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11. ⌘ Préhistoire Vestiges préhistoriques à La Ripelle

... des argériès, se dresse l’ubac du faron dont la partie ouest ne manque pas de grottes qui furent occupées à la même époque. des archéologues ont découvert et fouillé ce site dès 1938 ; nous pouvons avancer que les bergers du coin connaissaient cet endroit ; peut-être ont-ils servi de guides à ces archéologues. les trois grottes importantes s’ouvrent dans la partie ouest ; ailleurs, la base de la falaise présente des renfoncements dont un au sol très patiné comme s’il y avait eu une longue fréquentation sur ce sol rocheux. à l’extrémité est, à proximité de la source de la ripelle, un effondrement béant : c’est le ragage du figuier, nommé ainsi à cause de cet arbre dont la ramure émerge du lieu dont le sol a manifestement été fouillé ; c’est un aven- aven- grotte-atelier plusieurs une-atelier peu profond (environ 5 mètres) ; un éboulis peu incliné permet d’atteindre le fond de cette sorte de cône ; accès actuellement très difficile à cause de la végétation dense. les renseignements donnés ci-après proviennent des documents du centre archéologique du var. les objets trouvés lors des fouilles font partie de la collection r. gérard au dépôt de fouilles de toulon. monsieur rené gérard a publié le résultat de ses recherches dans le bulletin n° 53 de la société de botanique, de géologie et d’entomologie du var. les trois grottes principales ont été nommées en fonction de leur taille et des vestiges découverts : la grande aven- grotte-atelier plusieurs une-atelier de la ripelle la petite aven- grotte-atelier plusieurs une-atelier de la ripelle l’atelier de la ripelle elles ont été découvertes et foui...


12. ✍ Écrivains et artistes George Sand au Revest

.... le roman a été publié en 1865. ✽✽✽✽✽✽✽ extraits de textes de l’agenda-journal tenu par george sand lors de son séjour à tamaris en 1861. sources : bibliothèque nationale, négatifs photos inversés en positifs puis montage multimédia par gérard scolca et « george sand : voyage dit du midi » par maurice jean – éditions snip 1991. mercredi 17 avril 1861 : visite de la « vallée de dardenne ». « très beau tems, un peu de mistral à midi surtout le long de la mer. mon torticolis est guéri mais le bras me fait plus de mal qu’hier. je me porte bien quand même sauf un peu de fièvre tous les soirs. nous partons à midi dans le nouveau berlingot à matheron1, qui est plus commode que l’ancien. /…/ il nous mène à la vallée de dardenne qui n’est qu’une grotte étroite, fertile, arrosée d’un beau ruisseau, où poussent des myrtes et des lauriers roses dans les fentes des rochers. il y a aussi de tems en tems de beaux peupliers et des aulnes autour des moulins. cependant ce n’est pas la fraîcheur et la différence annoncée par les indigènes. /…/ en somme c’est un pays pittoresque et une jolie promenade. /… / on m’avait promis par ici des forêts de châtaigniers que je n’ai pas aperçues. ils sont fort blagueurs ou se contentent de peu en fait de verdure, les toulonnais. » visite au revest 6 mai 1861 lundi 6 mai 1861 : première visite au château de dardennes. maurice est de la partie. elle écrit dans son journal : « voilà un endroit pour un bon roman ». « le vent tombe peu à peu et ce soir tout à fait. /…/ nous partons à midi, pour la vallée...


