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16. 🚒 Incendies L’incendie du Revest-La Valette-La Farlède en 1964

...🚒 incendies l’incendie du revest-la valette-la farlède en 1964 juillet 1964, il ne pleut plus depuis 3 mois, l’été est sec et torride. vendredi 10 juillet 1964, vers 15 heures, le mistral souffle à plus de 100 km/heure. soudain de la carrière de bonnevialle qui se trouve sur la route du barrage surgit une colonne de fumée. immédiatement un feu explose, file à grande vitesse vers le sommet de la tourrevelle et fonce vers la ripelle. vers 16 heures, le flanc sud du mont combe est rouge de feu, de la barre rocheuse au chemin départemental 46. dans un crépitement abominable, les flammes font des bonds de plusieurs centaines de mètres et avalent les cultures et le maquis. rarement un incendie a été aussi violent. le château de la ripelle est menacé, il faut évacuer les retraités de cette « maison de repos ». ailleurs chacun défend son habitation comme il peut : avec une branche coupée à la va-vite. les campagnes sont entretenues, mais le paillon est présent partout, le feu en profite. il dépasse rapidement la moutte et grimpe vers tourris par les argierès, dévore les chabertes. nous entendons des explosions : ce sont des munitions abandonnées dans le maquis lors des combats pendant la libération. le feu longe le c.d. 46, dépasse les favières en évitant la campagne mazza et plonge sur le coudon. la résidence du préfet maritime à baudouvin est menacée. les contours de l’incendie de juillet 1964 vers 23 heures, c’est autour de la « maison des gueules cassées » qu’il faut lutter. les 120 pensionnaires sont évacués en hâte par des cars de police-secours vers le centre hospitalier de toulon à brunet. toute la nuit le coudon flambe. le feu descend jusqu’au partegal, jusqu’à la farlède. sur son front nord, il tente une montée vers solliès-ville. alors le vent tombe totalement, le feu cesse sa course folle : il s’arrête. il a détruit plus de 800 hectares en une après-midi et une nui...


17. 🏭 Industrie Les dix moulins de la vallée de Dardennes

...re l’eau vers d’autres destinations. le 9ème moulin qui fut un temps paroir à drap, et que l’explosion du martinet à poudre en 1684 rendit méconnaissable tant les dégâts, aux installations et aux appartements du meunier, furent importants. on arrive en fin d’itinéraire : le 10ème moulin de dardennes qui fut longtemps un des trois volets des moulins de la vallée avec les 8ème et 9ème moulins. c’est une important bâtisse à la très belle charpente et qui conserve encore tous les conduits de bois pour faire descendre et conduire les grains depuis le sommet de la bâtisse, où ces grains montaient par des poulies jusqu’aux meules où se retiraient les farines. pendant la guerre, il servit d’entrepôts aux archives de la dcan. il reste le moulin dit « du colombier », aujourd’hui englouti dans le barrage lors de sa construction. mais nous savons beaucoup de choses à son sujet grâce à maurice et george sand. les dessins de m. sand nous donnent de nombreux renseignements sur les moulins, les notes de sa mère aussi. contrairement à ce que l’on pense généralement, ce n’était pas un moulin à farine, mais un moulin à huile. sa construction fut autorisée par délibération de la commune de toulon le 15 septembre 1792. cette autorisation fut accordée à antoine hubac, barthélémy artigues, vincent et blaise artigues, tous beaux-frères, habitant le terroir de toulon. le terrain, où allait être construit le moulin, appartenait à louis artigues et était attenant au canal qui alimentait les moulins à farine de cette commune, distante d’un quart de lieue des moulins de dardennes. il ne pouvait donc pas nuire au bon ...


