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6. ♒ Les eaux du Revest Quel est le nom de la vallée ?

...fascicule) – chapitre iii(pages 236-237)[avant le 18 novembre 1235], des contestations s’étaient élevées entre la famille seigneuriale de toulon et guillaume, seigneur de signes, d’evenos et d’ollioules, touchant les limites des terres de toulon et d’ollioules.…/…les deux parties eurent recours à l’arbitrage de g. rostang, évêque de toulon.…/…le seigneur guillaume …/… que les limites de son territoire s’étendaient jusqu’à la colline de l’escaillon et remontaient en passant par le moulin das, jusqu’au barrage qui était celui de corbie et le château du revest.[extrait de la charte]« quod territorium castri de oleolis tenebat usque ad collem de lescaillon … propre viam que itur ad ecclesiam bonafide et ad molendinum de das, et a dicto directo tramite usque ad rupen quodam que est inter rupen corbian et castrum de revesto »[commentaires par gustave lambert]la chapelle de bonnefoi est aujourd’hui le château saint -antoine, dans la vallée de dardennes. le moulin de das était sur le las, das étant le nom primitif de notre rivière le las. j’ai traduit le mot rupem par barrage, parce que, en provence, on appelle rèpe un barrage, naturel ou artificiel, qui existe sur un cours d’eau. on voit que le seigneur d’ollioules donnait pour limites à son territoire le cours de la rivière de dardennes, depuis sa source, au fond de la vallée, jusqu’au-dessous du château de saint-antoine. 1887 la côte d’azur par stéphan liégeard(page 22)sous les ondulations d’une brume élastique, se profilent vers le nord les silhouettes étag&eac...


7. 🏭 Industrie Le goudron

...squ'il provient de la distillation du pétrole (d'autres méthodes sont aussi employées ; rappelons que le bitume se trouve aussi à l'état naturel). goudron est l'appellation qui désigne toute substance liquide, huileuse, visqueuse obtenue par distillation sèche d'un grand nombre de matières organiques. de couleur brune ou noire, elle dégage une odeur empyreumatique c'est-à-dire âcre, désagréable, due à l'action violente du feu sur ces matières. la houille distillée donne du gaz d'éclairage et du goudron. tout bois distillé produit un goudron végétal ; l'huile de cade et la poix sont des goudrons de bois. la première vient du genévrier cade, l'autre du pin.en provençal, goudron se dit quitran, le mot vient de l'arabe qoutran (ou qatran); on le trouve écrit en français dès le 13e siècle sous la forme catram, puis gotran en 1381, et goudran au 17e siècle. la poix c'est la pego des provençaux. et la pegoulo, c'est la résine. d'où sont dérivés un certain nombre de mots comme pegouliero, la fabrique de poix, mais aussi l'embarcation portant les chaudières à brai (voir l'intéressant article qui traite de ce moyen de transport dans l'arsenal de toulon). l'ouvrier de cette fabrique c'est le peqoulie ou pegouiiero. il existe aussi le mot pego qui désigne un cordonnier (son fil est enduit de poix). prendre une pego c'est s’enivrer ; qui n'a pas entendu l'expression "être empégué" (verbe empega) de quelqu'un qui manifeste son abus de libations. on ne saurait oublier, pour terminer cette énumération, une autre expression locale "ça pègue". il existe diverses sortes de poix. de la résine (galtpot) obtenue par gemnage des pins, comme cela se pratique dans les landes ...


8. 🚌 Autobus, cars & Co Approche chronologique

...🚌 autobus, cars & co approche chronologique 1881 : un service d'omnibus à chevaux aurait desservi le revest-village dès 1881. (selon gabriel bonnafoux) le lundi, une remorque à ridelle y était ajoutée pour le transfert de linge des bugadières entre toulon et le revest. 1884 : en août, rapport du préfet du var au conseil général : "un omnibus dessert toutes les heures les quartiers des moulins et de dardennes" (à chevaux, et depuis toulon) les anciens bâtiments de la forge à dardennes auraient servi un temps de remise pour les omnibus à chevaux. (selon yvan meschi) 1904 : inauguration de la ligne de tramway n°6 entre toulon et les routes. a la tranchée, les voyageurs pour le revest changent pour emprunter l'omnibus à chevaux appelé le roulez de dardennes. 1919 : l'omnibus (à chevaux ou à moteur ?) ne dessert plus le village (le temps d'un trajet le revest-toulon est de 2 heures) 1923 : signature d'une convention de service public entre le préfet du var et un entrepreneur de transport, m. genin pour un transport en autocar de toulon à revest-village. pour 5 ans à/c 1er avril 1923. service avec 2 voitures de voyageurs 10 places + 250 kilos de bagages. c'est le monsieur genin dont parle si bien charles vidal, là >>> 1925 (2 février) : inauguration de la ligne de tramway 5a (blache-les moulins), avec tronc commun avec celle de la 6 jusqu'à la tranchée. elle fonctionnera jusqu'en 1952 avec une interruption du service pendant la guerre. le 1er novembre 1925, un appel à la concurrence est lancé pour une desserte par autobus entre la chapelle des moulins (ou le tramway faisait terminus) et le hameau de dardennes. 1928 (25 juin) : avenant à la convention m. genin s'engage à assurer le service toulon revest par autobus jusqu'en 1936. 1931 (1er avril) : mme veuve genin cède la concession à mm bouchard et campenio. 1934 (19 avril) : décret-loi sur la concession de service de bus entre toulon et le revest-village 1...


