable, due à l'action violente du feu sur ces matières. la houille distillée donne du gaz d'éclairage et du goudron. tout bois distillé produit un goudron végétal ; l'huile de cade et la poix sont des goudrons de bois. la première vient du genévrier cade, l'autre du pin.en provençal, goudron se dit quitran, le mot vient de l'arabe qoutran (ou qatran); on le trouve écrit en français dès le 13e siècle sous la forme catram, puis gotran en 1381, et goudran au 17e siècle. la poix c'est la pego des provençaux. et la pegoulo, c'est la résine. d'où sont dérivés un certain nombre de mots comme pegouliero, la fabrique de poix, mais aussi l'embarcation portant les chaudières à brai (voir l'intéressant article qui traite de ce moyen de transport dans l'arsenal de toulon). l'ouvrier de cette fabrique c'est le peqoulie ou pegouiiero. il existe aussi le mot pego qui désigne un cordonnier (son fil est enduit de poix). prendre une pego c'est s’enivrer ; qui n'a pas entendu l'expression "être empégué" (verbe empega) de quelqu'un qui manifeste son abus de libations. on ne saurait oublier, pour terminer cette énumération, une autre expression locale "ça pègue". il existe diverses sortes de poix. de la résine (galtpot) obtenue par gemnage des pins, comme cela se pratique dans les landes et dont on peut voir des vestiges dans notre région, on tire la poix par divers procédés industriels. la poix noire c'est ce goudron qui provient de la distillation de menus bois dans les pégoulières (les fours à poix). le brai le brai est un résidu pâteux provenant de la distillation de la résine, du goudron ou du p&ea...


19. 🚌 Autobus, cars & Co Approche chronologique

...approche chronologique 1881 : un service d'omnibus à chevaux aurait desservi le revest-village dès 1881. (selon gabriel bonnafoux) le lundi, une remorque à ridelle y était ajoutée pour le transfert de linge des bugadières entre toulon et le revest. 1884 : en août, rapport du préfet du var au conseil général : "un omnibus dessert toutes les heures les quartiers des moulins et de dardennes" (à chevaux, et depuis toulon) les anciens bâtiments de la forge à dardennes auraient servi un temps de remise pour les omnibus à chevaux. (selon yvan meschi) 1904 : inauguration de la ligne de tramway n°6 entre toulon et les routes. a la tranchée, les voyageurs pour le revest changent pour emprunter l'omnibus à chevaux appelé le roulez de dardennes. 1919 : l'omnibus (à chevaux ou à moteur ?) ne dessert plus le village (le temps d'un trajet le revest-toulon est de 2 heures) 1923 : signature d'une convention de service public entre le préfet du var et un entrepreneur de transport, m. genin pour un transport en autocar de toulon à revest-village. pour 5 ans à/c 1er avril 1923. service avec 2 voitures de voyageurs 10 places + 250 kilos de bagages. c'est le monsieur genin dont parle si bien charles vidal, là >>> 1925 (2 février) : inauguration de la ligne de tramway 5a (blache-les moulins), avec tronc commun avec celle de la 6 jusqu'à la tranchée. elle fonctionnera jusqu'en 1952 avec une interruption du service pendant la guerre. le 1er novembre 1925, un appel à la concurrence est lancé pour une desserte par autobus entre la chapelle des moulins (ou le tramway faisait terminus) et le hameau de dardennes. 1928 (25 juin) : avenant à la convention m. genin s'engage à assurer le service toulon revest par autobus jusqu'en 1936. 1931 (1er avril) : mme veuve genin cède la concession à mm bouchard et campenio. 1934 (19 avril) : décret-loi sur la concession de service de bus entre toulon et le revest-village 1935 : (récit d'alberte ...


20. 🚌 Autobus, cars & Co Histoire des transports en commun entre Toulon et Le Revest

...🚌 autobus, cars & co histoire des transports en commun entre toulon et le revest source : claude chesnaud dans le bulletin n°58 de mai 2012 de la société des amis du vieux revest et du val d'ardène pétitionner est un acte très ancien qui permet une expression démocratique fondamentale. bien souvent, c’est l’exaspération qui motive cette démarche. mais grâce à ce type de communication et après la lecture d’une pétition et de sa lettre d’accompagnement écrite par le citoyen revestois, atxer justin, nous allons pouvoir (partiellement ?) remonter le temps. la pétition de 1936 atxer justin qui se veut « interprète des usagers des cars desservant si mal notre commune » adresse, en date du 13 septembre 1936, une requête à meiffret pierre, maire du revest-les-eaux : « depuis de nombreuses années un service de transport en commun fonctionne sur la ligne toulon-le revest, service subventionné par l’État (ptt), le département et la commune du revest-les-eaux. depuis sa création, la ligne est desservie par les mêmes véhicules, non confortables (vieux châssis de carrosserie berliet) transportant, trimbalant plutôt les voyageurs à des heures tout à fait incommodantes pour nous. des ouvriers, de plus en plus nombreux, vont à toulon, ville voisine, soit à l’industrie, soit à l’arsenal. aucun transport sérieux n’existe pour cela. » les revestois, pour effectuer les 7 kilomètres, mettent 35 minutes : « ce qui représente une vitesse horaire de 12 kilomètres », précise l’interprète des usagers. sans oublier : « que l’on est assis sur des banquettes en bois non rembourrées. » il est important de rappeler que le terminus du tramway le plus proche était à 3 kilomètres, à la chapelle des moulins. 3 kilomètres aller le matin et 3 kilomètres retour le soir : une charge supplémentaire pour des ouvriers effectuant des tâches pénibles. le conseil municipal, ...