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Page 16 - 20 sur un total de 66 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


16. ♒ Les eaux du Revest Journée internationale pour les rivières - TPM - 14 mars 2023

...♒ les eaux du revest journée internationale pour les rivières - tpm - 14 mars 2023 14 mars 2023 : journée internationale d'action pour les rivières from toulon provence méditerranée on vimeo. les rivières sont des sites naturels fragiles en perpétuelle évolution, au gré des crues et des étiages. il est essentiel de les entretenir et de veiller au bon état de leur ripisylve (végétation des berges).découvrez la journée type de contrôle d’une technicienne de rivière de la métropole : suivi de chantier, consignes d’intervention et conseils auprès de l’entreprise spécialisée qui intervient entre les mois de septembre et mars afin de respecter l’impact sur la biodiversité et la période de repos végéta...


17. ⌘ Préhistoire Vestiges préhistoriques à La Ripelle

... datation du matériel découvert. jusqu’à l’ouverture d’un sentier réalisé par les escaladeurs toulonnais pour atteindre la falaise qu’ils voulaient gravir, il y a cinq ans, l’accès n’en était possible qu’à condition de se frayer difficilement un chemin dans un maquis très dense, à partir de la tourrevelle, ou par un couloir épineux à partir de la crête. les objets ont été trouvés à la surface du sol et jusqu’à un mètre de profondeur, notamment dans la plus grande. les fouilles successives ont trop remanié les niveaux pour permettre d’établir une stratigraphie significative. le sol garde encore la trace de ces fouilles. la grande grotte de la ripelle photo marie-hélène taillard aspect et situation la grande grotte on y entre, presque debout, par un porche naturel en ogive un couloir de 4 m de long débouche dans une salle de 7 m de long sur 2,50 m de large et 5 m de haut. elle est très éclairée par la lumière extérieure, et sèche. des concrétions calcaires indiquent qu’elle fut longtemps active. la petite grotte un trou dans la falaise, au ras du sol, tout près de la grande grotte donne accès à un couloir de 4 m de long où l’on se déplace accroupi. mais avant il faut s’y introduire en rampant par l’étroite ouverture. le couloir débouche dans une petite salle de 0,85 de large sur 1 m de haut et 3 m de long. un vaste abri sous roche juste après la petite grotte, la paroi change de direction, comme si le plateau se retirait. à trois mètres du sol, s’ouvre largement vers l’est une vaste grotte. il faut escalader quelques rochers qui forment de grandes marches. entre l’ouvertur...


18. 🐺 La faune revestoise Le pays revestois : un biotope qui évolue

...ural, nos restanques comme nos collines ne sont plus cultivées et entretenues. avant, le petit bois était ramassé pour faire les repas quotidiens. le bois plus gros était utilisé pour le chauffage l'hiver. avec l'arrivée du fuel et du gaz embouteillé, les cuisinières à bois ont été définitivement rangées. les charbonnières du grand cap sont des vestiges dont beaucoup ignorent qu'elles permettaient la fabrication du charbon de bois : pour beaucoup, il s'agit de vieux tas de ferraille ! avec l'électricité, la machine à laver le linge a fait disparaître les lessiveuses servant aux bugades. les troupeaux de chèvres et de moutons n'arpentent plus nos collines. n'ayons pas de regret, les femmes et les hommes qui vivaient dans notre commune n'avaient pas une vie très confortable. et si aujourd'hui, avoir l'eau dans chaque maison peut paraître naturel, qui donc se souvient que les douches municipales au revest ont cessé leur activité vers l970 ? la nature n'aimant pas le vide, le maquis a rapidement occupé l'espace libre. après les chênes kermès et les genets, ce sont les pins, les chênes verts et les chênes blancs qui ont changé l'image de notre commune qui est devenue verdoyante. l'arrêt de l'exploitation forestière a permis à de nombreux animaux d'imiter le maquis. les lièvres et les perdreaux ont été les grands perdants de ce changement, puisqu'ils préfèrent les espaces aérés. les lapins seraient les plus heureux si l'homme, entre temps, n'avait pas diffusé une maladie encore implacable de nos jours : la myxomatose. les grands vainqueurs sont bien sur les sangliers. dans nos collines, les chênes produisent entre une et deux tonnes de glands à l'hectare, et le gland est une nourriture parfaite pour les sangliers. cet animal, qui n'a plus que l'homme (quand il chass...


19. 🐺 La faune revestoise Le retour du loup dans les collines revestoises

...nde du maire de favas (aujourd’hui incluse dans bargemont). selon ce maire, les loups faisaient des dégâts en plein jour, s’approchant des portes des maisons. cela démontrait que, malgré les dix loups tués en 1806, la menace persistait. á cette date, le nombre de loups, dans le département du var de l’époque, était évalué entre 80 et 120. selon les archives départementales, en 1858 il y avait 5800 porteurs d’un permis de chasser : cette année-là, il a été déclaré 42 loups tués. le loup a progressivement disparu dans notre département plus particulièrement au 20ème siècle. il faut attendre 1987, pour une annonce de retour officialisé, d’abord dans le mercantour (vallée de la roya) puis en 1991 à saint-maymes, dans les gorges du verdon. le muséum d’histoire naturelle du var, qui suit le loup dans le var, comptabilise en 2010-2012 au minimum 5 loups dans le camp de canjuers, 1 loup dans le secteur de rians et 1 dans le secteur sainte-baume/roquebrussane/revest-les-eaux, suivis grâce à leurs adn. le loup a besoin d’un kilogramme de viande par jour et doit disposer d’un territoire de chasse d’environ 30000 hectares. chaque année, dans le var, 220000 € sont payés pour les dégâts causés par les loups. ce chiffre est modeste si on le compare aux 1,648 millions d’€ déboursés par les chasseurs varois afin d’indemniser le monde agricole pour les dommages causés aux cultures par les sangliers et cela malgré un prélèvement de 21787 sangliers en 2012-2013. photo p.orsini in bulletin réseau loup n°30 février 2014 ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ note du 15 jan...


20. 🐺 La faune revestoise Chronique des Bonelli - 2021

...es par michel rothier, avec la descente du cordiste philippe lèbre ; peu de temps auparavant, le petit et la femelle déchiquetaient une proie, la mère arrangeait le nid en déplaçant quelques branches. 9h52 : envol du nid de la femelle plein est la femelle escortée de deux choucas 9h54 : le petit se trouve au bord de l’amas de branchages, ramené progressivement vers le centre avant d’être attrapé et mis avec précaution dans un sac par le cordiste. quelques éléments sont également prélevés dans le nid, qui seront analysés par la suite. poste d'observation au pied de la falaise 10h05 : en haut de la falaise, après une remontée de 8 minutes à peine, le petit est examiné, pesé, mesuré. deux bagues lui sont posées, l’une métallique, à droite, du muséum national d’histoire naturelle (mnhn) qui comporte un numéro d’identification, l’autre à gauche de couleur violette, numérotée 62. ©cen-paca 2021 10h27 : le petit est remis au nid…cette opération aura duré moins d’une heure, l’aiglon ayant été retiré du nid 30 minutes à peine.à noter que les deux parents ont été aperçus de retour à proximité du nid en fin de journée(pour répondre à une question souvent posée, les oiseaux n’ayant pas d’odorat, le fait de manipuler le petit et de l’imprégner d’une odeur étrangère ne perturbe en rien les parents, contrairement à ce qui peut arriver avec les mammifères chez qui le risque d’abandon existe bel et bien). « la limitation des risques de dérangement pendant la saison de reproduction, de janvier à juillet...