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11. ⌘ Le château de Dardennes La bastide de Dardennes

...⌘ le château de dardennes la bastide de dardennes source :les seigneurs du revest et de dardennes du moyen-âge à la révolution par igor fedoroff, publié en août 2010 par la société des amis du vieux revest et du val d'ardène et loisir et culture le testament que sibille dame de toulon établit en faveur de charles 1er d’anjou ne révèle aucune bastide au val d’ardennes, c’est probablement qu’en 1261 il n’y en avait pas. sa construction fut probablement entreprise durant la seigneurie des montauban, entre la fin du xiiie siècle et le début du xive siècle. souvenons- nous, qu’en 1316, sibille de trets, veuve de raymond 1er de montauban avait légué à sa fille béatrix les meubles de la bastide. a la bibliothèque des amis du vieux toulon, est déposée la reproduction d’un plan réalisée le 1er décembre 1926, d’après un original qui fut établi le 16 prairial an iii, s’intitulant : «ancien château seigneurial dans la vallée de dardennes, devenu bien national sous la révolution, en vue d’un projet d’hôpital» signé : l’officier du génie maritime, bourcelet. ce projet consiste en la modification de quelques cloisons internes de la bâtisse, n’affectant en rien l’ensemble du château tel qu’il se présentait à la fin du xviiie siècle c’est le seul document fiable qui m’a permis d’en faire la description qui va suivre. cette copie fut réalisée à la demande de messieurs bourgarel et schwartz qui en 1926 étaient propriétaires du château de dardennes. il apparaît sur ce plan que la tour est de la bastide possède des murs dont l’épaisseur est beaucoup plus importante que les constructions qui la confrontent. il a été établi que les dimensions de cette tour sont rigoureusement identiques à celles de la tour du castrum du revest elle fut probablement une tour de guet, servant en cas d’invasion, à prévenir l’agglomération fortifiée du revest qui la d...


12. ✍ Écrivains et artistes La botanique dans l’œuvre de George Sand

...lantes. j’ai fait de la botanique toute la journée. (…). je rebotanise ce soir avec rage, mais je vais bien lentement et je suis bien bouchée, ou mes auteurs décrivent bien mal… asphodèle porte-cerise environ 150 espèces sont nommées dans l’agenda de george sand, mais, ce qui est à noter c’est que, si l’on marche aujourd’hui sur les traces de george sand, à la même saison, on retrouve à peu de choses près ce qu’elle observé, identifié et mis sous presse - bien que certaines espèces se soient raréfiées. en voici quelques exemples : « de mer-vive vers le cap sicié, lavandes stœchas et euphorbes ; à notre-dame de la garde : silène gallica ; à dardenne, des myrtes, beaucoup de centhrantes, des ornithogales ombellés ; au cap sepet, le serapias cordigera, des psoralées en fleurs ; aux rochers de sainte-anne, « l’œillet bleu de roquefavour », dont elle s’apercevra qu’il s’agit en fait de l’aphyllante de montpellier… ; dans la vallée du gapeau : « trois lins ravissants ; le grand jaune (campanulatum), le blanc à cœur rose et le bleu grandiflora ». l’« Œillet bleu de roquefavour », en réalité « aphyllante de montpellier » quelques autres commentaires dans ses notes, on trouve toujours des commentaires méthodologiques, des descriptions imagées incluant ses réflexions du moment, un mélange de noms latins et de noms communs, des identifications quelquefois approximatives ou erronées. elle découvre chez nous pour la première fois des plantes exotiques clairement identifiées : au revest, le pittospore de chine ; au jardin botanique de l’’hôpital de saint-mandrier, « le seul quercus oeglops, chamaerops, dattiers (phoenix), sterculie platanifola, magnolias, poivriers… » et à hyères, des palmiers, agaves, etc. le jardin botanique de l’hôpital de saint-mandrier curieusement, elle ne cite pratiquement aucune plante des marais littoraux, pourtant si abondants dans le sect...


