Forum La  Place du village

Place du village

Échanges

Images Docs

Albums-Publications

Revest Actualités

Revest Actualités

Revue de presse

Recherche dans les Carnets seulement



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :seigneur


Page 11 - 15 sur un total de 52 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


11. ☥ Cultes et religions L'Ermitage copte de Fontanieu

...☥ cultes et religions l'ermitage copte de fontanieu en 1974, l'église copte orthodoxe a créé l'évêché de marseille, toulon et toute la france et a installé au revest-les-eaux le siège de l'église copte orthodoxe de france. l'ermitage copte de saint-marc a été construit dans le quartier de fontanieu. le descriptif et les photos ci-après sont issus du site internet études sur l'orthodoxie copte en france, que vous pouvez retrouver sur ce lien : http://eocf.free.fr/text_mde_copte_2_revest.htm qui nous raconte l'histoire des coptes au revest, dans une page adaptée d'un article de monseigneur athanasios paru en 1977 dans le numéro 2 de la revue le monde copte. ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ ☩ fondation de l'ermitage saint marc le 20 février 1974, sa sainteté shenouda iii, pape d'alexandrie et patriarche de la prédication de saint marc, adressa sa bénédiction à l'occasion de la pose de la première pierre. le 20 octobre de la même année, au cours de la première liturgie, eut lieu l'intronisation de l'évêque de l'église copte orthodoxe de france, monseigneur marcos, par le délégué apostolique de s.s. shenouda iii - monseigneur timotheos, évêque général. afin de rappeler les attaches profondes, dès le début du christianisme, de la provence et du sud de la france avec l'église d'égypte, monseigneur marcos reçut le titre d'évêque de marseille, toulon et toute la france. en effet, dès le ive siècle, la liaison maritime entre marseille et alexandrie fut l'une des voies de pénétration par les chrétiens de la spiritualité des moines du désert égyptien qui influença la vie religieuse en provence. ainsi, saint jean ...


12. ☥ Cultes et religions La Chartreuse de Montrieux et Le Revest-les-Eaux

...miers à se servir. nous rappellerons qu'au quartier des bouisses, tous les ustensiles servant aux vendanges furent ceux qu'avaient confectionnés les moines. ces mines de cuivre étaient situées à raboeuf, l'auberte, la vignasse, baralet, la font martin. mais c'est dans la fabrication du verre que les chartreux excellaient. ils furent les premiers à exploiter les carrières de sable des environs : bramapan, le plateau d'agnis, à bousquet et très certainement à malvallon, orves, tourris. c'est en effet par acte de 1197 que l'évêque rainier (1188-1214) concède ses droits sur le terroir d'orves, concession qui fut confirmée en 1254 par l'évêque benoît d'alignan et où l'évêque raimon de nîmes (1267-1288) en 1285 les autorise à fabriquer du verre. les moines obtiennent en février 1212 de geoffroy et jauffret, vicomtes de marseille et seigneurs de toulon, l'exemption des droits présents et futurs pour le blé, le vin, l'huile et autres marchandises qu'ils feraient passer par le port de toulon (cartulaire de montrieux, f° 80 - davin page 13). en 1224-1225, il y a donation par jauffret, seigneur de toulon, de pâturages et cultures au lieu-dit le revest et confirmation de pâturages donnés par étienne, évêque de toulon. (davin - la chartreuse de montrieux, page 14) l'exemption des droits d'octroi et de péage est à nouveau exprimée en novembre 1247 par rostaing d'agoult, seigneur de toulon pour le blé, le vin, l'huile, fromage et laine. qui pourraient être expédiés ou reçus par les moines de montrieux au port de toulon. (cartulaire h - davin page 14) le testament de dame sibille nous en arrivons au testament de sibille, dernière descendante des seigneurs de toulon, daté du 14 août 1261. sibille...


13. ♖ La tour du Revest De quand date la tour ?

...estres ou maritimes ont quasiment ruiné le fonds documentaire tant local que provençal. le chercheur ne peut s'appuyer que sur les vestiges que révèlent les fouilles. or le site ne révèle rien car la tour est bâtie directement sur le rocher. cependant, grâce à la technique de construction de la tour, on peut dire à peu près à quelle époque appartient notre tour. son parement à bossage rustique la situe dans le dernier quart du 13e siècle et le premier quart du 14e siècle, époque où surgissent en même temps de nombreuses tours à bosses. elle trouve son pendant dans d'autres tours du var, de même époque, de même facture, comme celle de sanary que les textes citent en 1322. 1323 : obligation de se fortifier c'est en 1323 que le comte de provence (le roi robert) chargea son trésorier, robert de milet, d'inspecter les défenses de la côte de marseille à vintimille, sachant qu'elles avaient été laissées à l'abandon et craignant la menace des seigneurs voisins à l'est de la provence. robert de milet établit un compte-rendu de visite à 1a suite de quoi chaque seigneur fut dans l'obligation de relever ses défenses sous peine de perdre son fief ; la tour devait être le point fort du dispositif. dans celle-ci devaient se tenir en permanence 10 hommes, avec stock d'armes et de ravitaillement. la construction des fortifications et défenses particulières incombaient aux hommes des castra qui, de plus, devaient fournir armes et victuailles ; ils étaient tenus d'assurer la garde. les membres du village gardaient les portes pendant la nuit et entretenaient les farots. (farot : tour qui supportait les feux d'alerte). monsieur trofimoff écrit dans son histoire du revest, p 8 : "beaucoup plus important qu'il n’apparaît aujourd'hui, le revest, de par sa position stratégique, occupait une place de...


