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11. ⛏ Carrières et mines La carrière de marbre de Malvallon

...compter le marbre.des gisements de marbre existent , en effet, un peu partout dans ce beau département du var et plusieurs de ces gisements sont exploités avec plus ou moins d'intensité. entre toutes ces exploitations marbrières, une des plus intéressantes, tant par la qualité de la matière extraite que par les moyens d'extractions employés, est sans contredit la carrière de malvallon dans la commune du revest, à deux pas de toulon.alors que les carrières de brignoles, par exemple, ou celles de pourcieux, encore,sont exploitées depuis longtemps, cette carrière de malvallon est de découverte récente. voici 16 ans, seulement, que le propriétaire exploitant actuel, m. b., au cours de promenades dans cette partie de la vallée de dardennes, découvrit, en effet, ce très important gisement et ce n'est en fait que tout récemment que l'exploitation, doté;e d'un outillage des plus modernes et très perfectionné, s'est placé au premier rang des carrières de notre département. l'histoire de cette jeune et forte entreprise est en elle-même assez curieuse: ayant par pur hasard découvert du marbre dans une propriété de famille, jusque là inculte, délaissée et sans valeur pour lui, l'exploitant actuel après s'être assuré par une étude des plus sérieuses de la réelle valeur de la matière découverte, et convaincu de l'importance que ce gisement de marbre pouvait prendre si on l'exploitait, résolut de consacrer ses efforts à cette tâche. il rechercha de l'aide et fut enfin secondé dans son labeur par un négociant toulonnais des plus connus m.paul r ... qui, avec une clairvoyance remarquable, sut saisir tout l'intérêt et tout l'avenir d'une telle entrep...


12. 🎍 Agriculture L'huile et le vin en Provence au temps des Gaulois

...éralement en situation de remploi, dans nombre de villages protohistoriques provençaux. on trouve d'abord des maies de pressurage, c'est à dire d'épaisses tables de pierre taillée en forme de disques munis de rainures d'écoulement et d'un bec verseur, sur lesquelles étaient écrasées les olives préalablement concassées et empilées dans des scourtins. le scourtin est une sorte de béret où la pâte d'olive est étalée, et qu'on empile les uns sur les autres avant écrasement. d'autres pierres sont des contrepoids que l'on suspendait à une poutre de bois faisant levier pour effectuer la pression. les plus rudimentaires sont de simples rochers percés d'un trou de suspension et appartiennent au type le plus ancien attesté en grèce et au proche orient. d'autres, plus perfectionnés, sont taillés dans des blocs de calcaire et doté;s de mortaises de fixation d'un treuil ; elles sont taillées en queue d'aronde sur la face latérale comme le montrent les blocs trouvés dans les huileries d'entremont. datés pour les plus anciens du début du ive siècle av jc, ces vestiges appartiennent à des huileries formant autant de petites unités de production indigènes, installées au sein même des maisons dont le rendement paraît encore assez faible par rapport aux installations de l'époque romaine. le développement précoce de ces nouvelles cultures dans la région de l'étang de berre, dans un secteur particulièrement impliqué dans les échanges avec marseille, répond sans doute pour une grande part à la satisfaction des besoins de la colonie grecque. on peut imaginer que placée sous le contrôle direct ou indirect des marseillais, la production indigène ...


13. 웃 Noms et surnoms Noms et surnoms des Varois en provençal

...i petejaire / lei petiaire (ceux qui pétillent) aiguines eiguino eiguinen eiguinenco lei sourcié (sorciers) / lei masc ampus empus empussian empussiono lei darnaga (les nigauds ou les revêches) / lei darnagas les arcs lis arc arquen arquenco lei chancroun (les casseurs) artignosc artignòu artignoulen artignoulenco lei lica platèu / lei manjo sang (les mangeurs de boudin) artigues artigo artiguen artguenco lei escoundu / lei cacha (les cachés) aups z'aup aupen aupenco lei tout vau pau (les tout vaut peu) / "z'aup, terro d'aut, tout vòu pau" bagnols-en-forêt bagnòu bagnoulen bagnoulenco lei testo d'arenc (les têtes de hareng, personnes peu aimables) bandol bandòu bandoulen bandoulenco an la saco (ils se déplaçaient munis d'un petit sac) bargème bargèmo bargemen bargemenco lei rasco muraio (les rases murailles) bargemon bargemoun bargemounen bargemounenco lei manjo bardoto (boudin) / lei gros cuoù / lei suco bano barjols barjòu barjoulen barjoulenco lei tanaire (tanneurs / les brulo magnin (ils avaient brûlé 9 chaudronniers étameurs voleurs dans la collégiale) / "barjòu, barjaire, de bravei gent n'a gaire" la bastide la bastido bastidan bastidano lei ganachoun (avides) / les pleidejaire (les sots, parlant à tort et à travers) baudinard bèu-dina bèudinaren bèudinarenco lei quicho farroui (les peureux, ceux qui ferment le verrou) bauduen bèu-duen bèudunen bèudunenco lei manjo caulet (choux) ou caulet-fiori le beausset lou bausset baussetan baussetano/bausseten baussentenco lei gueito devessado (les guêtres à l'envers) belgentier bèu-gencié ou bouigensié bèugencieren bèugencierenco lei espòusso saco (un jour de fête, ils expulsèrent des étrangers devenus indé...