18. 🏭 Industrie Il y avait le moulin du Colombier

...🏭 industrie il y avait le moulin du colombier la construction du mur du barrage a imposé la démolition du moulin du colombier et la déviation d’une partie du chemin vicinal n°2. le moulin du colombier était en service depuis septembre 1796 et, à cette date, son propriétaire s’appelait alors sieur d’artigues. l’enquête sur le projet d’établissement du barrage a été organisée entre le 1er et le 22 juin 1908. les revestois ont approuvé le projet avec plusieurs réserves : art. 1 : qu’une fontaine à jet continu, d’un débit régulier de trois litres par minute, avec réservoir d’un demi-mètre cube, soit établie au colombier, sur la route, art. 2 : que des concessions d’eau soient délivrées dans la commune du revest, au tarif de la commune de toulon, art. 3 : que, dans le cas où la compagnie des eaux couperait, par des travaux de construction du barrage, les eaux du paridon et de dardennes : 1- une fontaine fût créée au paridon avec un débit continu de douze litres par minute et un lavoir de 8 mètres de longueur, 2 mètres de largeur et un mètre de profondeur ; 2- il fût restitué à la fontaine publique de dardennes un débit d’eau égal à celui qu’elle a actuellement, soit dix litres par minute. art. 4 : que les intérêts agricoles et industriels des usagers du béal et de la vallée de dardennes soient sauvegardés, art. 5 : qu’une rente annuelle et perpétuelle soit servie à la commune du revest par la compagnie des eaux ; et si toutefois la compagnie des eaux était déchue de ses droits, que la même rente fût payée par quiconque se substituait à elle. le 26 septembre 1908, m. meiffret pierre, maire du revest, donna un avis favorable à condition que la compagnie générale des eaux prenne en compte les réserves des revestois. le moulin et le béal (partie haute) ont été détruits lors de la construction du barrage en 1909. source : texte de claude ...


19. 🚌 Autobus, cars & Co Histoire des transports en commun entre Toulon et Le Revest

...lus immédiats. ce service pourrait être géré par une coopérative ouvrière ou un service municipal (loi du 31 juillet 1913 et décret du 1 er octobre 1926). » le 14 mai 1937 , le député zunino propose au préfet du var une solution 2. selon le député, « puisque m. bouchard reste sourd à toutes sollicitations et la population ne peut tolérer cette inertie /.../ un servi ce de cars appartenant à notre commune pourrait être autorisé à fonctionner sur son territoire en continuation des services existants /.../ pour éviter un stationnement à l’emplacement utilisé par l’autobus bouchard, le nouveau stationnement serait prévu sur un terrain particulier, clos de murs, appartenant à m. laure, propriétaire qui le céderait gracieusement. /.../ je soumets (aussi)) à votre à votre appréciation une entente qui pourrait être consentie entre la commune et m. long, propriétaire des cars antoine pour le prolongement du parcours de ces cars du point d’arrêt du barrage au village du revest et retour par le chemin n°46. » le 30 avril 1937 , le préfet du var annonce au député du var m. zunino qu’il intervient immédiatement auprès de l’ingénieur en chef des ponts - et - chaussées afin d’examiner la possibilité d’apporter une amélioration à la situation. le 7 décembre 1937 , m. bouchard confirme son intention de vendre la ligne du revest, et « à prix égal vous accorde la préférence /.../ le matériel compris dans la vente, se compose de deux véhicules « berliet » 20 cv. type g.d.h., visibles dans notre garage et d’ailleurs connus de vous, puisqu’ils assurent le service. le prix total et forfaitaire, serait de 110.000 francs payables au comptant. » le 23 décembre 1937 , le maire du revest-les-eaux répond que le conseil municipal, réuni le 22 décembre 1937, « a pris connaissance de vos propositions, les envisage sous un aspect favorable et vous prie de vouloir bien différer l’acceptation de tout...


20. 🚌 Autobus, cars & Co Le Roulez de Dardennes

...les habitants de dardennes et du revest voulaient eux aussi avoir leur tramway pour se rendre à toulon. la réalisation de cette liaison a pris plus de 20 ans. c’est finalement le tramway « classique » qui a été construit sur la ligne 5a jusqu’à la chapelle des moulins, le prolongement vers le hameau de dardennes et le village du revest devant se faire plus tard. le confort des tramways était plutôt spartiate, mais à la belle saison, les remorques normales étaient remplacées par des baladeuses (ouvertes sur les cotés) ou des baignoires. le dimanche, dans les années d’après guerre, les toulonnais aimaient prendre le 5 avec un repas froid pour venir pique-niquer au bar de la chapelle des moulins et passer une journée à la campagne à peu de frais. le patron permettait qu’on utilise ses tables à condition de lui acheter les boissons. le tramway n’a jamais dépassé la chapelle jusqu’à la fin de son exploitation en 1952. les liaisons avec dardennes, le barrage et le revest ont été faites par autocars de sociétés privées (meiffret, raynaud ...) qui ont fusionné par la suite avec la rmtt. source : texte de claude burle publié dans le bulletin n°56 de septembre 2011 de la société des amis du vieux revest et du val d'ardène. ...