14. ♖ La tour du Revest Dénomination de la tour

... page de couverture du présent bulletin) le terme "sarrasin" apparaît au xie siècle dans la chanson de roland. ce terme est issu du bas latin sarraceni qui désigne un peuple d'arabie. c'est un emprunt à l'arabe charqiyin, pluriel de charqi qui signifie "oriental" (charq désigne l'est opposé à l'ouest - gharb, d'où "maghreb"). en architecture on parle de sarrasine par ellipse de herse sarrasine. ce terme apparaît dans les textes au 16e siècle. cette herse, composée de pieux ferrés, s'abaissait entre le pont-levis et la porte d'un château-fort. l'entrée de certaines villes était protégée de la même façon. quelques-unes ont gardé l'appellation de portes sarrasines. dans le var, on connaît la porte sarrasine de fayence et celle de lorgues. le parement à bossage n'est peut-être pas étranger à cette appellation de "tour sarrasine". cette façon de traiter la pierre mise en parement a été très employée à la fin des croisades. les seigneurs croisés ont trouvé en palestine, chez les sarrasins, des murs de ce type ; ils ont pu en ramener l'idée, à moins que des tailleurs de pierre, adhérents des loges du compagnonnage, ayant connu le proche-orient à cette époque, aient reproduit ce qu'ils avaient vu là-bas. a partir du dernier quart du l3e" siècle, se diffuse rapidement cette technique. on a dit que ces bosses servaient à faire ricocher les boulets de pierre atteignant le parement. or il est des bossages en des endroits que ne peuvent atteindre les boulets. il semble plutôt que le bossage soit d'ordre décoratif ; de plus, l'aspect défensif du mur en est renforcé. dans "citadelles d'azur", bernard cros, à propos des bossages de la grosse tour de toulon (début l6e siècle) dit que "tous ces signes architectoniques sont essentiellement symboliques ; ils tendent à affirmer la puissance de l'ouvrage, que ses maîtres veulent à la fois redoutable et signe de pouvoir royal." ...


15. 🐦 Le Pigeonnier De quand date le pigeonnier ?

...🐦 le pigeonnier de quand date le pigeonnier ? l'histoire locale est muette à ce sujet. selon les données de l'histoire des pigeonniers en france, sa construction date du moyen-Âge. il ressemble à ceux de cette époque qui avaient, le plus souvent, une forme cylindrique. le droit de construire et d'entretenir un pigeonnier était réservé aux seigneurs. une ordonnance de 1368 regarde le droit de colombier comme un attribut féodal. tous les châteaux en possédaient un. sa possession, à cette époque, était la marque d'une certaine puissance. le pigeonneau étant un mets de choix, le seigneur s'en réservait la possession. on peut estimer aussi que le seigneur récupérait ainsi le blé dont sont friands les pigeons. au passage notons que la carte agricole de france montre une plus forte densité de pigeonniers dans les régions qui cultivent le blé. la possession d'un pigeonnier était réglementée. le nombre de nids dans 1'édifice (niches ou boulins) devait être proportionnel au nombre d'arpents que possédait le seigneur (arpent: 30 à 51 ares selon les régions). mesure de protection de la récolte ; en effet, un pigeon consomme environ six fois son poids journellement il fallut attendre l'abolition des privilèges par la révolution de 1789 pour que la possession d'un pigeonnier ne fût plus l'apanage des seuls seigneurs. l'article ii du décret du 4 août 1789 qui en décidait ainsi apportait quelques mesures restrictives sur l'exploitation de cet élevage. les colombiers devaient être fermés à certaines époques de l'année. la mesure subsiste toujours puisque ce sont maintenant les préfets qui sont chargés de la faire appliquer, après avis du conseil général, pour protéger les moissons, selon la loi. décret du 11 août 1789, concrétisant les décisions de la nuit du 4 août art. 2. le droit exclusif des fuies et colombiers est aboli. les pigeons seront enfermés aux époques ...