14. ♖ Tourris Que savons-nous du domaine de Tourris ?

...h, le var historique et géographique) 1551 : jean chautard avait acquis tourris de melchior de vintimille, seigneur d'ollioules. sa fille catherine en hérite et l'apporte à louis de nas par son mariage le 13 avril 1551. les nas de tourris en resteront seigneurs jusqu'à la vente du domaine en 1785. 1568 : construction du nouveau château du bas-tourris, avec sa chapelle gothique. initiée par jean-baptiste de nas époux de claudine de thomas qui fit transformer en château la vieille demeure seigneuriale l'année de son mariage (à 14 ans ?) (f. joseph ibidem). 1719-1737 : françois de nas restaure et agrandit considérablement le château du bas-tourris. (nous avons indiqué cette plage de dates, parce que correspondant à l'époque où françois de nas était seigneur de tourris, c'est-à-dire entre la mort de son père et son propre décès.) 20 janvier 1783 : jean-baptiste ii de nas, qui était ruiné, cède à ses deux fils l'intégralité du domaine, en remploi de la dot de leur mère, pour éviter qu'il ne tombe aux mains de ses créanciers. 16 juillet 1785 : les frères de nas vendent tourris à joseph aguillon, qui avait déjà acquis une partie du domaine, le quartier de la chaberte, que jean-baptiste avait vendu. en 1790, tourris fut rattaché partie à la commune du revest, partie à celle de la valette (bulletin archéologique draguignan). 21 février 1824 : pierre aguillon (fils de joseph) vend le domaine de tourris à louis auguste teissier sur les terroirs du revest, de la valette et de solliès-ville. (adv transcriptions hypothécaires, toulon, volume 175, article 55, pages 123 à 129). il apparait que pierre a poursuivi l’œuvre de réunification du domaine de tourris que son père avait initiée. de ce qu'il vend à louis teissier, pierre aguillon tient 4 lots (dont celui comprenant le château) en sa qualité d'héritier de joseph (qui en avait fait l'acquisition entre 1785 et 1788) et 12 lots qu'il a personnellement acquis ent...


15. ♖ Tourris Le domaine de Tourris : quelle histoire !

...e;fractaire à toute relation hiérarchique. les habitants, quant à eux, s’étaient déjà organisés en communautés, urbaines et rurales. mais en 973, les faits de guerre du comte de provence guillaume le libérateur assoient son autorité : aidé par les forces armées des seigneurs locaux, il vainc et chasse les sarrasins qui installés dans les maures razziaient la région. guillaume va alors distribuer à ses vassaux les terres reconquises sur les sarrasins dans l’actuel est varois et organise ainsi une première féodalité provençale presque consentie. donc en 1287, il y a un seigneur de tourris et il se nomme reforciat gaufridet de marseille trets. son héritière, sa fille sibylle de marseille trets, épouse en 1280 raymond du revest. après leur mort vers 1316, leur fille marguerite de la roche du revest l’apporte en dot à raymond ii de montauban († 1371). la seigneurie de tourris passe ensuite à leur fils reynaud de montauban († 1385) puis à la génération suivante : raymond iii de montauban, époux d’isabelle de simiane. enfin à elzéar de montauban. dans les textes de l’époque le nom de cette famille s’écrit aussi montalban, montanban, montalbano, parfois monte albano. tous les écrits sont en latin. elzéar est un peu avant 1432 seigneur du revest, de la valdardenne et de tourris et il cède (mais c’était plutôt un échange) ces trois fiefs à bertrand v de vintimille, des vicomtes de marseille. le 21 décembre 1437, jean d’armand de garcinière fait hommage de ses terres du revest, de tourris et de la val d’ardenne, au comte de provence. c’est-à-dire qu’il s’engage solennellement auprès de son ...