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6. ☥ Cultes et religions La Chartreuse de Montrieux et Le Revest-les-Eaux

...eacute; : le blason de la chartreuse dans l'église paroissiale. une pièce lisible, la plaquette publiée à la fin du siècle dernier (xixe) par l'abbé verlaque : une journée au revest (fréjus, imprimerie julien) le revest, certaines terres sûrement, avec d'autres à val d'ardène ("ardeau" dans certains textes), avait appartenu aux chartreux. l'immense domaine de la chartreuse de montrieux jouxtait les limites du revest, de toulon et des communes voisines : évenos, les solliès etc on a prétendu que chaque fois le revest était cité comme limite, c'était méconnaître la vérité. d'autres détails compliquaient les recherches. de très nombreux historiens avaient cru voir à malvallon (mauvallon) l'existence d'un couvent de trinitaires. après trente-cinq ans de recherches dans les différents fonds d'archive, tant communales que provençales, revestoises ou trinitaires, il fallait bien se rendre à l'évidence : jamais les trinitaires n'avaient eu de couvent à malvallon, ni avant ni après les modifications des limites communales entre toulon et le revest (1827-1828). la même erreur, il faut le souligner, avait été commise, mais avec un autre ordre, à val d'ardène, où la présence des chartreux avait été substituée à celle des templiers. le vaste domaine des chartreux mais revenons aux chartreux et aux limites anciennes de leur très vaste domaine. c'est aux recherches du chanoîne saglietto publiées en 1932-33-34 dans les archives d'histoire et d'archéologie du diocèse de fréjus et toulon que nous devons d'avoir pu cerner avec précision le domaine de la chartreuse aux abords du revest. dans une carte du cartulaire de montrieux, ses limites suivaient...


7. ♖ La tour du Revest La Tour

...ouverte qu'en 1865. on ne pouvait accéder à cette salle que par une échelle. une porte à double battant, montée sur gonds métalliques, se rabattait sur les murs de l'embrasure intérieure pour fermer l'entrée. pour consolider cette fermeture, une barre de bois, insérée dans le mur lors de la construction" était tirée en travers des vantaux. on barrait la porte. deux logements en auge, creusés dans la pierre, recevaient la barre : elle s'effaçait entièrement dans celui de droite; celui de gauche, plus court, recevait seulement son extrémité quand elle était placée en position de défense. ces deux alvéoles sont encore visibles. les moellons spécialement apprêtés pour recevoir la barre étaient mis en place lors de la construction ainsi que la barre. une trappe dans le plancher permettait, par une échelle, d'accéder à la réserve qui est devenue la salle du rez-de-chaussée d'aujourd'hui. en 1865, la municipalité voulut placer l'horloge communale sur la plate-forme. pour que les poids de l'horloge puissent descendre complètement il fallut casser en partie le plancher du premier étage. c'est alors qu'on ouvrit une porte, au ras du sol. un trésor ? monsieur rémy vidal signale, dans son étude faite en 1900, qu'il fut trouvé, lors des travaux d'ouverture de la porte dans le magasin voûté, "une grande quantité d'arcs, de flèches, de fers de lance, de boucliers ronds, en forme de marmite, tout à fait semblables à ceux que l'on découvre assez fréquemment dans la région des maures". qu'est devenu ce "trésor" ? aucun musée local ne le possède. il paraît étonnant que depuis l'abandon de la tour, au cours des siècles, aucune des municipalités du revest n'ait cherché à savoir ce que contenait le magasin du rez-de-chaussée auquel on accédait à l'origine par une trappe et qu'il fallut attendre 1865 pour faire cette découverte. l'intérieur l'intérieur a subi des transf...


8. 🎭 La maison des Comoni La Culture au cœur du projet

...enu le pôle culturel de l’agglomération. il jouait au château de dardennes, au pied de la tour, au stade de la colline, dans les oliviers, dans les rues du village. il nous fallait une salle! » jc. grosse explique aussi : « lors du mandat municipal de 83/89 a été évoquée la possibilité de créer une salle polyvalente. c’était la mode à l’époque comme la salle gérard philippe de la garde où on faisait un peu de tout, des expositions mais pas de théâtre ». le festival du revest avait déjà 5 ans. jc. grosse explique les débuts de l’association « les 4 saisons du revest » dans un livre « de l’impasse à la traverse, un parcours artistique vivant, les 20 ans des 4 saisons du revest », publié en 2003 par les cahiers de l’egaré. « un concours d’architecte a été lancé pour une salle polyvalente. j’ai suggéré au maire, charles vidal que ce ne soit plus une salle polyvalente mais un équipement culturel. » dans le n° 17 d’information communale de juin 1987, une interview de jc. grosse expose la politique culturelle de la municipalité et les besoins en terme de lieu d’accueil tant au niveau de la peinture que du théâtre : « (nous) avons un problème de lieu. pour avoir une politique culturelle permanente et pas seulement estivale, il nous faut (…) une maison des arts pour y organiser de grandes manifestations. or pour la construire, nous devons être subventionnés. nous ne serons subventionnés que si nous avons un projet d’utilisation très convaincant car bien sûr, nous ne sommes pas les seuls à vouloir jouer la carte culture. » extrait n°18 septembre 1987 : « une grande salle devenue indispensable. nous nous en sommes bien aperçus lors de la biennale de peinture qui ne peut plus évoluer, malgré sa haute qualité, faute d’un local plus grand. nous avons regretté son absence aussi lorsque le mistral a obligé d’interrompre le gala de l’école de danse. (…) » a noter que le terme de sal...