13. 🚒 Incendies Le terrible incendie d’août 1906 au mont Caume

...it 2h30 du matin lorsque là-haut, au « creux », nous avions laissé, la hache au poing, la poignée de braves que conduisait la garde meiffret, tenter d’arrêter le feu. depuis les flammes avaient continué leur œuvre, franchi le ravin et elles étaient arrivées au col des morts, « les mouarts », qui joint le caume à la vaste et aride plaine des amandes. le vent, qui soufflait pourtant faiblement de l’est, devenait une terrible menace pour les forêts de rebuou et d’orvès. le danger était grand. les habitants du broussan, guidés par le garde forestier m. pailhan, le garde champêtre louis giraud et l’adjoint hermitte, comprirent que tout dépendait d’eux. ils se mirent bravement à l’œuvre et, utilisant le large couloir de pierrailles qui descend des baux à la fouan de martin, un peu à l’ouest de la grotte de l’homme fer, ils ouvrirent sur 200 mètres de long une large tranchée. puis, au mieux, ils attendirent.les gens du revest veillaient de leur côté. deux fois, marius isnard monta vers la fouan, puis le moment paru favorable et on alluma le contrefeu. ce fut décisif.les flammes s’avançaient avec rapidité, tordant les pins comme fétus de paille, l’incendie semblait redoubler de violence, puis soudainement, le contre-feu fit son œuvre et tout s’éteignit. c’était fini. il était quatre heures de l’après-midi (vendredi 24 août). fantassins, marsouins et marins respirèrent. le commandant nogues, de l’infanterie coloniale, venait de choir de son cheval dans une sente escarpée et s’était blessé à la jambe. au revest, le drapeau est en berneet les soldats font la popote dans la petite ville à l’accou...


14. 🚶 Balader au Revest Source de la Ripelle et grotte préhistorique atelier

...🚶 balader au revest source de la ripelle et grotte préhistorique atelier les dimanches 3 et 17 avril 2016, les associations société des amis du vieux revest et loisir et culture ont organisé une sortie pédestre de 9h00 à 12h00 avec pique-nique sur les restanques du château de la ripelle. les photos de cet articles ont été prises par notre guide bénévole, marie-hélène taillard. une boucle au départ du château de la ripelle qui nous amène jusqu'à la grotte atelier située au sud-est du mont combe. 7,5 km environ, 300m de dénivelé, accès à la grotte en zone de végétation dense. départ du parking du paddock, montée vers le château, piste de la ripelle qui longe le ruisseau des argéries, puis piste de la source (vestige de four à chaux), source de la ripelle (ancien bassin, tunnel, captage). de la source, montée vers le collet des argéries, puis le long d'un canyon vers le pont naturel et enfin vers la grotte atelier qui fait face à la vieille valette (ou vieux tourris). voir l'article sur la grotte atelier >>> là. retour au château de la ripelle par le chemin du jas. attention ! vêtements résistants, chaussures de marche, eau sont indispensables. ...


15. ☨ La Résistance sous l'occupation allemande Les interventions du Groupe Dionisi, selon un entretien avec Lucien Scolca

...☨ la résistance sous l'occupation allemande les interventions du groupe dionisi, selon un entretien avec lucien scolca en 1944, les résistants du groupe dionisi attaquent le château de la ripelle et la boulangerie allemande de dardennes entretien avec lucien scolca les amis du vieux revest : il est évident que vous êtes plutôt jeune par rapport à de nombreux combattants de la guerre 1939/45. lucien scolca : c’est exact, je suis rentré dans la résistance en 1943, je n’avais pas 17 ans. avr : comment avez-vous contacté la résistance ? lucien scolca : j’habitais au fort rouge. lors des alertes, pendant les bombardements, nous nous abritions dans une grotte sur les pentes du faron. c’est là qu’un jour j’ai rencontré deux jeunes qui m’ont dit qu’ils étaient résistants : j’ai proposé mes services. á cause de mon jeune âge, ils ont refusé. j’ai dû insister en faisant remarquer que je pouvais être utile, par exemple, comme agent de liaison. j’ai donc pu rejoindre un groupe, celui de dionisi qui appartenait à la 13ème compagnie des f.f.i. du var. avr : rejoindre le maquis, est-ce rejoindre une armée secrète avec des règles de vie très militaires ? lucien scolca : absolument pas. á partir de 1943, nous étions une quinzaine dans un cabanon qui se trouvait dans l’actuel lotissement de la grenette, à gauche de la route qui monte à la tourevelle. nous vivions tantôt dans ce cabanon, tantôt dans nos familles. a partir de mai-juin 1944, nous sommes restés en permanence dans ce lieu entouré d’oliviers, d’où le nom que nous avions pris : « le maquis des oliviers ». il n’y avait pas de règle stricte si ce n’est celle de la prudence et d...