13. ❂ Balades historiques La vallée du Las, voie de pénétration régionale

...❂ balades historiques la vallée du las, voie de pénétration régionale source : la préhistoire de toulon, par jean layet l’archéologie mon premier étonnement, en présence de la lacune telo, était surtout causé par ce fait qu’elle englobait la vallée du las en entier. il me paraissait inconcevable que cette longue voie naturelle, destinée à mettre en contact les occupants de la zone littorale et ceux du haut-pays, n’ait pas été utilisée par eux avant les temps romains… le géographe le las, qui creusa cette vallée, était aux ages préhistoriques une véritable rivière dont le lit roulait des eaux toute l’année durant. la sécheresse qui augmente de siècle en siècle, puis aux temps modernes, le captage du ragas, la dérivation de la rivière neuve, le pompage de saint-antoine, ont transformé son régime en celui de simple déversoir d’eau de pluie. il prenait naissance à la source du ragas qui jaillit au pied de falaises de calcaire urgonien, au fond d’une dépression que dominent les derniers contreforts du grand cap et la hauteur du revest. il descendait sur dardennes, contournant le faron à l’ouest et se dirigeait vers la mer. avant la déviation ordonnée par vauban, il se jetait dans une anse de la petite rade colmatée partiellement par ses alluvions, et qui s’ouvrait entre le faubourg du pont du las et castigneau. sa longueur ne dépasse pas 7 kilomètres, mais ses affluents, jadis d’une certaine importance, ont largement étendu la superficie de son bassin. c’étaient, sur la rive gauche, un long torrent qui, entre le faron et le mont combe, lui amenait les eaux de la vieille valette et de la ripelle et dont le lit, aujourd’hui presque compl...


14. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

... certes le roy rené a bien vendu le revest à la famille d'arcussia, mais il s'agissait d'un hameau d'esparron-de-pallières, à 105 kilomètres au nord d'ici, hameau déjà ruiné au xie siècle et dont il ne subsiste aujourd'hui qu'une jolie chapelle, notre-dame-du-revest. que pierre nous pardonne, lui, fondateur des amis du vieux revest et qui a tant fait pour l'histoire du village. ces précisions sont pourtant essentielles, parce nous sommes également responsables de la propagation de ces erreurs vu que nous nous faisons l'écho depuis des années de ces travaux, avec ces inexactitudes que nous avons reproduites et diffusées. pierre avait rétabli la vérité historique en 1991 dans un billet paru dans le bulletin municipal. mais tous ses écrits antérieurs la reproduise encore.les passages litigieux seront colorés de vert. situation le revest est à 7 kilomètres au nord-ouest de toulon ; on y arrive par la départementale 846. le revest domine la profonde et large vallée d'ardène. les oliviers grimpent à l'avant des mamelons rocheux. de rares mûriers sont les survivants d'une culture autrefois importante. les carrières de bauxite et de pierres sont riches. on repéra, jadis, des mines de houille qui ne furent jamais exploitées ; une mine de plomb à gangue de quartz aurait été exploitée par les celto-ligures. le mot « revest » désigne l'envers de l'endroit. il signifie aussi le revers. en provençal, il a donné « revessa », renversé ou renverser. dans son trésor du félibrige, mistral a signalé au mot « revèsso » l'expression « revesso de mistrau », vent d'ouest-nord-ouest, ce qui situe le lieu dans un secteur nord. revest est donc synonyme de « ubac », versant à l'ombre, son opposé étant « l'adrech, ou l'adret, ou l'adroit ». une tour habité par les commoni, peuplade celto-lygienne, dont il était le chef-lieu, le revest contenait ses maisons dans la partie comprise entre la tour et l'enceinte qui s'élevait sur l...


15. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Val d'Ardène

...📖 le revest de p. trofimoff val d'ardène pour en venir à l'orthographe actuelle, nous nous reporterons à une lettre de m. b. durand à m. mareuse, du 27 octobre 1923. après avoir souligné combien les noms propres étaient « massacrés » par les « notaires ignorants et les graveurs de cartes », m. durand expose toutes les formes rencontrées sur les textes anciens. plus de dix orthographes différentes. pour l'orthographe moderne, « il provient d'une confusion et d'une fusion du nom propre avec la préposition de qui le précédait généralement à une époque ou l'apostrophe n'était pas encore d'un usage courant. quant à 1' s final, dont on agrémente aujourd'hui le mot, je n'en vois aucune explication, ni logique, ni étymologique, ni esthétique... le malheur est que cet s malencontreux a fait croire que dardenne était un pluriel, d'où le dernier contresens vallée des dardennes. il convient donc d'écrire vallée de dardenne, ou mieux encore, si vous ne craignez point une pointe d'archaïsme, val d'ardène... » (revue des Études anciennes, tome 27, 1925). place forte de l’arrière-pays toulonnais, le « castrum de vallis ardena » fut le lieu de repli d'une peuplade établie sur les bords de la valdas (l'as, le las). proche des commoni (établis au revest, peut-être de la même famille), elle communiquait avec sa voisine et les établissements similaires de la côte par code. complexe puzzle de l'architecture défensive méditerranéenne, solide point d'appui de la défense toulonnaise, les caractéristiques militaires et religieuses, voire conventuelles, y dominent. la tour celto-lygienne (au côté du dixième moulin) est l'élément premier autour duquel le tout fut composé. magasin d'armes et de marchandises, cette tour, par son architecture et l'épaisseur de ses murs, était inexpugnable. un mur d'enceinte clôturait l'ensemble. les vestiges de cette muraille ont dû servir à la construction du dixième moulin et du « parido...