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Page 6 - 10 sur un total de 17 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. ♒ Les eaux du Revest Quel est le nom de la vallée ?

...e et de petites monnoies » (sources : soirées provençales, 2ème édition t.2, page 80)mistral cite un message de 1710 : « on a commencé à payer les soldats et les officiers avec les pièces de deux liards qu’on fabriq ue à dardennes. » il ajoute, selon d’autres, la dardèno tirait son nom d’un gentilhomme de marseille, appelé m. d’ardennes, sous la direction duquel cette monnaie fut frappée.m. moutier dit au contraire que « lambert dardenne, ouvrier à la monnaie deromans en 1355, a laissé son nom à cette pièce. » cette dernière origine semble beaucoup moins probable que les précédentes, et surtout que la première. 1900 ( ?) dictionnaire national des contemporains(tome cinquième- page 353)michel françois-emile : peintre, critique d’art, membre de l’institut a peint, en 1905, « le pont de dardennes – var » ? le littoral du var, édité par le syndicat d’initiative de toulon(page 15)7° - vallée de dardennes (omnibus). monter au gouffre du ragas. au retour, visiter la grotte et le souterrain de la baume, rive droite du las. a pied : 7 kil.8° - ascension du coudon (706 m). tram. de la valette, route militaire ou à travers bois : 2h ½ à pied. entrée du fort interdite. vue splendide sur le littoral, jusqu’à nice et la corse par temps clair. retour par le col des favières et la vallée de dardennes (omnibus).9° - le revest (omnibus). très ancien village, dominant la vallée dedardennes. retour par les pomets et prendre le tramway des routes au terminus. a pied : 6 kil. 1900 la sp&eac...


7. ☥ Cultes et religions L'église Saint-Christophe

...ille une bouteille à l’intérieur de laquelle se trouvaient des papiers. il fit part de sa trouvaille à notre premier adjoint, m. moretti. la bouteille fut cassée et l’on prit connaissance de ce qui était porté sur les différents papiers. le plus important, écrit à l’encre, mentionnait: « l’an 1867, sous le pontificat de pie ix, jordany, évêque de fréjus, césar martinencq, curé, émile teissier, maire, ont construit cette gloire en l’honneur de la vierge immaculée. » ce papier est signé martinencq, curé du revest et porte le tampon de la paroisse revestoise. on a trouvé aussi des cartes de visite de tous ceux qui ont travaillé à la modification, décoration de l’église à cette époque. c’est ainsi qu’on a trouvé des cartes de visite de a. charlois, peintre ; eugène apy, peintre de marseille. sur un simple papier, la signature du maire, émile teissier, ainsi que celle de pierre galaved. la carte de l’abbé martinencq et celle de l’entreprise de décoration de peinture et dorure sabatier-pèbre,de marseille. en plus de ces papiers, il a été trouvé un petit chapiteau sculpté genre roman. les travaux durèrent deux ans. 1994 : au cours du 3e trimestre débutent les travaux de restauration. ils vont durer plus longtemps que prévu. il a fallu restaurer le clocher et la toiture principale. cette première intervention avait permis de déceler une fragilité de l’enduit intérieur menaçant de s’écrouler par plaques et, par endroits, un affaissement de la croisée d’ogive au-dessus de l’entrée principale ; affaissement lié à la suppression d’un contre-fort c&...


8. ☥ Cultes et religions Paroisse et Pénitents au Revest-les-Eaux

...pas conservé le prix-fait de leur construction, sans doute fait à l’amiable, mais seulement l’acte de remboursement de 315 livres par des consuls de la communauté au maçon melchior guibert. il leur avait en effet prêté la somme correspondant au salaire des maçons, pierre ripert et jean fauchier, qui œuvraient pour la « nouvelle église » et « les augmentations au moyen de deux chapelles ». les travaux durent se faire assez rapidement. entrepris le 29 janvier 1674, ils s’achevèrent en 1679 (7). mais on avait déjà prévu le décor. dès le 14 mai 1674, les consuls s’étaient retrouvés au château seigneurial, devant notaire, en compagnie des marguilliers du luminaire de notre-seigneur pour passer l’acte du prix-fait d’un grand tableau pour le retable de la nouvelle paroisse « en partie bastie ». le peintre toulonnais, pierre le roy s’engageait à peindre dans les six mois un « plat fons » de treize pans de haut sur neuf de large (3,15 m x 2,15 m), orné d’une assomption de la vierge surmontant l’image des saints patrons de l’église, saint jacques et saint christophe. le prix convenu, 150 livres, dont 50 livres d’acompte, était tout à fait convenable et provenait en partie des quêtes de la confrérie luminaire et très probablement des notables qui s’engageaient en épaulant les marguilliers. ce tableau, signé le roy, forme toujours le point focal de l’église, au centre du chœur. honnête sans plus, il est pourtant d’une conception tout à fait originale, voulue d’ailleurs par les commanditaires qui avaient exigé que la composition soit d’une invention nouvelle, et ne reproduise pas, comme il est si fréquent, qu...