9. 🎭 La maison des Comoni Ce bon Docteur Godart !

...t : gradins, pont technique, son, lumière, plateau, tapis, rideaux… : 2,50mf dont 2,40mf de la région et de la drac 0,10mf de la mairie du revest » j. fenassile ne contredit pas ces chiffres :« la construction dépendait de la mairie et des subventions obtenues auprès du conseil général et de l’État. l’équipement n’a rien coûté aux revestois. l’État, le conseil général et le conseil régional sont intervenus. les revestois ne peuvent pas me reprocher le coût de l’équipement. et puis j’ai joué le mauvais rôle car j’avais toujours un œil sur les finances. par la suite on a négocié une convention avec le conseil général, le conseil régional et l’État pour le fonctionnement. moi, j’étais là pour faire rentrer nos moyens dans le budget, et la carrière nous rapportait moins. 600.000f tous les ans mais ça n’a pas pesé sur les impôts des revestois. »pour les détails des dépenses d’investissement, les bulletins d’information communale nous donnent quelques repères. le premier devis estimatif des architectes en mars 87 donne le chiffre de 4.890.000 f (info communale n°16) plus loin dans le même numéro on apprend que la vente des terrains de fontanieu a rapporté 1.084.200 f. (2 lots de 2500m2 à 200f le m2 (ce qui fait aujourd’hui 30.49€ !).pour la petite histoire un article paru dans le numéro 18 de septembre 1987 vante les mérites des terrains à vendre : « le seul ennui est son coût (de la salle) mais sans un peu d’audace on n’arrivera jamais à rien. le permis de construire est déposé et pour aider au financement, nous avons mis en vente deux terrains constructibles situés à fontanieu, plein sud, face à la mer et au niveau de la tour de l’hubac. dans le cas où quelqu’un de votre entourage de vos connaissances serait intéressé, conseillez-lui de prendre l’attache à la mairie. le prix de vente est fixé à 200 francs le m2 et la salle polyvalente verra donc un peu le jour, ...


10. 📖 Le Revest de P. Trofimoff La confrérie de la miséricorde

...📖 le revest de p. trofimoff la confrérie de la miséricorde source : le revest, tourris, val d'ardène, texte de pierre trofimoff en 1963 À l'instar de ce qui existait dans des villes et des villages plus importants, naquit une société de charité pour soutenir les désespérés, soigner les malades, aider les pauvres. l'action de cette association, dite « confrérie de la miséricorde », débuta au 17e siècle au revest. cette œuvre était en étroite liaison avec son homonyme de la grande cité voisine. l'apostolat de ces deux communautés fut parfaitement profitable aux malheureux. il suffit de compulser, aux archives communales, le dossier de « l'hôpital de la miséricorde » pour constater la générosité de tous les donateurs. dans une lettre du 29 novembre 1742, m. le curé du revest, l'abbé teissère, écrivait à m. artigue, secrétaire de la confrérie de la miséricorde à toulon, et lui accusait réception de 34 livres 16 sols, en le remerciant de la prochaine fourniture de 12 cannes de drap. en feuilletant les pages qui relatent l'histoire de cette fondation, nous constatons les besoins des « pauvres honteux » : médicaments, habits, nourriture. nous pouvons aussi lire les noms des différents recteurs et trésoriers du bureau de la confrérie. penchée sur les douleurs quotidiennes, la confrérie de la miséricorde sut se montrer efficace pendant la terrible épidémie de 1720. la peste sévissait avec, à son actif, les plus désastreuses victoires. la confrérie était là. elle prit les initiatives les plus audacieuses et les plus courageuses. le père zacharie, capucin, et l'archevêque d'aix donnèrent 300 livres chacun. les factures sont là, qui attestent l'achat de remèdes et de la « chox » (chaulx) nécessaires pour lutter contre le fléau. un certain nombre de liaisons avec toulon furent assurées par des voituriers qui « furent payés pour leurs activités ». christophe barbaroux, boucher, avait fourni le 16 j...