9. 🚌 Autobus, cars & Co Histoire des transports en commun entre Toulon et Le Revest

...embre 1936, une requête à meiffret pierre, maire du revest-les-eaux : « depuis de nombreuses années un service de transport en commun fonctionne sur la ligne toulon-le revest, service subventionné par l’État (ptt), le département et la commune du revest-les-eaux. depuis sa création, la ligne est desservie par les mêmes véhicules, non confortables (vieux châssis de carrosserie berliet) transportant, trimbalant plutôt les voyageurs à des heures tout à fait incommodantes pour nous. des ouvriers, de plus en plus nombreux, vont à toulon, ville voisine, soit à l’industrie, soit à l’arsenal. aucun transport sérieux n’existe pour cela. » les revestois, pour effectuer les 7 kilomètres, mettent 35 minutes : « ce qui représente une vitesse horaire de 12 kilomètres », précise l’interprète des usagers. sans oublier : « que l’on est assis sur des banquettes en bois non rembourrées. » il est important de rappeler que le terminus du tramway le plus proche était à 3 kilomètres, à la chapelle des moulins. 3 kilomètres aller le matin et 3 kilomètres retour le soir : une charge supplémentaire pour des ouvriers effectuant des tâches pénibles. le conseil municipal, « ému par ces doléances », se réunit le 12 octobre 1936. il constate le bien-fondé de la pétition et, « devant l’intransigeance égoïste du concessionnaire » saisit les pouvoirs publics : le conseil d’arrondissement et le conseil général (m. vacquier). a ce stade de nos recherches, nous ne pouvons pas écrire avec certitude les conclusions de l’ensemble de cette démarche. ce que nous pouvons faire, c’est un retour dans le temps : à partir de 1919. le 20 avril 1919, eugène chaix, alors maire par intérim du revest, lors d’un conseil municipal constate « avec peine » que l’organisation des « transports rapides » du département favorise certains qui disposent de deux ou trois moyens de locomotions rapides. ...


10. 🚌 Autobus, cars & Co Le Roulez de Dardennes

...🚌 autobus, cars & co le roulez de dardennes les premiers transports en commun (omnibus à chevaux) entre toulon et dardennes datent de 1881. on peut dire que la photo ci-dessous a été prise entre 1904, date de la mise en service de la ligne n°6 des routes, et 1925 où fut mise en service la ligne 5a de dardennes. on voit à gauche « le roulez » (ou roulet) qui stationne au début de l’avenue des moulins, en bas de l’avenue guichon de grandpont, pour assurer la correspondance avec la ligne 6. a droite, le tramway tractant une remorque de type « baladeuse » sort de la tranchée (début de l’avenue des routes. cette tranchée a été creusée pour permettre à la voie du tram de relier le quartier barbès au quartier des routes. on a dû modifier le lit du béal, qui passait à cet endroit. le n° 5 était attribué à la desserte de valbourdin d’abord au moyen d’un autre « roulet », puis d’autocars. les habitants de dardennes et du revest voulaient eux aussi avoir leur tramway pour se rendre à toulon. la réalisation de cette liaison a pris plus de 20 ans. c’est finalement le tramway « classique » qui a été construit sur la ligne 5a jusqu’à la chapelle des moulins, le prolongement vers le hameau de dardennes et le village du revest devant se faire plus tard. le confort des tramways était plutôt spartiate, mais à la belle saison, les remorques normales étaient remplacées par des baladeuses (ouvertes sur les cotés) ou des baignoires. le dimanche, dans les années d’après guerre, les toulonnais aimaient prendre le 5 avec un repas froid pour venir pique-niquer au bar de la chapelle des moulins et passer une journée à la campagne à peu de frais. le patron permettait qu’on utilise ses tables à condition de lui acheter les boissons. le tramway n’a jamais dépassé la chapelle jusqu’à la fin de son exploitation en 1952. les liaisons avec dardennes, le barrage et le revest ont été faites par autocars d...