9. ☥ Cultes et religions L'Assomption, tableau de Pierre Le Roy en 1675

...t moderne, spécialité art moderne et contemporain 2013 ... le culte marial, très présent en provence, s'intensifie au xviie siècle et nous pouvons le mesurer par la multiplication des vocables dédiés à la vierge. selon l'ouvrage de marie-hélène froeschlé-chopard121, ils seraient même cinq fois plus nombreux qu'au xie et xiie siècles.la région se divise en deux principaux cultes : celui des saints de l'Écriture et le culte marial. cependant, nous observons que selon les parties du territoire, ce dernier est plus ou moins illustré. en effet, la présence du culte marial s'intensifie nettement dans les lieux les plus isolés, où la nature domine. cette constatation permet de mettre en relief l'importance du rôle protecteur que les habitants accordaient à la vierge. ... les chartreux sont aussi à l'origine de la commande de la dernière œuvre de notre catalogue. il s'agit des chartreux de montrieux, établis au revest-les-eaux. ces derniers demandèrent en 1674 au peintre pierre le roy de réaliser une assomption pour l'église paroissiale saint-christophe alors en construction. nous avons très peu d'éléments au sujet de ce peintre, il est vraisemblablement originaire de provence, du moins rien ne le rattache à une autre partie du territoire. le roy effectue cependant le traditionnel voyage à rome, où sa présence est signalée dans les stati anime (*) de 1664, à son retour il séjourne à toulon et à marseille. il réalise deux œuvres pour la commune du revest, une assomption commandée pour l'église paroissiale en mai 1674, puis une annonciation pour les pénitents blancs. lorsque nous prenons connaissance du prix fait pour l'assomption, l'iconographie est strictement dictée au peintre. pierre le roy répond à la commande en représentant, au bas, saint jacques et saint christophe de chaque côté du tombeau. ce choix est explicité par les commanditaires dans le prix fait, en effet l'église paroissiale est placée, lors de sa constr...


10. ☥ Cultes et religions Balade autour de deux oratoires

...ration a été confiée à m. marcel confetti qui lestement en maître maçon a fait disparaître le toit et a réparé le pilier et la niche. mais au moment du remontage du toit, il s’est gratté la tête et en homme de bon sens a voulu avoir toutes les garanties de reproduction à l’identique. j’habite au voisinage de l’oratoire et m. confetti est venu me demander si je me rappelais de la forme exacte du toit. rien de plus simple : sur le champ je lui ai fourni une vieille carte postale du lieu où figure l’oratoire ; mais pour mieux aider notre maçon à distinguer les détails de l’architecture, je lui ai confié un tableau d’assez bonne dimension qui le reproduisait en grand. là, la scène est devenue charmante : en pleine nature, le tableau suspendu dans l’olivier voisin, m. confetti, avec tout son talent (comme le peintre !), a fait renaître l’âme de l’oratoire ! et depuis l’oratoire notre-dame a repris une deuxième jeunesse : apprécié par les passants, on y voit souvent des personnes en traitement à la post-cure qui montant au revest s’arrêtent pour y faire leurs dévotions ou simplement mettre quelques fleurs des champs accrochées au grillage de la grille en croix de la niche. oui, au grillage, car la grille ne suffisait pas à la protection des jets de pierres : pendant longtemps les gamins s’amusaient à lapider les statuettes. aussitôt elles étaient remplacées par les soins de bonnes gens, sans croyance particulière, mais qui ne supportaient pas une niche vide. depuis une dizaine d’années ces pratiques ont cessé à l’arrivée d’un voisin, m. thomas qui s’est mis à maintenir fleurie la niche de l’oratoire...