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6. ♒ Les eaux du Revest Les mines d'eau, suite

...♒ les eaux du revest les mines d'eau, suite parfois en randonnée nous rencontrons des ouvrages qui nous laissent perplexes... là c'est une galerie à flanc de vallon, là c'est une ferme sans puits.comment nos ancêtres pouvaient-ils vivre sans eau durant 4 mois d'été, dans des lieux si déshérités ? oraison : fontaine et lavoir alimentés par mine d'eau "pour comprendre, il faut voir, et pour voir il faut commencer par regarder. cela n'est pas acquis : on peut regarder sans voir, et voir sans comprendre. l'acquisition du regard est à l'origine du processus cognitif. comprendre, cela veut dire vivre la réalité, découvrir le sens, le contexte et les raisons". emmanuel anati - aux origines de l'art les techniques d'adduction d'eau nous ont fait perdre leur savoir faire... alors commençons par le commencement : l'infiltration des pluies ou la recharge des nappes le milieu naturel fonctionne comme un ensemble de réservoirs en cascades. le sol recueille les pluies ( 46% ruisselle plus ou moins rapidement selon la pente et la perméabilité des terrains) et le proche sous-sol s'humecte et retient une partie de l'eau qu'il redistribue vers l'atmosphère par les plantes qui "évaporent et transpirent" ( 2/3 des pluies repartent ainsi vers l'atmosphère en france, 18% en provence vu l'adaptation des plantes à la sécheresse) et 36% gagne le sous-sol profond. les couches profondes du sous-sol alimentées par infiltration sont le réservoir des nappes. ces nappes ne sont pas immobiles : un flux quasi horizontal les parcourt d'amont en aval, des zones d'infiltration vers les sources et les rivières. fortement freiné par l'écoulement dans les pores des roches, ce flux est lent. alors qu'une rivière s'écoule sous nos yeux à un mètre par seconde, il...


7. ☥ Cultes et religions La Chartreuse de Montrieux et Le Revest-les-Eaux

...te;sence d'étienne, évêque de toulon, écrit et signé par guillaume de valbelle, notaire de toulon." (f° 60 - verso) en 1224, le chapitre général de l'ordre des chartreux a enterriné et confirmé, par un acte du 10 des kalendes de juin (21 mai), les donations faites à montrieux en 1222. a propos du mot "besson", dont il a été question, nous signalerons qu'un quartier de malvallon, il existait une fontaine dite des "3 brousson ou besson". en provençal, brousson veut dire jumeau. les activités agricoles et industrielles des chartreux les moines furent non seulement des agriculteurs, mais ils surent très vite exploiter toutes les activités industrielles qui s'offraient à eux en fonction des richesses du pays. ils créèrent des moulins à huile et à farine, ils créèrent un paroir à drap, une tannerie. ils exploiteront des mines de cuivre et, utilisant le combustible du bois, tireront du minerai, des lingots qui, façonnés, leurs permettaient de fabriquer de nombreux ustensiles dont les habitants des villages voisins furent les premiers à se servir. nous rappellerons qu'au quartier des bouisses, tous les ustensiles servant aux vendanges furent ceux qu'avaient confectionnés les moines. ces mines de cuivre étaient situées à raboeuf, l'auberte, la vignasse, baralet, la font martin. mais c'est dans la fabrication du verre que les chartreux excellaient. ils furent les premiers à exploiter les carrières de sable des environs : bramapan, le plateau d'agnis, à bousquet et très certainement à malvallon, orves, tourris. c'est en effet par acte de 1197 que l'évêque rainier (1188-1214) concède ses droits sur le terroir d'orves, concession qui fut confirmée en 1254 par l'évêque benoît d'align...


8. ♊ Un musée virtuel Les monnaies massaliotes

...aines ou de divinités, des têtes ou avant-trains d’animaux réels ou mythologiques. la plupart de ces monnaies correspondent aux oboles, certaines auraient pu être émises, non pas à marseille, mais dans des cités d’asie-mineure. la fin de ce monnayage se situe vers 450 avant j-c. avant de poursuivre, et pour la clarté de cet exposé, je vais indiquer quels étaient les systèmes monétaires utilisés par les grecs.il y avait deux systèmes principaux :a)- le système éginétique dont la mine de 628 grammes se divisait en 100 drachmes de 6,28 grammes.b)- le système euboico-attique dont la mine de 436 grammes se divisait en 100 drachmes de 4,36 grammes. la drachme était l’unité monétaire. énumération des principales monnaies les poids indiqués sont ceux du système attique. monnaie de compte talent = 60 mines = 6000 drachmes poids : 26,200 kg mine = 100 drachmes poids : 436 gr monnaies métalliques (en argent) décadrachme = 10 drachmes (rarement émis) 43,60 gr tétradrachme = 4 drachmes (très courant) 17,44 gr statère = 2 drachmes (assez courant) 8,72 gr drachme = unité monétaire 4,36 gr tétrobole = 4 oboles (peu courant) 2,92 gr triobole = ½ drachmes (rarement émis) 2,18 gr diobole = 1/3 de drachme (peu courant) 1,45 gr obole = 1/6 de drachme (très courant) 0,73 gr il y avait également des divisions de l’obole, mais peu usitéesil y avait aussi des monnaies de bronze nécessaires pour les petites transactions. ces monnaies valaient en général 1/8 d’obole. du fait de leur peu de valeur intrinsèque, elles étaient de frappe négligée et taillées de façon assez irrégulière et pouvaient varier considér...


9. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Le Revest-les-Eaux par Trofimoff

...ourd'hui qu'une jolie chapelle, notre-dame-du-revest. que pierre nous pardonne, lui, fondateur des amis du vieux revest et qui a tant fait pour l'histoire du village. ces précisions sont pourtant essentielles, parce nous sommes également responsables de la propagation de ces erreurs vu que nous nous faisons l'écho depuis des années de ces travaux, avec ces inexactitudes que nous avons reproduites et diffusées. pierre avait rétabli la vérité historique en 1991 dans un billet paru dans le bulletin municipal. mais tous ses écrits antérieurs la reproduise encore.les passages litigieux seront colorés de vert. situation le revest est à 7 kilomètres au nord-ouest de toulon ; on y arrive par la départementale 846. le revest domine la profonde et large vallée d'ardène. les oliviers grimpent à l'avant des mamelons rocheux. de rares mûriers sont les survivants d'une culture autrefois importante. les carrières de bauxite et de pierres sont riches. on repéra, jadis, des mines de houille qui ne furent jamais exploitées ; une mine de plomb à gangue de quartz aurait été exploitée par les celto-ligures. le mot « revest » désigne l'envers de l'endroit. il signifie aussi le revers. en provençal, il a donné « revessa », renversé ou renverser. dans son trésor du félibrige, mistral a signalé au mot « revèsso » l'expression « revesso de mistrau », vent d'ouest-nord-ouest, ce qui situe le lieu dans un secteur nord. revest est donc synonyme de « ubac », versant à l'ombre, son opposé étant « l'adrech, ou l'adret, ou l'adroit ». une tour habité par les commoni, peuplade celto-lygienne, dont il était le chef-lieu, le revest contenait ses maisons dans la partie comprise entre la tour et l'enceinte qui s'élevait sur les ruines que nous trouvons aujourd'hui. construction très forte, solidement établie au sommet d'une colline, la tour pouvait, par ses dimensions, contenir une cohorte importante de gens d'armes avec leurs munitions. sans...


10. 📖 Le Revest de P. Trofimoff Les forges

...le différend qui l'oppose à la communauté du revest. À dater de 1785, les forges de val d'ardène exécutent tous les travaux en fer pour les bâtiments de la marine. en 1788, sous la direction de mm. ferrand et aguillon, les recettes de l'atelier ne furent que de 10 livres ; 375 livres auraient été dépensées pour l’entretien et les réparations (livres trésoraires de pierre morin, archives communales de toulon). mais les événements révolutionnaires apportent encore des perturbations dans la marche de l'établissement. en janvier 1792, le combustible, charbon de terre, manque. de nouveaux différends surgissent entre les autorités et le sieur joseph aguillon. celui-ci demande à conserver la jouissance des forges de val d'ardène, que possédait déjà son père, pierre aguillon. on échange des lettres, un avis favorable semble lui avoir été donné par le ministre de la marine (an xiii). par une lettre de m. blavier, ingénieur en chef au corps royal des mines, au conseiller d'État, directeur des ponts et chaussées. on apprend que, par acte notarié du 3 décembre 1819, le sieur aguillon a vendu les forges à mm. honnorat, colombeau et cie. le détail des installations et de la machinerie de cet établissement nous est fourni par « un projet d'affiches » qui date de 1820. «l'usine de dardenne» comprend une affinerie, un grand martinet à deux foyers, un petit martinet à un seul feu, 16 petites forges à bras, 4 petites forges de chantiers également à bras. ces machines, pour celles qui fonctionnent en dehors de toute main-d'œuvre, sont propulsées par un cours d'eau dérivé du canal communal de toulon, « dit le béal », mais le sieur aguillon payait une redevance à la ville. d’intéressantes précisions nous sont données sur le nombre d'ouvriers employés à la production, etc. lorsque « l'usine » marchait normalement, elle employait trente ouvriers. en 1820, cinq ou six ouvriers seulement sont occupés. en pleine ...